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| MARDI
  OCTOBRE 2010 |
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Stubby (1916 ou 1917 - 16 mars 1926) est le chien de guerre le plus décoré de la Première Guerre mondiale, et le seul à être promu au grade de sergent par le combat.
Biographie
Stubby a été trouvé sur le campus de l'université Yale en 1917 par John Robert Conroy. Son nom en anglais signifie « trapu » ou « courtaud ». Son pedigree est inconnu ; quelques sources disent qu'il était peut-être en partie terrier de Boston , tandis que sa nécrologie le décrit comme un Bull Terrier (à l'époque synonyme de American Pit Bull Terrier et Pit Bull) . Stubby défila avec Conroy et apprit même un petit salut approximatif. Quand l'unité de Conroy fut envoyée en France à la suite de l'entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale, Stubby monta clandestinement à bord du USS Minnesota.
Service militaire
Stubby servit dix-huit mois dans le 102e régiment d’infanterie de la 26e division d'infanterie (Yankee), dans les tranchées du nord de la France, participant à quatre offensives et à dix-sept batailles. Il entra en combat le 5 février 1918 au chemin des Dames au nord de Soissons (dans le secteur de Pargny-Filain et Chavignon) et fut constamment sous les bombardements, jour et nuit, pendant plus d'un mois.
Au mois de mars suivant, la 26e division est envoyée dans le secteur de Saint-Mihiel. C’est là que le 20 avril 1918, pendant un raid pour reprendre Seicheprey (Meurthe-et-Moselle), il fut blessé à la patte avant par les grenades des Allemands en retraite. Il fut envoyé à l'arrière des tranchées, où il put guérir tout en améliorant le moral de ceux autour de lui. Une fois guéri, il retourna dans les tranchées. Après avoir survécu à une attaque au gaz, Stubby apprit à prévenir son unité d'attaques imminentes au gaz. Il trouva des soldats blessés dans le no man's land, et prévenait les soldats de l'arrivée des obus car il pouvait les entendre arriver. Il est le seul responsable de la capture d'un espion allemand dans l'Argonne, ce qui lui valut la promotion au grade de sergent par le commandant de la 102e division d'infanterie, devenant le premier chien gradé de l'armée des États-Unis. Après la prise de Château-Thierry par les Américains, les femmes de la ville lui confectionnèrent un petit manteau en chamois sur lequel étaient attachées ses nombreuses médailles. Une légende dit qu'il sauva la vie d'une jeune fille à Paris qui allait être écrasée par une voiture. À la fin de la guerre, Conroy refit entrer clandestinement Stubby dans le navire qui les emmènerait chez eux.
Après la guerre
Une fois de retour aux États-Unis, Stubby devint une célébrité et participa (le plus souvent en première file) à de nombreux défilés à travers tout le pays. Il rencontra Woodrow Wilson, Calvin Coolidge et Warren G. Harding. Il alla à l'université de Georgetown avec Conroy et devint la mascotte d'une équipe de football américain, les Hoyas de Georgetown. On lui donna le ballon pendant la mi-temps, et il s'amusa à jouer avec, au grand plaisir des spectateurs.
Il meurt dans les bras de Conroy en 1926. Sa dépouille naturalisée est au Smithsonian Institution, dans l'exposition The Price of Freedom: Americans at War.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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La Citation du Jour
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Est-ce que le sexe est sale?... - Seulement quand il est bien fait. Woody Allen 66 |  Citation du jour, Woody Allen | |
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277e jour de l'année
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latributerrible-2010
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  OCTOBRE 2010 |
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Aux antipodes de la blonde un peu gourde façonnée par Hollywood, c'est une Marilyn Monroe passionnée de littérature, bouleversante d'intelligence et de lucidité, que dévoile "Fragments" (Seuil), recueil de ses lettres, textes intimes et poèmes écrits depuis ses 17 ans.
"Seule. Je suis toujours seule, quoi qu'il arrive", avouait au début des années 1950 la mythique Marilyn dans un sobre carnet noir où elle couchait son sentiment persistant de solitude, sa peur panique, avant chaque tournage, de décevoir tout le monde.
Plus tôt, en 1943, la jeune Norma Jeane racontait sur des feuillets tapés maladroitement à la machine : "J'étais une jeune fille mince et joliment faite : à 15 ans, j'avais joué le rôle principal dans une pièce pour la télé". C'était un an après son mariage avec James Dougherty. Elle avait 17 ans.
"Il y avait des jours ou des semaines entières où je ne voulais avoir de la compagnie qu'occasionnellement, si occupée à lire que toute tentative d'adaptation à une situation qui paraissait légèrement inquiétante devenait une affaire épuisante", poursuivait cette toute jeune femme, née en 1926, qui s'interrogeait avec une incroyable maturité sur le mariage, ses attentes face à la vie, la trahison et l'humiliation.
"La souffrance lourde d'un sentiment de rejet et de blessure face à la destruction/la perte d'une sorte d'image idéalisée de l'amour vrai", notait-elle encore lors de la rupture avec son premier mari.
