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La Citation du Jour
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Le baiser d'une femme, c'est la poignée de main du boxeur avant le combat. Marcel Achard 222 |  Citation du jour, Marcel Achard | |
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313e jour de l'année
Le du jour
lola
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| LUNDI
  NOVEMBRE 2015 |
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Le disque de Phaistos ou disque de Phaestos est un disque d'argile cuite découvert en 1908 par l'archéologue italien Luigi Pernier sur le site archéologique du palais minoen de Phaistos, en Crète. Il pourrait dater du milieu ou de la fin de l'âge du bronze minoen (iie millénaire). Son diamètre est d'environ seize centimètres et il est couvert, sur ses deux faces, de hiéroglyphes imprimés à l'aide de poinçons. En tout, ce sont 241 signes, dont 45 différents, qui recouvrent le disque, en formant une spirale partant de l'extérieur vers le centre de l'objet. Son usage, sa signification et même son lieu de fabrication font l'objet d'âpres discussions. À ce jour, aucun autre objet similaire n'a été retrouvé.
De nombreuses théories entourent ce disque, quant à sa provenance, son utilisation ou sa signification. Alors qu'il n'est pas encore certain qu'il s'agisse d'un texte, la plupart des chercheurs penchent pour cette hypothèse, certains d'entre eux ayant proposé des déchiffrements ou des traductions. Mais l'absence d'objets similaires permettant de confronter leurs théories ne permet pas à ce jour de valider ces hypothèses.
Bien que l'authenticité du disque soit généralement admise, certains chercheurs avancent l'hypothèse qu'il puisse s'agir d'un faux.
Le disque original est exposé au musée archéologique d'Héraklion.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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La Citation du Jour
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Nul n'a raison contre la colère du seigneur ni les larmes d'un enfant. Proverbe japonais 165 |  Citation du jour, Proverbe japonais | |
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Le du jour
HagarDunor
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| DIMANCHE
  NOVEMBRE 2015 |
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Alfred Hitchcock, pour expliquer ce qu'est un « MacGuffin », racontera souvent la même petite histoire drôle :
Deux voyageurs se trouvent dans un train allant de Londres à Édimbourg. L'un dit à l'autre : « Excusez-moi Monsieur, mais qu'est-ce que ce paquet à l'aspect bizarre que vous avez placé dans le filet au-dessus de votre tête ? — Ah ça, c'est un MacGuffin. — Qu'est-ce que c'est un MacGuffin ? — Eh bien... c'est un appareil pour attraper les lions dans les montagnes d'Écosse. — Mais il n'y a pas de lions dans les montagnes d'Écosse. — Dans ce cas, ce n'est pas un MacGuffin. »
Le « MacGuffin » est un élément-clé de l'intrigue, matériel ou pas, généralement mystérieux, qui sert en réalité uniquement de prétexte au développement du scénario, et qui n'a, au-delà de cela, aucune importance véritable. Le terme aurait été employé pour la première fois par Angus MacPhail, scénariste et ami d'Hitchcock. Hitchcock et ses scénaristes auront recours au procédé dans de nombreux films. Le « MacGuffin » revêt parfois, peut-être de façon démonstrative, un caractère assez saugrenu. En évoquant le film La Mort aux Trousses, au cours d'une interview avec Truffaut, Hitchcock dira :
« Le meilleur McGuffin que nous avons utilisé, et par meilleur, je veux dire le plus vide, le plus insignifiant, le plus absurde est celui qui apparaît dans La Mort aux Trousses... Le McGuffin y est réduit à sa plus simple expression: Rien du tout »
Hitchcock veut dire par là que ce McGuffin, qui est un microfilm dans cette histoire, est, en substance, de la même matière que le film lui-même, ce qui signifie que le McGuffin n'est jamais qu'un outil de production, comme la caméra ou l'éclairage.
Dans Les 39 Marches (1935), le « MacGuffin » est une série de plans que des espions ont dérobé et qui tient en fait en quelques phrases retenues par M. Memory ; dans Une femme disparaît (1938), c'est un message codé sous la forme d'un petit air de musique ; dans Correspondant 17 (1940), une clause d'un traité qu'un homme politique hollandais est le seul, apparemment, à connaître ; dans Les Enchaînés (1946), un composé chimique caché dans des bouteilles de vin. L'un des « MacGuffin » de La Mort aux trousses (1959) prend la forme de microfilms dissimulés dans une statuette et contenant des « secrets du gouvernement ». C'est la seule explication qui nous sera fournie... Hitchcock voyait là son meilleur « MacGuffin », « le plus inexistant, le plus dérisoire. ». L'importance du « MacGuffin » diminue progressivement au cours du film jusqu'à parfois ne plus en avoir aucune, le spectateur se laissant entraîner par les personnages et la façon dont ils réagissent aux événements générés par le procédé.
