| COULEUR PEOPLE
| MARDI
NOVEMBRE 2016 |
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Contrairement à ce qu’elle avait laissé entendre, Kendall Jenner a été assez affectée par la transformation de son père…
En juin 2015, Bruce Jenner devenait officiellement Caitlyn Jenner et s’affichait en femme sur la couverture de Vanity Fair. Heureuse de cette nouvelle identité, elle tweetait son bonheur : « Je suis tellement heureuse après une si une si longue lutte, d'être enfin moi-même. Bienvenue au monde, Caitlyn. J'ai hâte que vous la/me rencontriez. » Le bonheur était total car même ses enfants et beaux-enfants la soutenaient.
Même si elle a approuvé à 100 % cette transformation, Kendall Jenner a dû prendre sur elle pour la comprendre. Elle ressent encore aujourd'hui comme un pincement au coeur. Son père, Bruce Jenner, lui manque. Difficile pour la jeune femme de 20 ans de ne jamais penser à lui lorsqu’elle voit Caitlyn Jenner. « Parfois je regarde les photos de mon père quand c'était encore un homme, et ça me rend triste, j'en pleure », a-t-elle confié au magazine Vogue.
La transformation n’a donc finalement pas été si facile à accepter pour Kendall Jenner. « J'ai grandi en conduisant des quads et des karts, ce qui est l'une des raisons pour lesquelles je suis une bonne conductrice. C'est très ironique de repenser à tout ça maintenant, mais je peux remercier mon père d'avoir fait de moi un vrai garçon manqué. C'est pour ça que sa transition a été très dure pour moi, elle m'avait tout appris sur le fait d'être un tomboy », a-t-elle avoué.
Dans le clan Jenner/Kardashian, on va de l’avant et on ne se morfond pas très longtemps. Aussi Kendall Jenner a-t-elle rebondi en ajoutant : « Il faut surpasser ça, au final j'ai juste une nouvelle personne dans ma vie à aimer. C'est une bénédiction en fait, si je peux me permettre. »
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| par STARMAG |
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| PORTRAITS DE FEMMES
| MARDI
NOVEMBRE 2016 |
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Eliška Junková, née Alžběta Pospíšilová, connue également sous le nom d'Elizabeth Junek, le 16 novembre 1900 à Olomučany en Moravie-du-Sud, Empire autro-hongrois et morte le 5 janvier 1994 à Prague, est une pilote automobile tchèque, considérée comme étant l'une des meilleures femmes pilotes dans l'histoire du Grand Prix automobile. Elle termina notamment quatrième du Grand Prix d'Allemagne 1927 (vainqueur de classe moins de 3,0 l et d'une Coupe des Dames) sur Bugatti Type 35 de 2,0 l.
Enfance
Sixième des huit enfants d'un forgeron à Olomouc en Moravie, dans l'Empire austro-hongrois, elle a été surnommée « Smisek » dès son plus jeune âge en raison de son sourire omniprésent. À la fin de la Première Guerre mondiale, lorsque sa Moravie natale devint partie de la nouvelle République tchécoslovaque, elle trouva un emploi à la Banque Olomouc grâce à ses compétences en langues étrangères, développées en raison de son désir de voyager de par le monde. C'est là qu'elle rencontra Vincenc « Cenek » Junek, un jeune et ambitieux banquier qui partageait sa fascination pour la vitesse et deviendra plus tard son mari.
Son travail l'amena d'abord à Brno puis à Prague, puis à l'étranger en France et à Gibraltar, bien que la bureaucratie l'empêche de voyager en Afrique du Nord, à Londres ou à Ceylan comme elle en avait l'intention. Elle retourna ensuite à Paris pour rejoindre son amour, qui était alors devenu assez riche pour se consacrer à sa passion automobile.
Eliška se rappellera plus tard : « S'il doit être l'amour de ma vie, je ferais mieux d'apprendre à aimer ces damnés engins. » Mais elle tomba bientôt elle-même sous le charme des voitures de course de l'époque, particulièrement les Bugatti. Ils retournèrent à Prague en 1922, où elle prit clandestinement des leçons de conduite pour obtenir son permis. Entre-temps, Cenek avait commencé à concourir sérieusement. Il remporta en catégorie la course de côte de Zbraslav-Jiloviste en 1922, l'année où ils se marièrent enfin.
