
Pour ceux qui ne seraient pas satisfaits des 192 ch de l'Opel Corsa OPC, le Blitz propose cette Nürburgring Edition forte de 210 ch.
Limitée à 500 exemplaires et pas un de plus, l'Opel Corsa OPC Nürburgring Edition voit donc le 1.6 de 192 ch d'origine gagner 18 équidés supplémentaires grâce à un système de suralimentation et un échappement sport à contre-pression réduite.
En matière de performances, le manufacturier de Rüsselsheim annonce une vitesse maximale de 230 km/h pour un 0 à 100 km/h en 6,8 secondes sur cette version vitaminée de l'Opel Corsa OPC baptisée en hommage au célèbre circuit allemand.
Sur le plan technologique, cette Opel Corsa OPC Nürburgring Edition bénéficie d'une assiette abaissée et de nouveaux amortisseurs Bilstein ainsi que d'étriers de freins Brembo.
Côté look, cette édition limitée bénéficie de teintes extérieures exclusives — vert Grasshopper et rouge Henna — d'un spoiler avant remodelé, de jantes alliage en aluminium forgé de 18 pouces, d'une double sortie d'échappement en acier inoxydable ainsi que de sérigraphies que l'on retrouve également dans l'habitacle.
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 | par ENZO |
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 | par MANTEAU |
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 | PORTRAITS DE FEMMES
| LUNDI
  AOUT 2011 |
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Jeanne Bécu, dite de Cantigny ou de Vaubernier par son mariage comtesse Du Barry née le 19 août 1743 à Vaucouleurs
Elle était issue par sa mère d'une famille de haute domesticité attachée à la cour de Lorraine à Lunéville.
La jeune Jeanne Bécu bénéficia d’une éducation soignée dans le couvent de la rue Neuve-Sainte-Geneviève à Paris1 à partir de 1753.
A l'age de 15 ans vers 1758, La jolie Jeanne sortit de ce couvent pour entrer au service d'une famille de Lagarde issue de la Ferme générale. Elle acquit peu à peu l'aisance et la distinction de manière qu'on lui connaissait.
À dix-sept ans, elle devint vendeuse dans une luxueuse boutique de mode située rue Saint-Honoré à Paris – « les traits galants »
La beauté de la jeune fille la fit remarquer et elle fut reçue dans divers salons dont certainement le « bureau d'esprit », fort connu, de Mme Buffault, née Barbe Peeters, où, probablement, Jean Baptiste Du Barry l'aperçut.
L'année 1768 avait clos pour le roi une décennie parsemée de deuils. Le roi, Louis XV, ayant en effet souffert dans les années précédentes de la mort de ses proches : sa fille la duchesse de Parme (morte en 1759), son petit-fils aîné, le duc de Bourgogne, mort à 10 ans en 1761, sa petite-fille l'archiduchesse Isabelle, élevée à Versailles, morte en couches en 1763, sa favorite en titre, la marquise de Pompadour (morte en 1764)
Le roi, toujours très beau mais vieillissant (il avait alors 58 ans), était libre et désira faire de « Mademoiselle de Vaubernier », superbe jeune femme de 25 ans, sa nouvelle favorite officielle, ce qui ne pouvait être sans une présentation officielle à la cour par une personne y ayant ses entrées et sans qu'elle fût mariée. C'est lui qui imagina donc l'union entre Jeanne et le frère aîné de Jean-Baptiste, le comte Guillaume Du Barry et qu'elle épousa en effet le 1er septembre 1768
"Madame du Barry" est dès lors la maitresse du roi. À la différence de Madame de Pompadour, Jeanne Du Barry ne chercha pas à jouer un rôle politique par elle-même.
À la mort de Louis XV (10 mai 1774), son petit-fils et successeur, probablement inspiré par Marie-Antoinette, fit délivrer toute affaire cessante une lettre de cachet contre Mme Du Barry. Elle du se retourner en province, du coté de Louveciennes et mener dès lors une existence plus paisible.