Selon certains, le premier « MacGuffin » du cinéma d'Hitchcock se trouve déjà dans Les Cheveux d'or (The Lodger, 1927), avec le personnage de l'« Avenger », le tueur, que l'on ne voit en fait jamais à l'écran. Un autre personnage-« MacGuffin » est bien sûr le mystérieux Kaplan de La Mort aux trousses, qui n'existe tout simplement pas. Dans ce film, on peut même considérer la scène de la discussion entre les agents américains comme une projection d'une réunion entre metteur en scène et scénaristes débattant pour savoir quel tournant faire prendre à l'histoire. Le personnage joué par Leo G. Carroll, qui apparaît pour donner des instructions, représente alors en quelque sorte le scénariste, en qui a surgi une nouvelle idée d'aventure, qu'il vient, « envoyé céleste », dans l'œuvre-même, proposer au héros.
Hitchcock était toujours amusé quand scénaristes ou producteurs dissertaient sur la nature exacte du « MacGuffin », comme ce fut le cas pour celui des Enchaînés ; il dira : « Les gens qui discutent du « MacGuffin » le font parce qu'ils sont incapables d'analyser les personnages. ».
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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La Citation du Jour
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Les gens heureux n’ont pas besoin de se presser. Proverbe chinois 17 |  Citation du jour, Proverbe chinois | |
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Le du jour
HagarDunor
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 L'horoscope
 | Ce que prévoit Madame irma pour vous cette semaine....
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| ARS LONGA, VITA BREVI
| SAMEDI
  NOVEMBRE 2015 |
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Avec ses cheveux longs et ses tatouages ornant ses avant-bras, Serge Birault déconcerte lorsqu'il mentionne dans son parcours des études de droit. Mais rassure, lorsqu'il ajoute «que le dessin l'a vite rattrapé. Peut-être à cause d'une famille plongée dans la peinture et l'architecture».
Talentueux, cet illustrateur toulousain qui touche à plusieurs travaux collectifs entre BD, dessin animé, graphisme de pochettes de disque, publicité et vidéo, dédicaçait samedi au magasin Gibert Musique, son premier album intitulé, Corpus Deliti, ce qui veut dire, Corps de délit en terme juridique.
A suivre...
Images: cliquer sur les miniatures pour zoomer
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 | par MANTEAU |
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 | DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
| SAMEDI
  NOVEMBRE 2015 |
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Des chercheurs ont découvert un objet céleste dont les théories actuelles peinent à expliquer la formation : beaucoup trop gros pour son âge !
C'est un objet céleste qui n'a probablement pas fini de faire parler de lui. Tapi au coeur d'un noyau de galaxie extrêmement lumineux que les scientifiques appellent quasar, des chercheurs chinois et américains viennent de débusquer un monstre, dont ils publient la découverte dans la revue spécialisée Nature. Un trou noir - c'est-à-dire un corps si dense que rien ne peut échapper au champ gravitationnel qu'il engendre (même pas la lumière) - dont la masse équivaut à 12 milliards de fois celle du Soleil ou encore à celle de 3 000 Sagittarius A, le trou noir central de notre galaxie ! C'est énorme, mais ce n'est pas là le record.
Déjà, en 2012, nous vous informions que des scientifiques avaient observé un mastodonte dont la masse avoisinait les 17 milliards de fois celle du Soleil. Dans le cas présent, ce qui a saisi les chercheurs, c'est autant son âge que sa taille ou, plus exactement, son âge rapporté à sa taille. Car ce trou noir nouvellement répertorié sous le matricule J0100+2802 a été découvert très loin de nous, à plus de 12,9 milliards d'années-lumière. Ce qui signifie du même coup qu'il s'agit d'un objet vieux de 12,9 milliards d'années, dans un univers qui, aux dernières nouvelles, en aurait 13,8. Autrement dit, ce gigantesque corps date d'à peine 900 millions d'années après le big bang et de seulement quelque 350 millions d'années après la formation des premières étoiles. Jusqu'ici, le plus gros de ses contemporains jamais observés n'affichait que 2 milliards de masses solaires...
La question est la suivante : comment quelque chose d'aussi gros a-t-il pu se former si vite ? Les théories actuelles sont bien en peine de l'expliquer. Les scientifiques pensent que les trous noirs naissent de l'effondrement d'une étoile sur elle-même, puis grossissent en dévorant la matière qui se trouve dans leur voisinage et, parfois, en fusionnant avec d'autres trous noirs. Sauf que tout cela prend du temps. Beaucoup de temps. Une piste évoquée pourrait être que ce trou noir supermassif primitif soit le résultat de l'effondrement, non d'une simple étoile, mais plutôt d'un gigantesque nuage de gaz. Mais, à ce stade, ce n'est qu'une simple idée. Les chercheurs n'ont donc fini de scruter ce monstre qui les défie. L'équipe a déjà prévu d'utiliser le télescope Hubble pour tenter de faire la lumière sur ce sombre mystère.
Par Chloé Durand-Parenti
Source: Le Point - Publié le 03/03/2015 à 05:53 |
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Les jambes permettent aux hommes de marcher et aux femmes de faire leur chemin. Alphonse Allais 343 |  Citation du jour, Alphonse Allais | |
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