| MIAM ! RECETTES DE CUISINE
| MARDI
  AVRIL 2009 |
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"La vie, c'est comme une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber...", déclarait poétiquement Forrest Gump. Cela pourrait être le crédo de Zaabär, une chocolaterie qui a pris le pari de réinventer le chocolat en le mariant à des épices, créant des saveurs inédites pour nos palais.
Zaabär est un clin d'oeil à "Bazar", le "Grand Bazar d'Istanbul" qui enivre le voyageur de ses mille senteurs mais aussi le "joyeux bazar" créé par le mélange de la fève de cacao à des épices aussi diverses et méconnues que l'anis étoilé, le poivre du sishuan, la cardamome de Malabar, la fève tonka ou encore la citronnelle.
Chez Zaabär, fruits, fleurs et plantes s'associent avec élégance et subtilité à la gamme des chocolats pour emmener le gourmand vers des destinations exotiques. En tout, vingt-deux mélanges tantôt doux, tantôt forts mais toujours surprenants ont été créés par une équipe jeune et dynamique, qui ne cesse de mettre au point de nouvelles associations.
Né en 2007 et installé dans un premier temps rue de Stassart, Zaabär a investi il y a quelques mois la chaussée de Charleroi. Il y dispose désormais d'un espace à son envergure qui accueille les ateliers et la boutique mais aussi une aire dédié aux animations pour petits et grands amateurs de chocolat.
Chacun est libre de venir y assouvir sa curiosité en dégustant quelques-uns des nombreux produits de la gamme Zaabär dont la fabrication est entièrement artisanale. Tous les ingrédients sélectionnés par l'enseigne sont naturels et ne contiennent ni agents conservateurs, ni colorants, ni OGM. En outre, les chocolats Zaabär sont emballés sous vide, de manière à préserver leur arôme et à éviter l'oxydation du chocolat.
Si pour vous, le chocolat se résume à la tablette et la praline, il est grand temps de venir titiller vos sens en vous plongeant dans l'univers de Zaabär... (vt)
Zaabär Megastore
Chaussée de Charleroi 125
1060 Bruxelles (SAINT-GILLES)
http://www.zaabar.be
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 | par MANTEAU |
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 | MIAM ! RECETTES DE CUISINE
| MARDI
  AVRIL 2009 |
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Pour la 4e année consécutive, l'Espagnol Ferran Adria et son restaurant El Bulli arrive en tête. La plus grosse surprise vient de la troisième place qu’occupe cette année René Redzepi et son restaurant Noma de Copenhague.
Ferran Adria chef d'El Bulli
Pour la 4e année consécutive, le magazine anglais Restaurant publie les résultats des délibérations d’un jury international comprenant 806 chefs, critiques et autres experts, dont un tiers n’a pas voté l’année précédente. Même si l’on peut contester toute forme de classement, chaque année ce jury s’avère plus représentatif.
Pour la 4e année consécutive, l'Espagnol Ferran Adria et son restaurant El Bulli arrive en tête. La plus grosse surprise vient de la troisième place qu’occupe cette année René Redzepi et son restaurant Noma de Copenhague. Malgré tout ce qui a pu être dit sur la perte d’influence de la cuisine française, parmi les 100 premiers restaurants classés dans le monde, la France en affiche 15 ce qui est plus que tout autre pays, le mieux placé étant Michel Bras à Laguiole (7e), puis Pierre Gagnaire (9e) et l’Astrance de Pascal Barbot et Christophe Rohat (11e).
El Bulli, niché dans la Cala Montjoi
En 40e position on trouve le Châteaubriand où officie Inaki Aizpitarte, le meilleur rapport qualité prix avec une formule déjeuner à 14 € et menu unique à 43 € le soir. Et à la 28e place on trouve le magnifique chef du Gambero Rosso, Fulvio Pierangelini, dont on trouvera prochainement un portrait dans le prochain Hors série du Nouvel Observateur.
Source: Jean-Marcel Bouguereau /NOUVELOBS.COM
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 | par MANTEAU |
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| MARDI
  AVRIL 2009 |
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Aux États-Unis, l’odonyme le plus usité est Second Street ; en France, il s’agit de Rue de l’Église.
Un odonyme, que l'on peut trouver parfois écrit hodonyme, est un nom de lieu qui se réfère à une voie de communication.
Un odonyme peut aussi bien être le nom d'une rue, d'une route, d'une place, d'un chemin, etc. Le terme odonyme vient du grec hodos (« la route »), adossé à la racine « -nymie » que l'on retrouve par exemple dans « anthroponymie » (l'étude des noms de personnes, noms de famille et prénoms), ou domonymie, étude des noms donnés aux maisons.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| MARDI
  AVRIL 2009 |
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L’identité de Jack l’éventreur, tueur en série anglais du XIXe siècle, n’a jamais été établie et reste un mystère.
Jack l'éventreur (en anglais, Jack the Ripper) est le surnom d'un tueur en série anglais de la fin du XIXe siècle, dont l'identité n'a jamais été établie. Le surnom passé à la postérité provient d'une lettre envoyée à l'agence de presse London Central News Agency par une personne déclarant être le meurtrier. Jack l'éventreur assassina sauvagement au moins cinq prostituées du quartier pauvre de Whitechapel, à Londres en 1888. Le mystère qui entoure l'identité et les mobiles du tueur (ou des tueurs) a intrigué de nombreux enquêteurs et inspiré de nombreux auteurs et artistes.
L'origine du mystère
Le premier assassinat est celui de Mary Ann Nichols, retrouvée égorgée et éventrée dans une rue de Whitechapel le 31 août 1888. Le dernier, avec un degré d'horreur allant crescendo, est celui de Mary Jane Kelly, retrouvée affreusement mutilée dans sa chambre le 9 novembre de la même année.
Les victimes de Jack l'éventreur avaient pour point commun d'être des prostituées occasionnelles œuvrant à Whitechapel (East End), l'un des quartiers les plus pauvres de Londres. À l'exception de la dernière, âgée d'à peine 25 ans, la plupart étaient des femmes d'âge mûr, autour de la quarantaine.
Le nombre et la nature des victimes constituent aujourd'hui encore une énigme pour les enquêteurs : pour quelle(s) raison(s) l'assassin choisit-il des prostituées ? Pourquoi s'arrêta-t-il après le cinquième meurtre ? Pourquoi ce dernier meurtre se déroula-t-il dans de telles conditions ?
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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La Citation du Jour
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C'est dur de faire un film, mais travailler pour de bon, c'est pire! Woody Allen 57 |  Citation du jour, Woody Allen | |
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