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Le du jour
lola
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| DIMANCHE
  NOVEMBRE 2014 |
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Le Seigneur des anneaux (The Lord of the Rings) est un roman en trois volumes de J. R. R. Tolkien paru en 1954 et 1955.
L'histoire reprend certains des personnages présentés dans Le Hobbit, premier roman de l'auteur paru en 1937, mais l'œuvre est plus complexe et plus sombre. Tolkien entreprend sa rédaction à la demande de son éditeur, Allen & Unwin, à la suite du succès critique et commercial du Hobbit. Il lui faut douze ans pour parvenir à achever ce nouveau roman qu'il truffe de références et d'allusions au monde du Silmarillion, la Terre du Milieu, sur lequel il travaille depuis 1917 et dans lequel Le Hobbit a été attiré « contre l'intention première » de son auteur.
C'est une des œuvres fondamentales de la littérature dite de fantasy, terme que Tolkien explicite dans son essai Du conte de fées de 1939. Tolkien lui-même considérait son livre comme « un conte de fées ... pour des adultes », écrit « pour amuser (au sens noble) : pour être agréable à lire ».
Cette œuvre est composée de six livres, qui ne portent pas de titres. À l'origine, Tolkien souhaite publier Le Seigneur des anneaux en un seul volume, mais le prix du papier étant trop élevé en cette période d'après-guerre, l'œuvre est divisée en trois volumes : La Communauté de l'anneau (The Fellowship of the Ring), Les Deux Tours (The Two Towers) et Le Retour du roi (The Return of the King). On fait souvent référence à cette œuvre comme à « la trilogie du Seigneur des anneaux », terme techniquement incorrect car l'œuvre fut écrite et conçue d'un seul tenant. Néanmoins, Tolkien lui-même reprend dans ses lettres, de temps à autres, le terme de « trilogie » lorsqu'il est employé par ses correspondants.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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 | SORTIES BD
| DIMANCHE
  NOVEMBRE 2014 |
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C’est en 1963 que Joaquìn Dalvador Lavado, alias Quino, créé le personnage de Mafalda pour répondre à une commande publicitaire de la marque d’électro-ménager Mansfield. Si la campagne tombe finalement à l’eau, le dessinateur conserve l’idée de cette petite fille brune, et la dote d’un esprit aiguisé. En 1964, ses premières aventures paraissent dans l’hebdomadaire Primera Plana, puis, ensuite, dans le quotidien argentin El Mundo. Et ce jusqu’en 1973.
Son histoire
Selon son auteur, Mafalda est âgée de six ans. Il y a fort à penser que la fillette présente tous les signes d’un enfant HP tant les questions qu’elles se posent sur le monde qui l’entoure sont nombreuses et pertinentes. Mondialisation, inégalités, militarisme, capitalisme… tous les sujets les plus importants y passent. Mafalda est alors une voix qui exprime ses idées dans un contexte général de guerre froide et dans une argentine sous le joug d’une dictature militaire.
Si Mafalda est une enfant qui se pose des questions d’adultes, la bande dessinée de Quino est très différente des Peanuts de Schultz avec laquelle elle est souvent comparée. Outre le fait qu’elle soit sud américaine et qu’elle soit née dans un pays contrôlé par l’armée, contrairement à Charlie Brown qui est nord américain dans un pays libre, la petite Argentine est confrontée à un monde d’adultes, avec lesquels elle interagit.
En 12 albums, Quino a fait de sa petite Mafalda une héroïne politique, encensée par nombres d’écrivains comme l’Italien Umberto Eco qui écrit: «L'univers de Mafalda n'est pas seulement celui de l'Amérique Latine, dans ses régions métropolitaines et avancées. En général, il est un univers latin pour plusieurs aspects: pour cette raison, Mafalda nous apparaît plus compréhensible que les personnages de la BD nord-américaine. Finalement, Mafalda est une héroïne de nos temps: cette qualification n'est pas exagérée pour le petit personnage que Quino nous propose. Désormais, personne ose nier que cette BD est l'indice de nos moeurs: dans Mafalda se reflètent les inquiétudes d'une jeunesse qui se présentent sous une forme paradoxale dans la désapprobation enfantine. Du moment que nos fils commencent à devenir -pour notre choix- beaucoup de Mafaldas, alors ce ne sera pas imprudent de la traiter avec le respect qui mérite un personnage réel».
Une icône
Les comics trips de Mafalda ont remporté un grand succès en Amérique et en Europe grâce à l’humour de son dessinateur qui a su créer ce personnage saisissant d’intelligence. Mafalda, qui en dehors de ses préoccupations philosophiques, déteste la soupe plus que le communisme et adore la meringue, est confrontée à une galerie de personnages hauts en couleur. Manolito, le garçon le plus capitaliste d’Argentine, Susanita, sa copine qui ne rêve qu’à une vie de femme au foyer d’un homme riche. Felipe, le rêveur. Sans oublier sa tortue Bureaucratie, surnommée ainsi pour sa lenteur…
Mafalda est devenue une icône de son pays. Depuis 2009, sa statue trône dans le quartier de San Telmo, à Buenos-Aires et est devenue un passage obligé des touristes à la découverte de la ville. L’écrivain colombien Gabriel García Márquez n’hésite pas à écrire sur son sujet
«Depuis des années, les livres de Quino, nous démontrent que les enfants sont les dépositaires de la sagesse. Ce qui est triste pour le Monde, c'est qu'au fur et à mesure qu'ils grandissent, ils perdent l'usage de la raison; à l'école ils oublient ce qu'ils savaient à la naissance, et à la fin devenus adultes misérables, ils ne se noient pas dans un verre d'eau, mais dans un plat de soupe. Vérifier ce fait dans chacun des livres est quelque chose qui nous rapproche à notre enfance, donc au bonheur: essayez la Quino-thérapie».
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 | par MANTEAU |
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Les affaires sont les affaires. Proverbe japonais 327 |  Citation du jour, Proverbe japonais | |
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