| LE SAVIEZ VOUS ?
| MERCREDI
  JUILLET 2008 |
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Donatien Alphonse François, marquis de Sade, né le 2 juin 1740 à Paris et mort le 2 décembre 1814 à l'asile de Charenton, est un écrivain français.
Longtemps voué à l’anathème en raison de la part accordée dans son œuvre à un érotisme de la violence et de la cruauté (fustigations, tortures, incestes, viols, sodomie, etc). Le néologisme « sadisme », formé d’après son nom, est apparu dès 1834 dans le Dictionnaire universel de Boiste comme « aberration épouvantable de la débauche : système monstrueux et antisocial qui révolte la nature ». C’est Krafft-Ebing, médecin allemand, qui a donné à la fin du XIXe siècle un statut scientifique au mot sadisme, comme antonyme de masochisme pour désigner une perversion sexuelle dans laquelle la satisfaction est liée à la souffrance ou à l’humiliation infligée à autrui.
Occultée et clandestine pendant tout le XIXe siècle, son œuvre littéraire est réhabilitée au XXe siècle, malgré une censure officielle qui durera jusqu’en 1960, la dernière étape étant sans doute représentée par l’entrée de Sade dans la Bibliothèque de la Pléiade en 1990.
Il signait « de Sade » ou « D.-A.-F. Sade ». Marquis ou comte pour ses contemporains, il est pour la postérité le « marquis de Sade », et, dès la fin du XIXe siècle, le « divin marquis », à la suite du « divin Arétin », premier auteur érotique des temps modernes (XVIe siècle), un peu oublié de nos jours
« Les entractes de ma vie ont été trop longs », notera cet homme de théâtre. Détenu sous tous les régimes (monarchie, république, empire), il est resté enfermé – en plusieurs fois et dans des conditions fort diverses – vingt-sept ans.
Sur le blason des Sade, l’aigle impérial à deux têtes, privilège qu’aurait obtenu Elzéar de Sade de l’empereur Sigismond en 1416. La filiation prouvée de la maison de Sade remonte à l’année 1302 avec Hugues de Sade, « père d’Hugues qui suit et suivant plusieurs auteurs de Laure de Sade dont la vertu et la beauté ont été célébrées par francois Petrarque poëte et philosophe et le plus beau genie de son siecle » (généalogie de la famille de Sade présentée au Roi en 1754 - orthographe et ponctuation respectées)
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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 | INSOLITE!
| MERCREDI
  JUILLET 2008 |
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MOSCOU (AFP) — Les tests ADN ont confirmé que des restes humains découverts en 2007 dans la région d'Ekaterinbourg (Oural) sont bien ceux du tsarévitch et de sa soeur Maria, assassinés avec toute la famille impériale russe il y a exactement 90 ans, a annoncé mercredi le Parquet russe.
"L'ensemble des résultats scientifiques reçus sur la base d'une analyse de l'ADN (...) correspond avec l'hypothèse" selon laquelle ces ossements sont ceux du fils et d'une des quatre filles du dernier tsar de Russie Nicolas II, écrit le comité d'enquête du Parquet dans un communiqué.
Les fragments de corps, portant des signes d'une mort violente, avaient été découverts en juillet 2007 dans les environs d'Ekaterinbourg, où la famille impériale a été exécutée dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 sur ordre des bolcheviks, arrivés au pouvoir à la suite de la révolution d'Octobre 1917.
Les résultats rendus publics mercredi ont été obtenus grâce à trois expertises réalisées respectivement en Russie, à l'Institut de la génétique Vavilov, aux Etats-Unis, dans un laboratoire du Pentagone, et en Autriche, à Innsbruck, a précisé Vladimir Soloviev, enquêteur au Parquet russe, sur la chaîne de télévision Rossia.
Les autres corps des membres de la famille Romanov - ceux du tsar, de sa femme et de leurs trois autres filles - extraits d'une fosse commune d'Ekaterinbourg en 1991 ont été officiellement identifiés en 1998 par le gouvernement russe et inhumés en grande pompe dans l'ancienne capitale impériale Saint-Pétersbourg.
Une vive polémique sur leur authenticité avait éclaté à l'époque, l'Eglise orthodoxe russe ayant mis en doute les résultats des tests ADN.
De nouvelles expertises doivent être effectuées en juillet par des scientifiques russes concernant les restes de Nicolas II, ont rapporté les agences russes citant des responsables de la justice.
Il s'agira notamment de comparer des taches de sang présentes sur la chemise que portait le tsar lorsqu'il fut blessé dans un attentat en 1891 avec des débris du squelette identifié comme étant le sien.
Ces analyses, soulignent les experts cités, s'avèreront toutefois complexes dans la mesure où "habituellement" on découpe, puis on broie, un morceau du tissu que l'on veut étudier, un procédé auquel le musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg, détenteur du vêtement, s'oppose catégoriquement.
Des centaines de croyants ont commencé à affluer dès mardi à Ekaterinbourg pour célébrer le 90e anniversaire de la mort de Nicolas II, les commémorations devant culminer dans la nuit de mercredi à jeudi à l'heure où le tsar fut tué.
Ils se sont retrouvés en l'Eglise du Sang versé, construite en 2003 sur le site où le souverain, son épouse, leurs cinq enfants, leur médecin et trois serviteurs furent tués par balle.
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 | par MANTEAU |
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