Cependant, elle est rattrapée, en tant que symbole, par la révolution en 1789 et est guillotinée sous la Terreur le 8 décembre 1793
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 | par EDNA |
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La Citation du Jour
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Quand on lit attentivement ses polices d'assurances, on se rend compte que ce qu'elles protègent le mieux, c'est la compagnie d'assurance. X 268 |  Citation du jour, X | |
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233e jour de l'année
Le du jour
redmeat lapin org-2010
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| MIAM ! RECETTES DE CUISINE
| VENDREDI
  AOUT 2011 |
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Pour 6 personnes :
150 g de biscuit (digestive biscuits ou shortbread)
50 g de beurre
400 g de Philadelphia (voir plus bas)
100 g de mascarpone
2 oeufs
50-60 g de sucre
100 g de chocolat blanc concassé en petits morceaux
1 sachet de sucre vanillé
150 g de cerises dénoyautées
1 dl de vin rouge (syrah)
2 cuillères à soupe de sucre brun
1/2 bâton de cannelle
3-4 capsules de cardamome
100 g de Philadelphia
50 g de sucre glace
1 cuillère à soupe de réduction de vin
Préparation
1-Commencer par dénoyauter les cerises et les faire pocher dans le mélange vin, sucre et épices. Laisser cuire 15 minutes, les cerises doivent rester entières. Retirer du feu et laisser refroidir.
2-Réduire les biscuits en poudre assez fine. Ajouter le beurre fondu et bien mélanger. Recouvrir le fond d’un moule à charnière avec du papier sulfurisé. A l’aide d’un verre droit, tasser la poudre de biscuits dans le fond et sur la paroi du moule pour avoir une couche uniforme et assez compacte. Cuire à blanc pendant environ 5 minutes à 180°C (thermostat 6). Sortir et laisser refroidir.
3-Pendant ce temps, mélanger le Philadelphia (les 400 g) avec le mascarpone. Incorporer les œufs, puis le sucre, bien mélanger le tout pour avoir un appareil homogène. Ajouter le chocolat concassé et bien mélanger à nouveau.
4-Verser la moitié de l’appareil dans le fond précuit, déposer quelques cerises pochées, ajouter le reste de l’appareil, lisser et enfourner pour environ 30-40 minutes à 180°C (thermostat 6). Le temps de cuisson varie selon votre four, il faut que l’appareil au fromage commence à dorer légèrement. Le centre doit être encore légèrement tremblotant à la sortie du four (pas trop cuit).
5-Laisser refroidir, puis patience ! Il faut le garder 24h minimum au frigo.
6-Ce long délai passé, préparer le topping : mélanger le Philadelphia avec 4-5 cuillères à soupe de sucre glace, selon vos goûts. Ajouter 1 cuillère à soupe de la réduction de vin, puis transférer le tout dans une poche à douille. Couvrir la moitié du cheesecake avec le reste de cerises pochées et répartir le topping sur le sommet du cheesecake, entreposer une heure au frigo, puis décorer avec quelques cerises enrobées de chocolat et de noix de coco râpée.
Pour finir... Le Philadelphia est un fromage blanc à tartiner. On le trouve facilement en Suisse, moins en France. Le St-Môret peut le remplacer mais il est beaucoup plus salé ! Sinon, du mascarpone, de la ricotta ou des petits-suisses peuvent faire l'affaire. Cependant, vous n'obtiendrez pas la texture parfaite du Philadelphia.
Recette proposée par Claude-Olivier Marti
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 | par MANTEAU |
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 | HUMOUR
| VENDREDI
  AOUT 2011 |
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Un soir au dîner, la petite dernière demande à son père :
- Papa, pourquoi t'es toujours tout rouge ?
- Ben tu vois, ma fille, c'est l'été, et en mobylette tu prends des coups de soleil et ça te donne la peau toute rouge.
La fillette opine du chef mais ne paraît pas totalement convaincue.
- Mais papa, en hiver aussi t'es tout rouge...
- Oui, ma fille, mais en hiver il fait froid. Sur la mobylette, le froid et la vitesse, ça te fait la peau toute rouge.
Alors la mère, excédée, saisit la bouteille de pastis et la tend à sa fille :
- Tiens, passe la mobylette à ton père !
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 | par MANTEAU |
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La Citation du Jour
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L'absence est à l'amour ce qu'est au feu le vent ; il éteint le petit, il allume le grand Roger de Rabutin comte de Bussy 293 |  Citation du jour, Roger de Rabutin comte de Bussy | |
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Le du jour
redmeat lapin org-2010
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