 | LE SAVIEZ VOUS ?
| DIMANCHE
  OCTOBRE 2009 |
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Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch (Prononciation du titre dans sa version originale) est un village de l'île d'Anglesey au Pays de Galles. Avec ses 58 caractères, reste le plus long nom de ville connu en Europe.
En gallois, Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch signifie « l'église de sainte Marie dans le creux du noisetier blanc près d'un tourbillon rapide et l'église de saint Tysilio près de la grotte rouge ». Le nom est également transcrit comme : Llan-vire-pooll-guin-gill-go-ger-u-queern-drob-ooll-landus-ilio-gogo-goch, qui indique sa prononciation correcte en anglais.
Cependant, le nom du village est souvent abrégé en Llanfair PG (ou Llanfairpwll par les Gallois). Cela suffit à faire la distinction avec les autres lieux du Pays de Galles nommés Llanfair. C'est une destination touristique fort visitée. On trouve, entre autres buts à ces séjours, celui de se faire prendre en photo à côté du panneau indiquant le nom de la ville ou de faire tamponner son passeport au bureau local. Une autre attraction touristique est la toute proche colonne du Marquis d'Anglesey, d'où l'on a une excellente vue d'Anglesey et des détroits de Menai.
Le nom a été décidé dans les années 1860 par le conseil du village, principalement pour avoir le privilège d'avoir le nom le plus long d'une gare ferroviaire en Grande-Bretagne. Ce nom ne peut être considéré à proprement parler comme un nom gallois, le nom original de l'endroit étant Llanfair Pwllgwyngyll, ce qui représente tout de même seize lettres dans l'alphabet gallois, et dix-neuf en anglais.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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La Citation du Jour
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Il y a des moments où un mot fait plus qu'un geste. Jean Giono 31 |  Citation du jour, Jean Giono | |
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290e jour de l'année
Le du jour
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 L'horoscope
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| LE SAVIEZ VOUS ?
| MARDI
  OCTOBRE 2009 |
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Le chocolat est un aliment sucré produit à partir de la fève de cacao. Celle-ci est fermentée, torréfiée, broyée jusqu’à former une pâte de cacao liquide dont on extrait la matière grasse appelée beurre de cacao. Le chocolat est constitué du mélange, dans des proportions variables, de pâte de cacao, de beurre de cacao et de sucre ; on y ajoute éventuellement des épices, comme la vanille.
Consommé initialement sous forme de boisson épicée en Amérique centrale, il se démocratise avec la révolution industrielle. Au XXIe siècle, on le consomme sous forme solide (chocolat noir ou au lait) ou liquide (chocolat chaud). Le chocolat se retrouve dans de nombreux desserts tels que les confiseries, biscuits, gâteaux, glaces, tartes. Offrir du chocolat, moulé de différentes manières, est devenu traditionnel lors de certaines festivités : œufs, lapins et cloches à Pâques, pièces de monnaie pour Hanoucca et Noël et cœurs pour la Saint-Valentin.
Apprécié des gourmets, le chocolat fait l’objet de nombreuses études quant à ses effets sur la santé. Certaines personnes assimilent le chocolat à une drogue ; on appelle cette addiction (non prouvée) le chocoholisme.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| MARDI
  OCTOBRE 2009 |
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Le cranchiidé de l’Antarctique également nommé calmar colossal (Mesonychoteuthis hamiltoni) est la plus grande espèce de calmars, c’est le seul représentant du genre Mesonychoteuthis du grec mesos « milieu », nychus « griffe » et teuthis « calmar ».
Les estimations actuelles pour sa taille maximale sont de 14 mètres, basées sur l’analyse d’individus plus petits et plus jeunes, ce qui en fait un des plus grands invertébrés connus (plus grand que les calmars géants du genre Architeuthis).
Répartition géographique
Le calmar colossal vit au nord de l’Antarctique, au sud de Amérique du Sud, au sud de l’Afrique du Sud, et de l’extrémité sud de la Nouvelle-Zélande, ce qui en fait principalement un habitant de l’ensemble de l’océan Austral.
Découverte
Le 22 février 2007, les autorités de Nouvelle-Zélande ont annoncé que le plus grand calmar colossal connu avait été capturé. Le spécimen pesait 495 kg et a été initialement estimé à 10 m de longueur totale. Les pêcheurs à bord du navire San Aspiring, détenu par la société de fruits de mer Sanford, ont capturé l’animal dans les eaux glacées de l’Antarctique de la mer de Ross. Il fut remonté à la surface en attrapant une légine australe qui avait été prise par une longue ligne. Il ne lâchait pas sa proie et ne pouvait être enlevé de la ligne par les pêcheurs, ils décidèrent donc de le tuer. Ils ont réussi à l’envelopper dans un filet, puis il fut transporté à bord et congelé. Le spécimen a éclipsé le précédent record d’un spécimen pêché en 2003 pesant environ 195 kg. L’échantillon a été congelé dans un mètre cube d’eau et transporté au Musée Te Papa Tongarewa, musée national de Nouvelle-Zélande. Les journalistes ont suggéré que les chercheurs du Muséum envisagent d’utiliser un micro-ondes géant pour décongeler le calmar, car la décongélation du calmar à température ambiante prendrait des jours et il serait probablement victime de pourrissement, tandis que le noyau resterait gelé. Ils ont finalement opté pour l’approche la plus classique de décongélation ; plonger l’échantillon dans un bain d’eau salée. Après le dégel, le calmar fut mesuré à seulement 4,2 m de longueur totale, ses tentacules ayant diminué de façon significative. On l’identifia d’abord comme un mâle, mais un examen plus approfondi de l’échantillon a montré qu’il s’agissait d’une femelle.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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| MARDI
  OCTOBRE 2009 |
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Les Bouddhas de Bâmiyân sont deux statues monumentales de bouddhas debout, excavées dans la paroi d'une falaise située dans la vallée de Bâmiyân du centre de l'Afghanistan, à 230 kilomètres au nord-ouest de Kaboul et à une altitude de 2 500 mètres. Le site tout entier est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Construction
Datant très probablement des Ve et VIe siècles, les statues représentaient un mélange classique d'art grec et bouddhiste.
