
La Citation du Jour
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Jouer la comédie, c'est mentir. Sacha Guitry 9 |  Citation du jour, Sacha Guitry | |
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288e jour de l'année
Le du jour
ris-lapin-org-2011
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La Citation du Jour
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J'aime bien les histoires qui finissent mal. Ce sont les plus belles car ce sont celles qui ressemblent le plus à la vie. Pierre desproges 230 |  Citation du jour, Pierre desproges | |
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Le du jour
latributerrible-2010
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La Citation du Jour
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Il y a des services si grands qu'on ne peut les payer que par l'ingratitude. Alexandre Dumas pere 334 |  Citation du jour, Alexandre Dumas pere | |
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Le du jour
latributerrible-2010
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| LE SAVIEZ VOUS ?
| MARDI
  OCTOBRE 2009 |
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Le chocolat est un aliment sucré produit à partir de la fève de cacao. Celle-ci est fermentée, torréfiée, broyée jusqu’à former une pâte de cacao liquide dont on extrait la matière grasse appelée beurre de cacao. Le chocolat est constitué du mélange, dans des proportions variables, de pâte de cacao, de beurre de cacao et de sucre ; on y ajoute éventuellement des épices, comme la vanille.
Consommé initialement sous forme de boisson épicée en Amérique centrale, il se démocratise avec la révolution industrielle. Au XXIe siècle, on le consomme sous forme solide (chocolat noir ou au lait) ou liquide (chocolat chaud). Le chocolat se retrouve dans de nombreux desserts tels que les confiseries, biscuits, gâteaux, glaces, tartes. Offrir du chocolat, moulé de différentes manières, est devenu traditionnel lors de certaines festivités : œufs, lapins et cloches à Pâques, pièces de monnaie pour Hanoucca et Noël et cœurs pour la Saint-Valentin.
Apprécié des gourmets, le chocolat fait l’objet de nombreuses études quant à ses effets sur la santé. Certaines personnes assimilent le chocolat à une drogue ; on appelle cette addiction (non prouvée) le chocoholisme.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| MARDI
  OCTOBRE 2009 |
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Le cranchiidé de l’Antarctique également nommé calmar colossal (Mesonychoteuthis hamiltoni) est la plus grande espèce de calmars, c’est le seul représentant du genre Mesonychoteuthis du grec mesos « milieu », nychus « griffe » et teuthis « calmar ».
Les estimations actuelles pour sa taille maximale sont de 14 mètres, basées sur l’analyse d’individus plus petits et plus jeunes, ce qui en fait un des plus grands invertébrés connus (plus grand que les calmars géants du genre Architeuthis).
Répartition géographique
Le calmar colossal vit au nord de l’Antarctique, au sud de Amérique du Sud, au sud de l’Afrique du Sud, et de l’extrémité sud de la Nouvelle-Zélande, ce qui en fait principalement un habitant de l’ensemble de l’océan Austral.
Découverte
Le 22 février 2007, les autorités de Nouvelle-Zélande ont annoncé que le plus grand calmar colossal connu avait été capturé. Le spécimen pesait 495 kg et a été initialement estimé à 10 m de longueur totale. Les pêcheurs à bord du navire San Aspiring, détenu par la société de fruits de mer Sanford, ont capturé l’animal dans les eaux glacées de l’Antarctique de la mer de Ross. Il fut remonté à la surface en attrapant une légine australe qui avait été prise par une longue ligne. Il ne lâchait pas sa proie et ne pouvait être enlevé de la ligne par les pêcheurs, ils décidèrent donc de le tuer. Ils ont réussi à l’envelopper dans un filet, puis il fut transporté à bord et congelé. Le spécimen a éclipsé le précédent record d’un spécimen pêché en 2003 pesant environ 195 kg. L’échantillon a été congelé dans un mètre cube d’eau et transporté au Musée Te Papa Tongarewa, musée national de Nouvelle-Zélande. Les journalistes ont suggéré que les chercheurs du Muséum envisagent d’utiliser un micro-ondes géant pour décongeler le calmar, car la décongélation du calmar à température ambiante prendrait des jours et il serait probablement victime de pourrissement, tandis que le noyau resterait gelé. Ils ont finalement opté pour l’approche la plus classique de décongélation ; plonger l’échantillon dans un bain d’eau salée. Après le dégel, le calmar fut mesuré à seulement 4,2 m de longueur totale, ses tentacules ayant diminué de façon significative. On l’identifia d’abord comme un mâle, mais un examen plus approfondi de l’échantillon a montré qu’il s’agissait d’une femelle.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| MARDI
  OCTOBRE 2009 |
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Les Bouddhas de Bâmiyân sont deux statues monumentales de bouddhas debout, excavées dans la paroi d'une falaise située dans la vallée de Bâmiyân du centre de l'Afghanistan, à 230 kilomètres au nord-ouest de Kaboul et à une altitude de 2 500 mètres. Le site tout entier est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Construction
Datant très probablement des Ve et VIe siècles, les statues représentaient un mélange classique d'art grec et bouddhiste.