L'apparente écervelée platine de "Certains l'aiment chaud" ou de "Les hommes préfèrent les blondes" est en fait une jeune femme curieuse qui ne cesse de se cultiver, allant le soir à l'université de Los Angeles, après les tournages. Sa bibliothèque comptait plus de 400 livres. Bien avant d'avoir une relation avec l'écrivain Arthur Miller, elle aborde "Ulysse" de James Joyce, comme en témoigne une photo. Et le lit vraiment.
Marilyn avait deux faces. "Celle, solaire et luminescente, de la pin-up ou de la pétillante blonde. Et celle, lunaire, d'une jeune femme perfectionniste à l'extrême, en quête d'absolu, que la vie ne pouvait que décevoir", relèvent Stanley Buchthal et Bernard Comment, les deux metteurs en scène de ces formidables "Fragments", à paraître le 7 octobre en France et dans une dizaine de pays dont les Etats-Unis.
Ces inédits, c'est "l'intimité sans tapage, l'enregistrement sismique de l'âme" de Marilyn, ajoutent-ils. A côté de poèmes émouvants et de notes, on retrouve des recettes de cuisine griffonnées, des "bonnes résolutions", l'enfer, en 1961, de son séjour dans une clinique psychiatrique comme sa mère et sa grand-mère avant elle : "Enfermée avec tous ces pauvres fous (...), je me sentais comme dans une prison pour un crime que je n'avais pas commis".
En 1958, cette icône adulée de la féminité et du cinéma écrivait d'une main tremblante, cette fois dans un petit cahier rouge : "A l'aide. A l'aide. A l'aide. Je sens que la vie se rapproche alors que tout ce que je veux c'est mourir". Des mots poignants, si peu de temps avant sa mort le 5 août 1962.
Le livre est illustré de photos et fac-similés des innombrables écrits de l'actrice, retrouvés après sa mort par Anna Strasberg, veuve du directeur de l'Actors Studio à qui Marilyn Monroe avait légué ses affaires personnelles.
("Marilyn Monroe, Fragments" - Edité par Stanley Buchthal et Bernard Comment, traduit de l'anglais par Tiphaine Samoyault - Le Seuil - 270 pages - 29,80 euros - en librairie le 7 octobre)
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 | par STARMAG |
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05/08/2010 La mort mystérieuse de Marylin Monroe 26/06/2008 Marylin Monroe
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 | INSOLITE!
| LUNDI
  OCTOBRE 2010 |
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MOSCOU (Reuters) - Le principal entrepreneur russe participant à la construction de la Station spatiale internationale (ISS), Energuia, a annoncé jeudi son intention de construire le premier hôtel dans l'espace.
Cet hôtel, à bord d'une station spatiale privée, pourrait héberger jusqu'à sept clients, a précisé à Reuters Alexandre Deretchine, l'un des ingénieurs d'Energuia, société dans laquelle l'Etat russe est actionnaire.
L'hôtel fournira des installations destinées à la recherche scientifique ou aux loisirs des visiteurs, et pourra s'arrimer à un vaisseau spatial habité russe Soyouz ainsi qu'au vaisseau de transport Progress.
Des investisseurs privés se sont engagés à injecter entre 100 millions et un milliard de dollars dans le projet qui pourrait voir le jour à partir de 2015.
Selon Orbital Technologies, entreprise partenaire d'Energuia dans le projet, plusieurs clients ont d'ores et déjà signé des contrats de séjour à bord de l'hôtel.
Gleb Brianski, Eric Faye pour le service français, édité par Gilles Trequesser
© Thomson Reuters 2010 Tous droits réservés.
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 | par MANTEAU |
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Apercevoir le mandarin , c'est déjà trois dixièmes d'une catastrophe. proverbe chinois 171 |  Citation du jour, proverbe chinois | |
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 | HUMOUR
| DIMANCHE
  OCTOBRE 2010 |
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Dans une université, une belle jeune fille entre dans la salle d'examen, roulant des hanches, lançant des clins d'oeil, en décolleté et en mini jupe, mais une vraie mini jupe ! Le professeur, plutôt beau mec, commence à l'interroger, mais il a du mal. La fille continue de le regarder en coin. N'y tenant plus, le professeur lui demande :
- Vous... préférez que je vous interroge... ou que... je vous donne un rendez-vous ?
La fille rougit un peu, et lui répond les yeux un peu baissés :
- Euh... Je préfère un rendez-vous... Et le professeur lui répond :
- Ok, à l'année prochaine !
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 | par MANTEAU |
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La Citation du Jour
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L'homme naît sans dents, sans cheveux et sans illusions, et il meurt de même, sans cheveux, sans dents et sans illusions. Alexandre Dumas pere 336 |  Citation du jour, Alexandre Dumas pere | |
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Rien ne réussit comme le succès. Alexandre Dumas pere 347 |  Citation du jour, Alexandre Dumas pere | |
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