Elles étaient taillées directement dans les falaises de grès, mais les détails avaient été modelés dans un mélange de boue et de paille, puis enduits de stuc. Cet enduit, qui avait pratiquement disparu depuis bien longtemps, était peint pour améliorer le rendu des expressions des visages, des mains et du drapé des robes. Les parties inférieures des bras des statues étaient faites du même mélange d'argile et de paille et soutenues par des armatures en bois. On pense généralement que les parties supérieures des visages étaient constituées de grands masques en bois ou en métal. Les alignements de trous que l'on peut remarquer sur les photographies accueillaient des chevilles en bois servant à stabiliser la couverture de stuc.
Histoire
Situé sur la route de la soie reliant la Chine et l'Inde au monde occidental, Bâmiyân se développa comme un centre religieux et philosophique comportant plusieurs monastères bouddhistes et un lieu de rencontre entre l'orient et l'occident où s'élaborèrent de nouvelles formes d'art gréco-bouddhique. Ce centre bouddhiste majeur, l'un des plus importants du IIe siècle jusqu'à l'apparition de l'islam dans la vallée, au IXe siècle, accueillait moines et ermites qui résidaient dans de petites cavernes creusées dans la paroi des falaises tout au long de la vallée de Bâmiyân. On y trouvait ainsi de nombreuses statues de bouddhas debout ou assis creusés dans des niches de la falaise et les cavernes comportaient souvent des peintures à fresque raffinées et très colorées produites par les moines. Les deux principales statues étaient évidemment les Bouddhas debout géants, mesurant respectivement 53 et 35 mètres de haut, les plus grands exemplaires de Bouddha excavés au monde.
Le pèlerin bouddhiste chinois Xuanzang qui traverse la vallée en 632, l'année même de la mort de Mahomet, décrit Bâmiyân comme un centre bouddhiste en plein épanouissement « comptant plus de dix monastères et plus de mille moines » et indique que les deux Bouddhas géants « sont décorés d'or et de bijoux fins ». Lorsque Mahmûd de Ghaznî fait la conquête de l'Afghanistan au XIe siècle, les bouddhas et les fresques des niches et des cavernes échappent miraculeusement à la destruction. Cependant, au cours des années, les statues sont les victimes de musulmans iconoclastes et les visages finissent par disparaître, peut-être à la suite de tirs de canons de l'armée d'Aurangzeb durant sa campagne afghane.
Finalement, en 2001, après avoir survécu relativement épargnées durant plus de quinze siècles, avoir assisté à la destruction de la ville de Bâmiyân par les Mongols de Genghis Khan en 1222, avoir vu l'occupation russe, les statues sont décrétées idolâtres par le mollah Mohammed Omar et les Talibans les détruisent au moyen d'explosifs et de tirs d'artillerie. En mars 2001, les deux statues avaient disparu après presque un mois de bombardement intensif, causant une vive émotion de par le monde.
Pendant l'opération de destruction, Qudratullah Jamal, le ministre de l'Information taliban, déplora que « ce travail de destruction n'est pas aussi facile que les gens pourraient le penser. Vous ne pouvez pas abattre les statues par quelques coups de canons car toutes deux sont découpées dans une falaise et sont fermement attachées à la montagne. »
Bien que les statues soient presque totalement détruites, leurs contours et quelques parties sont encore reconnaissables dans les cavités. Il est aussi toujours possible d'explorer les cavernes des moines et les passages qui les relient. Cependant, la restauration du site n'a pas été jugée prioritaire par l'UNESCO et les Bouddhas géants ne seront probablement jamais reconstruits. Les efforts se portent aujourd'hui dans deux directions, la consolidation de la falaise et plus particulièrement des niches qui ont beaucoup souffert des bombardements des Talibans, et la recherche du troisième bouddha, un bouddha couché en parinirv&257;na, dont Xuanzang fait la description et qui se trouverait dans la vallée, peut-être enseveli.
Avec les bénéfices récoltées par le concours des Sept nouvelles merveilles du monde, le "New Open World Foundation" compte verser la moitié pour le financement de chantiers de restauration comme par exemple les Bouddhas de Bâmiyân.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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La Citation du Jour
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Jouer la comédie, c'est mentir. Sacha Guitry 9 |  Citation du jour, Sacha Guitry | |
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Le du jour
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