Elles étaient taillées directement dans les falaises de grès, mais les détails avaient été modelés dans un mélange de boue et de paille, puis enduits de stuc. Cet enduit, qui avait pratiquement disparu depuis bien longtemps, était peint pour améliorer le rendu des expressions des visages, des mains et du drapé des robes. Les parties inférieures des bras des statues étaient faites du même mélange d'argile et de paille et soutenues par des armatures en bois. On pense généralement que les parties supérieures des visages étaient constituées de grands masques en bois ou en métal. Les alignements de trous que l'on peut remarquer sur les photographies accueillaient des chevilles en bois servant à stabiliser la couverture de stuc.
Histoire
Situé sur la route de la soie reliant la Chine et l'Inde au monde occidental, Bâmiyân se développa comme un centre religieux et philosophique comportant plusieurs monastères bouddhistes et un lieu de rencontre entre l'orient et l'occident où s'élaborèrent de nouvelles formes d'art gréco-bouddhique. Ce centre bouddhiste majeur, l'un des plus importants du IIe siècle jusqu'à l'apparition de l'islam dans la vallée, au IXe siècle, accueillait moines et ermites qui résidaient dans de petites cavernes creusées dans la paroi des falaises tout au long de la vallée de Bâmiyân. On y trouvait ainsi de nombreuses statues de bouddhas debout ou assis creusés dans des niches de la falaise et les cavernes comportaient souvent des peintures à fresque raffinées et très colorées produites par les moines. Les deux principales statues étaient évidemment les Bouddhas debout géants, mesurant respectivement 53 et 35 mètres de haut, les plus grands exemplaires de Bouddha excavés au monde.
Le pèlerin bouddhiste chinois Xuanzang qui traverse la vallée en 632, l'année même de la mort de Mahomet, décrit Bâmiyân comme un centre bouddhiste en plein épanouissement « comptant plus de dix monastères et plus de mille moines » et indique que les deux Bouddhas géants « sont décorés d'or et de bijoux fins ». Lorsque Mahmûd de Ghaznî fait la conquête de l'Afghanistan au XIe siècle, les bouddhas et les fresques des niches et des cavernes échappent miraculeusement à la destruction. Cependant, au cours des années, les statues sont les victimes de musulmans iconoclastes et les visages finissent par disparaître, peut-être à la suite de tirs de canons de l'armée d'Aurangzeb durant sa campagne afghane.
Finalement, en 2001, après avoir survécu relativement épargnées durant plus de quinze siècles, avoir assisté à la destruction de la ville de Bâmiyân par les Mongols de Genghis Khan en 1222, avoir vu l'occupation russe, les statues sont décrétées idolâtres par le mollah Mohammed Omar et les Talibans les détruisent au moyen d'explosifs et de tirs d'artillerie. En mars 2001, les deux statues avaient disparu après presque un mois de bombardement intensif, causant une vive émotion de par le monde.
Pendant l'opération de destruction, Qudratullah Jamal, le ministre de l'Information taliban, déplora que « ce travail de destruction n'est pas aussi facile que les gens pourraient le penser. Vous ne pouvez pas abattre les statues par quelques coups de canons car toutes deux sont découpées dans une falaise et sont fermement attachées à la montagne. »
Bien que les statues soient presque totalement détruites, leurs contours et quelques parties sont encore reconnaissables dans les cavités. Il est aussi toujours possible d'explorer les cavernes des moines et les passages qui les relient. Cependant, la restauration du site n'a pas été jugée prioritaire par l'UNESCO et les Bouddhas géants ne seront probablement jamais reconstruits. Les efforts se portent aujourd'hui dans deux directions, la consolidation de la falaise et plus particulièrement des niches qui ont beaucoup souffert des bombardements des Talibans, et la recherche du troisième bouddha, un bouddha couché en parinirv&257;na, dont Xuanzang fait la description et qui se trouverait dans la vallée, peut-être enseveli.
