TOUT L'AGENDA
 | PORTRAITS DE FEMMES
| MERCREDI
  NOVEMBRE 2011 |
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Bien qu'ayant remplacé en 1950 Renata Tebaldi dans Aïda, Callas fait ses débuts officiels à la Scala de Milan au mois de décembre 1951 dans Les Vêpres Siciliennes. Ce temple de l'opéra devient son repaire artistique durant les années 1950. L'illustre maison monte de nouvelles productions spécialement pour la cantatrice avec des réalisateurs ou des personnalités prestigieuses du monde de la musique : Herbert von Karajan, Margherita Wallmann, Luchino Visconti, Franco Zeffirelli, entre autres.
En 1952, après un concert à la Radio Télévision Italienne au cours duquel elle interprète Macbeth, Lucia di Lammermoor, Nabucco et Lakmé, elle se produit pour la première fois au Royal Opera House de Londres (Covent Garden). Elle y incarne Norma aux côtés de la mezzo-soprano Ebe Stignani, dans le rôle d'Adalgisa et de la jeune Joan Sutherland dans le rôle de Clotilde. Elle noue à cette occasion « une longue histoire d'amour » avec son public17. Elle revient devant « son parterre » en 1953, 1957, 1958, 1959, 1964 et 1965. C'est enfin au Royal Opera House que, le 5 juillet 1965, Callas fait ses adieux à la scène dans Tosca, mise en scène et réalisée spécialement pour elle par Franco Zeffirelli. Son vieil ami, Tito Gobbi lui donne la réplique en interprétant Scarpia.
En 1954, l'Amérique, qui avait « boudé » Callas quelques années auparavant, est conquise à son tour avec Norma, rôle-fétiche de la cantatrice, interprété devant le public de l'Opéra de Chicago qui a enfin pu ouvrir ses portes. À la fin de la représentation, les spectateurs l'ovationnent longuement.
Malgré un reportage peu flatteur de Time Magazine, fait de vieux clichés concernant son caractère jugé « capricieux » qui l'aurait fâchée avec plusieurs directeurs d'opéra, sa supposée rivalité avec Renata Tebaldi et même ses difficultés relationnelles avec sa mère avec laquelle elle a définitivement rompu tout contact suite à sa première tournée lyrique à Mexico en 1950, elle triomphe au Metropolitan Opera de New York en novembre 1956.
L'image de la cantatrice s'est profondément modifiée : de constitution plutôt forte, elle a perdu, entre le début de l'année 1953 et la fin de l'année 1954, plus de trente kilos grâce à un régime . Sa nouvelle silhouette longiligne attire l'intérêt des grands couturiers et elle devient l'une des femmes les plus élégantes du moment. Désormais, les magazines s'intéressent autant à sa vie privée qu'à ses prestations scéniques. C'est à cette époque qu'elle rencontre l'homme qui bouleverse sa vie : Aristote Onassis, armateur grec milliardaire et séducteur aux multiples aventures...
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 | par EDNA |
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15/01/2011 Maria Callas
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La Citation du Jour
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L'erreur est humaine, mais pour un vrai désastre il faut un ordinateur Anonyme 74 |  Citation du jour, Anonyme | |
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326e jour de l'année
Le du jour
latributerrible-2010
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 | PORTRAITS DE FEMMES
| MARDI
  NOVEMBRE 2011 |
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Nous sommes en 1946, sur la terrasse illuminée du Waldorf Astoria, où un gala de charité réunit banquiers cousus d’or et matrones parées de bijoux. Un gala comme il s’en organise à New York pour financer les nobles causes. Ce soir-là, la cosméticienne Estée Lauder est priée de dire quelques mots sur son métier. Mais, plus que ses propos, ce sont les tubes de rouge à lèvres qu’elle a personnellement posés à côté de chaque assiette qui captivent les femmes de l’assistance.
La soirée achevée, il n’en restera pas un seul. Opération réussie puisque, comme prévu, les invitées, ravies, seront bien moins tentées de s’offrir une autre marque. L’anecdote souligne deux raisons du fantastique succès d’Estée Lauder : cibler la clientèle haut de gamme et mettre soi-même la main à la pâte.