Au volant
La même année, le couple acheta une Mercedes, puis une Bugatti Type 30 qui avait précédemment concouru au Grand Prix automobile de France. Au début, elle travailla en tant que mécanicien de course auprès de son mari, mais une blessure à la main de son mari datant de la Première Guerre mondiale, qui affectait sa capacité à passer les vitesses, l'amena à le remplacer au volant. L'année suivante, elle courut seule, et à Lachotin-Tremosna remporta la course dans la catégorie Grand tourisme, devenant ainsi une célébrité du jour au lendemain. Elle finit ensuite première à Zbraslav-Jiloviste en 1925, et les Junek achetèrent leur deuxième Bugatti pour célébrer l'événement. Dès 1926, Eliška avait atteint un niveau qui lui permettait de participer à des courses dans toute l'Europe contre les meilleurs pilotes masculins de l'époque. Alors qu'elle gagnait en notoriété, s'attirant le surnom « Reine du volant » dans la presse automobile, Eliška fut anglicisé pour devenir Elizabeth.
En 1926, elle termina seconde dans la course de côte du Col du Klausen en Suisse, puis disputa le Targa Florio en Sicile, une course où l'endurance importait autant que la vitesse en raison d'une piste difficile, souvent boueuse. Mais Eliška était un pilote d'une grande technicité et elle est souvent mentionnée comme étant l'un des premiers pilotes à marcher le long d'un circuit avant la course, notant les principaux repères et repérant la meilleure ligne dans les virages. Exploitant ses préparations minutieuses au mieux, elle était en quatrième position avant de devoir abandonner à la suite d'un accident, performance qui lui valut un grand respect. En 1927, elle remporta la catégorie voitures de sport 3 litres au Grand Prix d'Allemagne à Nürburg et le handicap dames 50 kilomètres organisé à Montlhéry durant les 24 heures de Paris
Dans le but de remporter le Targa Florio de 1928, elle acheta une nouvelle Bugatti Type 35B afin de pouvoir concourir d'égale à égal avec ses meilleurs concurrents masculins. À la fin du premier tour, Eliška était en quatrième position derrière le fameux Louis Chiron dans sa Bugatti sponsorisée, mais au deuxième tour elle prit la tête. Au dernier tour, elle rencontra divers problèmes qui l'amenèrent à finir cinquième, se classant tout de même devant 25 autres concurrents de premier ordre, dont Luigi Fagioli, René Dreyfus, Ernesto Maserati et Tazio Nuvolari.
Tragédie
Au Grand Prix allemand au Nürburgring en juillet 1928, elle partagea la conduite avec son mari. Juste après l'avoir remplacée, son mari fit une sortie de piste et fut tué sur le coup. Eliška fut profondément affectée ; elle abandonna la course automobile, vendit ses voitures, et retourna à sa première passion, le voyage. Ettore Bugatti en personne lui offrit une nouvelle voiture pour son voyage à Ceylan, et l'embaucha pour explorer de nouvelles perspectives commerciales en Asie.
Eliška finit par se remarier peu après la Seconde Guerre mondiale. Mais de 1948 à 1964, les autorités communistes, désapprouvant le style de vie bourgeois et flamboyant qu'« Elizabeth Junek » avait mené, lui interdirent tout voyage à l'étranger. Tout comme Hellé Nice, sa célèbre homologue française, elle fut plus ou moins oubliée du monde de la course automobile. Mais elle vécut plus de 90 ans, assez pour voir tomber le rideau de fer et pour que la « Reine du volant » retrouve sa place dans l'histoire de la course automobile. En 1989, à l'âge de 88 ans, et contre les conseils de son médecin, elle participa en tant qu'invitée d'honneur à un événement Bugatti aux États-Unis.
Elle s'est éteinte paisiblement en 1994 à Prague, en République tchèque, âgée de 93 ans.
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| par EDNA |
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La Citation du Jour
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C'est toujours un peu délicat pour un homme de parler d'une femme Sacha Guitry 256 | Citation du jour, Sacha Guitry | |
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319e jour de l'année
Le du jour
garfield-2010
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| LE SAVIEZ VOUS ?
| LUNDI
NOVEMBRE 2016 |
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L'ukiyo-e ( terme japonais signifiant « image du monde flottant ») est un mouvement artistique japonais de l'époque d’Edo (1603-1868) comprenant non seulement une peinture populaire et narrative originale, mais aussi et surtout les estampes japonaises gravées sur bois.