Avec les bénéfices récoltées par le concours des Sept nouvelles merveilles du monde, le "New Open World Foundation" compte verser la moitié pour le financement de chantiers de restauration comme par exemple les Bouddhas de Bâmiyân.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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La Citation du Jour
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C'est facile d'attraper un bébé tigre Il suffit d'entrer dans l'antre du tigre. proverbe chinois 172 |  Citation du jour, proverbe chinois | |
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Le du jour
latributerrible-2010
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La Citation du Jour
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Dieu est peut-être éternel, mais pas autant que la connerie humaine. Pierre desproges 212 |  Citation du jour, Pierre desproges | |
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Le du jour
ris-lapin-org-2011
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| LE SAVIEZ VOUS ?
| DIMANCHE
  OCTOBRE 2009 |
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Denis de Paris ou Saint Denis (Dionysius), venu d'Italie vers 250 ou 270 après J.-C. avec six compagnons pour évangéliser la France, aurait été le premier évêque de Paris (Lutèce), l'apôtre des Gaules. Il serait l’oncle de saint Pancrace (ou Pancrace de Rome).
Saint Denis fonda plusieurs églises en France, et fut martyrisé avec Rustique et Éleuthère, ses compagnons, vers 272, pendant la persécution de Valérien. C'est, selon les uns, à Montmartre (mons Martyrum) ou sur l'île de la Cité, selon les autres, qu'ils furent mis à mort.
On fête saint Denis le 9 octobre.
Le Patron de Paris et de la Seine-Saint-Denis fut le premier évêque de la capitale de la France. Il meurt martyr vers 272 et est enseveli là où s'élève la basilique de Saint Denis. C'est tout ce qu'on sait de lui avant le ixe siècle.
D'après les Vies de saint Denis, écrites à l'époque carolingienne, décapité, Denis aurait marché vers le nord pendant six kilomètres, sa tête sous le bras, traversant Montmartre par le chemin qui sera nommé rue des Martyrs. À la fin de son trajet, il donna sa tête à une femme pieuse originaire de la noblesse romaine et nommée Catulla, puis s'écroula. On l'ensevelit à cet endroit précis et on y édifia une basilique en son honneur. La ville s'appelle à présent Saint-Denis.
La tradition a peu à peu fait croître la renommée de Denis qui a ensuite été confondu avec Denys l'Aréopagite (évêque d'Athènes) et Denis le Mystique. Cette tradition remonte à l'abbé Suger au xiie siècle, qui en ayant fait fabriquer des faux, pour des raisons politiques, a fait accroire que saint Denis avait pu assister aux sermons de saint Paul.
Le récit parle également de ses deux compagnons Eleuthère, le prêtre, et Rustique, le diacre, ainsi que du portement de tête du saint après sa décapitation depuis Montmartre jusqu'à St Denis.
Les faits relatés sont les suivants : Le nom de saint Denis apparaît vers 520 dans "la Vie de Sainte Geneviève" qui témoigne de la dévotion de la sainte envers l'évêque martyr, son père dans la foi. Elle obtint du clergé parisien l'érection d'une église sur sa tombe au "vicus Catulliacus" situé à huit kilomètres au nord de la Seine, l'actuelle basilique Saint Denys, rue Catullienne. Elle se rendait également et souvent dans une église de la Cité dont il était le titulaire.
Un demi-siècle plus tard, le martyrologe hieronymien mentionne la déposition de saint Denis et de ses compagnons au 9 octobre et saint Venance Fortunat atteste la diffusion de son culte jusqu'à Bordeaux.
Dans les mêmes années, l'historien Grégoire de Tours raconte que vers 250, le pape de Rome avait envoyé Denis en Gaule avec six autres évêques pour y porter l'Évangile. Celui-ci se fixa à Lutèce où il ne tarda pas à être mis à mort. On pense en effet qu'il subit le martyre sous la persécution de Dèce (250) ou de Dioclétien (258). Près de la basilique où reposait le premier évêque de Paris, une abbaye fut fondée au VIIe siècle et elle devint prestigieuse grâce aux largesses royales depuis Dagobert. Elle contribua au rayonnement de son saint patron en le dotant d'une merveilleuse légende.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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Si on raconte son bonheur, on le diminue. Marcel Achard 187 |  Citation du jour, Marcel Achard | |
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latributerrible-2010
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 L'horoscope
 | Ce que prévoit Madame irma pour vous cette semaine....
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Pour bien mentir il faut beaucoup de sincérité! Jean Giono 46 |  Citation du jour, Jean Giono | |
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L'ambitieux parle contre la paresse, le paresseux contre l'ambition. Charles Dufresny 294 |  Citation du jour, Charles Dufresny | |
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