 | HUMOUR
| MERCREDI
  DECEMBRE 2015 |
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C'est une blond qui vient de s'offrir un lifting pour ses 34 ans.
En sortant de la clinique, elle va chez le coiffeur et lui demande quel age il lui donne
- Ben... je dirais 28 ans.
- Eh bien non, j'en ai 34 ! dit-elle toute contente.
Elle va chez ensuite manger au restau et recommence avec le serveur
- Hmmm... 24 ans ? dit celui ci
- Pas du tout ! J'ai 34 ans ! lance-t-elle en riant.
Arrivée à l'arrêt de bus, elle ne peut s'empêcher de poser la même question à un petit vieux qui attend là.
Le papy lève les yeux et dit :
- Excusez-moi, j'ai 85 ans et ma vue n'est plus ce qu'elle était. Par contre, j'ai une méthode infaillible pour connaître l'âge des femmes. Mais pour cela il faut que je vous touche les seins
Paris est un peu embarrassée, mais est tentée. Elle regarde à droite, à gauche, et, ne voyant personne, finit par accepter.
Le petit vieux s'exécute. Cela dure bien 5 minutes, pendant lesquelles il ne fait que marmonner d'un air ravi. La dame commence à avoir des doutes. C'est alors que le petit vieux s'écrie :
- Vous avez 34 ans !
Paris est surprise
- Ça alors ! Mais comment avez-vous fait ?
- J'étais à la table à coté de vous au restaurant !
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 | par MANTEAU |
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La Citation du Jour
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L'amour est la réponse, mais en attendant la réponse, le sexe soulève de bonnes questions. Woody Allen 115 |  Citation du jour, Woody Allen | |
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335e jour de l'année
Le du jour
HagarDunor
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La Citation du Jour
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Depuis que je me suis pendu, j'ai appris quelque chose: c'est qu'on pouvait avoir du plaisir même avec son malheur. Jean Giono 123 |  Citation du jour, Jean Giono | |
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Le du jour
lola
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| VINTAGE GLAMOUR
| DIMANCHE
  NOVEMBRE 2015 |
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La célébrité
Ces activités apportent à Zweig la célébrité, qui commence par sa nouvelle Amok, publiée en 1922. Dès lors, tous ses ouvrages sont des succès de librairie. Sa notoriété grandit et le met à l’abri des soucis financiers dans les difficiles années d’après-guerre. En contrepartie, la notoriété, nourrie par les traductions en plusieurs langues, entraîne son lot de sollicitations et d’engagements. Zweig s’épuise dans d’interminables tournées. Il ne trouve le repos que dans l’isolement de sa villa à Salzbourg, auprès de Friderike. Là, il reçoit ses amis, écrivains, musiciens, penseurs, d’où qu’ils viennent.
En 1925, Zweig remanie la pièce Volpone de Ben Jonson. La pièce, traduite dans plusieurs langues, reçoit un accueil enthousiaste et contribue à sa renommée.
Les biographies, pour Zweig, sont l’occasion d’éclairer le présent à la lueur des agissements passés. Elles mettent en lumière toute l’incapacité apparente de l’homme à apprendre de ses erreurs, surtout en cette époque où apparaissent déjà les premiers signes avant-coureurs des catastrophes à venir. Parallèlement à sa carrière d’écrivain, Zweig consacre une grande part de son temps et de ses revenus à sa collection de manuscrits, de partitions et d’autographes. Elle constitue un véritable trésor, assemblée comme une œuvre d’art, où on retrouve notamment une page des Carnets de Léonard de Vinci, un manuscrit de Nietzsche, le dernier poème manuscrit de Goethe, des partitions de Brahms et de Beethoven.
Cette collection inestimable sera confisquée par les nazis, dispersée et en grande partie détruite. Elle lui aura cependant inspiré quelques textes, dont La Collection invisible.
À l’aube de la cinquantaine, Zweig subit l’usure du couple avec Friderike. Il entreprend un ouvrage sur Marie-Antoinette, où il explore le thème des gens frappés par la tragédie, qui savent trouver dans le malheur une forme de rédemption et de dignité. L’ouvrage connaîtra un grand succès, tout juste avant la prise du pouvoir par les nazis en 1933.
L’arrivée au pouvoir d’Hitler vient bouleverser la vie de Zweig, qui a très tôt une conscience claire du terrible danger que représente le dictateur pour les Juifs, pour l’Autriche et pour toute l’Europe.
Cette année charnière voit l’exil forcé d’un grand nombre des amis allemands de Zweig
, en février 1934. Il laisse tout derrière lui, persuadé, à juste titre et contre l’avis des siens, que le bruit des bottes n’ira qu’en augmentant. Ses rêves de paix s’évanouissent. Zweig quitte l’Autriche sans grand espoir d’y revenir.
Suicide
Condamné à l' exil, hanté par l'inéluctabilité de la vieillesse, ne supportant plus l'asthme sévère de Lotte, sa femme et affecté moralement par la second guerre mondiale, il décidera qu’il ne peut plus continuer à assister ainsi, sans recours, à l’agonie du monde.
Le 22 février 1942, après avoir fait ses adieux et laissé ses affaires en ordre, Stefan Zweig met fin à ses jours en s'empoisonnant au Véronal (barbiturique), en compagnie de Lotte qui refuse de survivre à son compagnon.
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 | par DARKWOODS |
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28/11/2015 Stefan Zweig #1
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La Citation du Jour
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Lorsqu'on pose une question, on est bête 5 minutes, lorsqu'on ne la pose pas, on est bête toute sa vie... Anonyme 147 |  Citation du jour, Anonyme | |
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Le du jour
lola
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 L'horoscope
 | Ce que prévoit Madame irma pour vous cette semaine....
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