Après des siècles de déliquescence du pouvoir central suivis de guerres civiles, le Japon connaît à cette époque, avec l'autorité désormais incontestée du shogunat Tokugawa, une ère de paix et de prospérité qui se traduit par la perte d'influence de l'aristocratie militaire des daimyos, et l'émergence d'une bourgeoisie urbaine et marchande. Cette évolution sociale et économique s'accompagne d'un changement des formes artistiques, avec la naissance de l’ukiyo-e et les techniques d'estampe permettant une reproduction sur papier peu coûteuse, bien loin des peintures telles que celles de l'aristocratique Kanō.
Les thèmes de l’ukiyo-e sont également tout à fait nouveaux, car ils correspondent aux centres d'intérêt de la bourgeoisie : les jolies femmes et les oiran (courtisanes) célèbres, les shunga (scènes érotiques), le théâtre kabuki et les lutteurs de sumo, les yōkai (créatures fantastiques), les egoyomi (calendriers) et les surimono (cartes de vœux), le spectacle de la nature et des meisho-e (lieux célèbres).
Alors qu'il passe au Japon pour vulgaire de par sa valorisation de sujets issus du quotidien et de sa publication de masse liée à la technique d'impression de l'estampe, ce genre connaît à la fin du xixe siècle un grand succès auprès des Occidentaux. Après l’ouverture forcée par l'attaque des Navires noirs américains et la signature du traité inégal de la Convention de Kanagawa, le pays est forcé d'accepter le commerce avec le monde occidental (États-Unis, Royaume-Uni, France, Pays-Bas et Russie) à partir de 1858. L'arrivée en grande quantité de ces estampes japonaises en Europe et la naissance du japonisme influencent alors fortement la peinture européenne et, en particulier, l'école de Pont-Aven avec Camille Pissaro, Paul Cézanne, Émile Bernard puis Paul Gauguin2, et les impressionnistes.
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| par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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13/08/2016 L'hippogriffe
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La Citation du Jour
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Turn your face to the sun and the shadows fall behind you Proverbe maori 272 | Citation du jour, Proverbe maori | |
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Le du jour
garfield-2010
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| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
| DIMANCHE
NOVEMBRE 2016 |
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L'hypothèse du zoo est une explication théorique, avancée en 1973 par l'astronome John A. Ball, sur des prémisses posées par Constantin Tsiolkovski en 1934, en réponse au paradoxe de Fermi lequel concerne l'apparente absence de contacts et de preuves de l'existence d'une vie extraterrestre. Selon cette hypothèse, les extra-terrestres existeraient et seraient assez avancés technologiquement pour pouvoir communiquer avec les Terriens. Ils observeraient la Terre et l'humanité à distance, sans essayer d'interagir, à la façon de chercheurs qui observent des animaux primitifs à distance, évitant d'entrer en contact afin de ne pas les perturber.
Un développement de cette hypothèse est celle de la « quarantaine galactique » où les civilisations extraterrestres, pour des raisons éthiques, scientifiques ou culturelles, attendraient, avant de contacter l'humanité, qu'elle atteigne un certain niveau technologique ou évite l'autodestruction. D'autres hypothèses ont été développées à partir de celle-ci par des scientifiques, devenant parfois des sujets philosophiques. Les critiques et les scientifiques soulignent qu'il n'y a aucun moyen de les vérifier.
Les hypothèses du zoo et de la quarantaine galactique ont également été reprises en ufologie et dans des œuvres de science-fiction.
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| par MANTEAU |
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La Citation du Jour
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L'applaudissement, c'est jamais qu'une manifestation tout à fait instintive du système nerveux cérébro-spinal, par laquelle le chimpanzé ou la ménagère manifestent leur joie frénétique incontrôlée, à la vue d'une banane, ou de Julio Iglesias. Pierre desproges 160 | Citation du jour, Pierre desproges | |
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Le du jour
garfield-2010
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L'horoscope
| Ce que prévoit Madame irma pour vous cette semaine....
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