 | LE SAVIEZ VOUS ?
| MARDI
  JUIN 2016 |
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Le Bugul-noz ( by.dʒyl.’noːs en breton vannetais) ou bugel-noz, « enfant de la nuit » ou « berger de la nuit », est une créature nocturne du légendaire breton, proche du lutin et du loup-garou, et connue pour se présenter sous la forme d'un berger métamorphe portant un large chapeau. Surtout attaché au Vannetais, qui forme l'actuel Morbihan, il est mentionné depuis le xviie siècle et peut-être issu des créatures du type « appeleur ».
La tradition populaire parle de la crainte qu'il inspire et des moyens de s'en protéger. Il aurait pour fonction, selon Walter Evans-Wentz et Pierre Dubois, de prévenir les bergers attardés de l'arrivée des hordes nocturnes, et de les pousser à regagner leur foyer. Les mères bretonnes effrayaient jadis leurs enfants en l'évoquant.
Origine et confusions
Dans tous les cas, le bugul-noz a un rôle d'« épouvantail », puisque les parents désireux de ne pas voir leurs enfants courir le soir les menaçaient en disant que si le bugul-noz les voyait en dehors de la maison, il les emporterait dans son immense chapeau rond6.
Il est peut-être issu de Yannig an Aod (ou Yann-An-Ôd), « Jean du rivage », un « appeleur » qui pousse les pêcheurs à rentrer au port dès la nuit tombée, d'après Walter Evans-Wentz et Albert Moxhet. Un bulletin de la Société archéologique du Morbihan, paru en 1858, affirme qu'il est issu des dusino latins.
Paul Sébillot note une confusion entre le bugul-noz et le loup-garou à son époque, un même nom désignant le lycanthrope qui rejoint les siens durant la nuit et le pâtre nocturne d'apparence humaine.
En 1914, le chanoine J. Buléon mène une enquête sur le « Bugul-Noz et le Garo » dans la Revue Morbihannaise de février, et suppose qu'il y a eu confusion entre plusieurs types de récits, qui se sont fondus les uns dans les autres. Il regrette que les conteurs aient fait des amalgames. François Cadic note en 1922 que le bugul-noz, les kannerezed-noz et les hopper-noz ont été assimilés à des revenants, suppôts du Diable.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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“L'arbitre : Et bien, messieurs... Qu'est-ce qui s'passe ? Qu'est-ce qu'y a ? Vous avez caché le ballon ? J'vous préviens, messieurs, que j'suis arbitre fédéral.
Jean-Marie : Vous êtes t'y anglais ?
L'arbitre : Bein, non...
Jean-Marie : Bon, bein, pour moi, un arbitre qui n'est pas anglais, c'est rien de moins qu'un tcho merdaillon en culotte courte qui joue avec un sifflet. Allez donc mettre un pantalon long, jeune homme.”
Dans l’atelier de Jean-Marie, pendant le premier match de football, après avoir caché le ballon
Jean Gabin, Jean-Pierre Rambal, Les vieux de la vieille (1960), écrit par Michel Audiard
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La Citation du Jour
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Définir, c'est limiter.. Oscar Wilde 83 |  Citation du jour, Oscar Wilde | |
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Le du jour
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| LUNDI
  JUIN 2016 |
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Le 2 juillet 1992, la Fédération internationale de football association (FIFA) choisit la France pour organiser la Coupe du monde de football de 19984. En contrepartie, la France s'engage à construire un stade d'une capacité de 80 000 places, assises et couvertes. Il y a plus de 70 ans que l’État n’avait pas construit de stade (stade olympique Yves-du-Manoir à Colombes pour les Jeux olympiques d'été de 1924), laissant les villes opérer seules dans le domaine.
Seul l’État pouvait conduire un investissement de cette envergure. La concession est la meilleure réponse à l’importance du coût. Le principe, inédit pour la construction d’un équipement sportif, est le suivant : le concessionnaire prend à sa charge la construction et l'exploitation du stade, et obtient en échange de l'État une concession de 30 ans et une participation financière à son investissement. Ce principe, envisagé dès 1988, a eu des conséquences importantes sur le choix du site (qui devait être bien desservi et proche de Paris) et sur la polyvalence du programme (compétitions de haut niveau en football, rugby et athlétisme, spectacles et manifestations de grande envergure). Après le choix des constructeurs et la signature du permis de construire (le 30 avril 1995), il ne restait plus que 31 mois pour bâtir le stade.
Le chantier commence le 2 mai 1995 mais la pose de la première pierre a lieu le 6 septembre 1995. La construction du Stade de France a fait appel à la fois à des techniques de travaux publics (structures des gradins, haubans et ancrage du toit) et de bâtiment (locaux intérieurs, surfaces habitables sous les gradins, façades vitrées).
L’une des caractéristiques de ce chantier fut sa rapidité d’exécution. Les 800 000 m2 de terrassement ont été effectués en cinq mois et les 180 000 m3 de béton coulés en un an. Les aménagements techniques, la pose du toit, l’installation de la tribune mobile de 25 000 places se sont également effectués en un an. En outre, 40 000 plans ont été nécessaires.
Longtemps nommée « Grand Stade », l'enceinte est baptisée « Stade de France » le 4 décembre 1995 par un jury réuni par le ministre des Sports de l'époque, Guy Drut, spécialement pour lui trouver un nom : « Le stade que la France entière attendait depuis si longtemps… s'appellera tout simplement Stade de France. ». Un concours d'idées avait été lancé par le ministère des Sports, et le nom de Michel Platini fut le plus souvent cité. Le jury écarta toutefois les noms de personnes et opta pour « Stade de France » après une proposition de Francis Huster.
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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Tu n’es pas bon à rien, tu es mauvais à tout. Marcel Pagnol 63 |  Citation du jour, Marcel Pagnol | |
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