| VINTAGE GLAMOUR
| MARDI
  SEPTEMBRE 2020 |
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Charles Sheldon était un illustrateur prolifique et doué du début du XXe siècle, spécialisé dans les portraits glamour qui ornaient les couvertures des premiers magazines de cinéma et la publicité dans les styles art nouveau et art déco. Après des études à l'Art Students League, il se rend à Paris pour étudier auprès du légendaire Alphonse Mucha. À son retour en Amérique, Sheldon a installé un studio au Carnegie Hall à New York.
En 1918, Sheldon reçut sa première commande de pin-up, une série d'annonces pour la lingerie La Vogue . Il a rapidement commencé à travailler sur des campagnes publicitaires pour Fox Footery ainsi qu'à créer des couvertures pour Collier's Magazine, The Saturday Evening Post et Photoplay.
En 1921, il contribuait des portraits de haute couture au magazine Woman's Home Companion and Theatre. Des femmes célèbres du monde entier se sont arrangées pour s'asseoir pour des portraits dans son studio du Carnegie Hall à New York.
Les pastels qu'il a créés pour Photoplay de 1925 à 1930 comprenaient des représentations glamour de stars de cinéma hollywoodiennes telles que Clara Bow, Mae West, Jean Harlow, Greta Garbo, Gilda Gray, Mary Pickford et de nombreuses autres enchanteresses hollywoodiennes. Contrairement à de nombreux illustrateurs de magazines de cinéma, qui travaillaient principalement à partir de photos publicitaires, bon nombre de ces stars ont personnellement siégé pour Sheldon. Parallèlement à son travail pour Photoplay , l'artiste a travaillé pour les magazines Screenland, Movie Classic et Radio Digest .
Pour créer ses pastels uniques, Sheldon a souvent photographié ses modèles en studio, et la Grapefruit Moon Gallery est entrée dans une collection immobilière de ces photographies originales
Charles Sheldon est décédé en 1961 à son domicile.
Derniere photo: Charles Sheldon himself
Images: cliquer sur les miniatures pour zoomer
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 | par DARKWOODS |
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La Citation du Jour
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Rien ne sert de tirer sur un brun d'herbe pour le faire pousser... Proverbe zen 169 |  Citation du jour, Proverbe zen | |
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272e jour de l'année
Le du jour
garfield-2010
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 | VINTAGE GLAMOUR
| VENDREDI
  SEPTEMBRE 2020 |
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Flora Bramley - aussi appelée Bromley -, (24 septembre 1904 ,Londres - 23 juin 1993, Moline, Illinois, USA), est une actrice de cinéma américaine d’origine anglaise, durant les années 1930.
Promue une des starlettes WAMPAS Baby Stars de la saison 1928, elle fait une courte carrière cinématographique de 4 films.
Son premier film enregistré à la société de distribution FBO est The Dude Cowboy en 1926, suivi par trois autres films, tous produits par l'United Artists. Le manager des Studios de Buster Keaton, Harry Brand la convainc de jouer avec Buster Keaton dans son prochain film College en 1927.
Coté professionnel, plus de trace d'elle après 1930
Elle décède le 23 juin 1993, âgée de 88 ans dans sa demeure à Moline dans l'Illinois.
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 | par DARKWOODS |
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 | INSOLITE!
| VENDREDI
  SEPTEMBRE 2020 |
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Parmi tous les sons marins, il y en est un de plus rond, moins frétillant que celui de la crevette claqueuse, moins rythmé que celui des poissons mais tout aussi intrigant. Il s’agit de la coquille Saint-Jacques… La Pecten maximus, espèce présente sur les côtes atlantiques et méditerranéennes françaises, est fort connue des gourmets, car c’est elle que l’on retrouve dans nos assiettes. Mais si l’on croit tout savoir sur la saveur de sa chair et ses déclinaisons culinaires, on est un peu moins pointu sur la vie de la coquille Saint-Jacques... Par exemple, sait-on que la coquille Saint-Jacques est loin d’être un coquillage immobile ? Face à un danger, comme son grand prédateur, l’étoile de mer, elle est capable de prendre la poudre d’escampette : elle se redresse et en faisant claquer ses valves pour en expulser rapidement l’eau, elle se déplace rapidement. De même, fait très rare chez les coquillages, elle possède une bonne centaine d’yeux, points noirs brillants qu’on peut apercevoir quand elle entrouvre ses valves et qui fonctionnent de manière réflexive.
On ne sait pas si elle entend mais ce qui est bien certain c’est qu’elle produit du son. Un son, pour être encore plus précise, qu’elle émet en éternuant et plutôt bruyamment ! Car pour expulser les petites particules et excréments qui la gênent à l’intérieur de sa coquille, la Saint-Jacques ouvre ses valves puis les referme, c’est le son que l’on entend.
Ce son vous l’aurez compris n’a pas à priori vocation à communication, lorsqu’elle éternue, la coquille Saint-Jacques, tout comme beaucoup d’invertébrés d’ailleurs, fait un bruit involontaire et ne cherche pas à transmettre un message à ses congénères.
Source: franceculture.fr/ |
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 | par MANTEAU |
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La Citation du Jour
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L'expérience est cette merveilleuse chose qui vous fait reconnaître une erreur... la deuxième fois. F. P. Jones 190 |  Citation du jour, F. P. Jones | |
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Le du jour
garfield-2010
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