Oncle chimiste. Le virus de la vente, Josephine Esther Mentzer ,née à New York vers 1906 (elle ne dira jamais son âge), l’a contracté dès l’enfance. Estée voudrait être actrice, mais en attendant elle prend plaisir à organiser la vitrine ou à convaincre les clients d’acheter les nouveautés.
Un jour, un oncle nommé John Schotz débarque de Hongrie avec une valise pleine de produits chimiques. Il concocte des crèmes pour la peau plus odorantes les unes que les autres. Schotz apprend à Estée, fascinée, comment soigner son visage : surtout pas de savon, juste une fine couche de crème après un lavage à l’eau.
Dans les Années folles, le marché des cosmétiques est en plein boom. Pour les Américaines qui travaillent, le maquillage n’est plus une frivolité, c’est une nécessité. Estée court les boutique pour vendre les crèmes qu’elle prépare dans sa cuisine d’après les formules de son oncle. Sa notoriété grandit, essentiellement par le bouche-à-oreille. Son rêve : séduire un jour les lectrices de «Vogue» ou de «Harper’s Bazaar».
1939, la guerre éclate. Paradoxalement, quand les temps sont difficiles, il faut bien se faire plaisir, et certaines célibataires préfèrent sauter un repas plutôt que se passer de rouge à lèvres. Les affaires continuent donc à marcher. Elle arrive à séduire d'abord les magasins Saks à New York puis Neiman Marcus à Dallas, Harrods à Londres, les Galeries Lafayette à Paris…
En 1973, à plus de 65 ans, elle laisse à son fils Leonard les rênes d’une société très prospère et mondialement réputée. Devenue dame de l’establishment, réalisant ainsi son rêve d’enfance, elle s’occupe jusqu’à sa mort, en 2004, de sa fondation de lutte contre le cancer du sein. Une autre façon de prendre soin des femmes.
Source : Capital.fr
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 | par EDNA |
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La Citation du Jour
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La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. Woody Allen 35 |  Citation du jour, Woody Allen | |
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Le du jour
latributerrible-2010
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La Citation du Jour
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C'est dormir toute la vie que de croire à ses rêves. Proverbe chinois 203 |  Citation du jour, Proverbe chinois | |
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Le du jour
latributerrible-2010
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 | INSOLITE!
| DIMANCHE
  NOVEMBRE 2011 |
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La mésaventure du pilote d'un vol intérieur américain, coincé dans les toilettes de son propre appareil, a tourné à la panique après qu'un passager "au fort accent étranger" a voulu avertir le copilote de l'incident, rapporte le New York Post jeudi.
Le quiproquo commence peu avant l'atterrissage à l'aéroport new-yorkais de LaGuardia d'un vol de la compagnie régionale Chatauqua Airlines, en provenance de Caroline du Nord (Sud-Est).
Bloqué dans les toilettes de l'appareil, le pilote tambourine à la porte du réduit pour attirer l'attention. Alerté, un passager tente de prévenir le copilote, resté seul aux commandes, de la mésaventure de son supérieur.
Rendu nerveux par l'absence prolongée du pilote, le copilote refuse de croire le passager, qui lui explique la situation à travers la porte du cockpit et auquel il trouve un accent du Moyen-Orient, selon une source anonyme du New York Post, qui ne précise pas la nationalité ou l'origine du passager en question.
A terre, le contrôleur aérien qui suit l'appareil n'est pas plus rassuré. Il préconise au copilote de déclarer un état d'urgence et de poser l'appareil au plus vite. Des chasseurs de l'armée de l'Air sont même mis en alerte, mais ne décolleront finalement pas. La scène dure de longues minutes avant que le pilote ne finisse par enfoncer la porte défectueuse et regagner son poste aux commandes.
L'avion a finalement atterri normalement à 18H30 ce meme jour.
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 | par MANTEAU |
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La Citation du Jour
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Il n'y a que les pauvres de généreux. Honoré de Balzac. 64 |  Citation du jour, Honoré de Balzac. | |
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Le du jour
latributerrible-2010
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 L'horoscope
 | Ce que prévoit Madame irma pour vous cette semaine....
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