| THE GIRL FROM POMONA
| LUNDI
  AOUT 2020 |
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Star du cinéma et entrepreneuse américaine, Jessica Alba est également mère de famille. Dans un entretien accordé au magazine Reveal, la comédienne a levé le voile sur la façon dont elle éduquait Honor, Haven et Hayes. Une chose est sûre : ça file droit chez les Alba !
La maternité est un sujet qui touche particulièrement la comédienne... Maman de trois enfants, Honor (12 ans), Haven (8 ans) et Hayes (2 ans et demi), Jessica Alba est bien occupée ! Si la star de 39 ans avait révélé à E News pendant le confinement qu'elle ne pouvait pas leur échapper, car ils la suivent jusqu'aux toilettes, dans la salle de bain et dans chaque recoin de leur maison, c'est lors d'un entretien accordé au magazine américain Reveal en duo avec son mari Cash Warren, que Jessica Alba a levé le voile sur la façon dont elle les éduquait, et ce, sans langue de bois !
Si Jessica Alba est devenue une star dans les années 1990 après avoir joué dans les séries Les nouvelles aventures de Flipper le dauphin et Dark Angel, elle ne souhaite pas que sa célébrité ait un impact sur ses enfants. En effet, la star s'est jurée que ses enfants ne deviendront pas pourris-gâtés en grandissant : "Je n'hésite pas à fixer des limites et des routines. Ils doivent faire leurs lits. Ils doivent mettre la table, la débarrasser. Ils participent à l'entretien de la maison et d'eux-mêmes !" De son côté, Cash Warren a confié : "Une chose sur laquelle Jessica et moi sommes d'accord à 100%, c'est que nous n'élevons pas des petits cons. S'ils ne font pas ce qu'on dit, nous ne l'accepterons pas. Nous avons essayé de maintenir les valeurs que nos parents nous ont enseignées."
Quelles valeurs la star souhaite inculquer à ses enfants ?
Si Honor, Haven et Hayes ont une vie privilégiée, Jessica Alba a à cœur que ses enfants sachent que d'autres personnes n'ont pas la chance qu'ils ont : "J'ai toujours dit à mes enfants que personne ne choisit de naître dans des circonstances difficiles, et que tout le monde mérite d'être traité avec dignité. L'entreprise de Cash, Pair of Thieves a créé une fête appelée la Journée Nationale de la Chaussette. Ils ont distribué des millions de chaussettes à des refuges pour sans-abris et nous irons distribuer des chaussettes et des produits d'hygiène avec les enfants. Pendant les vacances, nous adoptons des familles et les enfants m'aident à choisir des cadeaux et à dresser des listes - des nécessités comme des couvertures chaudes, des sacs à dos et des chaussures, mais aussi des livres et des jouets. J'espère que mes enfants ressentiront ainsi toujours le besoin de redonner."
Une enquête closemag.fr
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 | par MANTEAU |
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25/05/2020 Jessica Alba pour Hassan Hajjaj, Mai 2019
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La Citation du Jour
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Quand j'étais jeune, je pensais que l'argent était la chose la plus importante au monde. Maintenant que je suis vieux, j'en suis certain. Oscar Wilde 70 |  Citation du jour, Oscar Wilde | |
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Le du jour
Leo et Lu
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L'auteur du blog raconte:
A la fin des années 60, les parisiennes et les parisiens, purent découvrir au Printemps, le célèbre magasin des grands boulevards, des poupées à l'effigie des héroïnes de papier du dessinateur Edmond Kiraz.
Voilà que prenaient vie les répliques exactes et en trois dimensions des fameuses chipies séductrices et insolentes dont le talentueux dessinateur croquait les petits défauts dans la presse.
Ces mannequins miniatures d'une trentaine de centimètres (entre 26 et 28 cm car elles n'ont pas toutes la même taille) reprenaient à la perfection la moue boudeuse de leurs soeurs de papier.
Minces et élégantes, comme on savait l'être à l'époque, du boulevard Saint Germain à Montparnasse, hôtesse de l'air ou en tenue de soirée, en pyjama fleuri ou sanglées dans un
imper à carreaux, ces poupées incarnaient toutes les parisiennes, élégantes dans toutes les situations du haut de leurs jambes interminables
../..
La suite ici
https://poupeekiraz.pagesperso-orange.fr/cariboost3/crbst_1.html
Images: cliquer sur les miniatures pour zoomer
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 | par MANTEAU |
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 | LE SAVIEZ VOUS ?
| DIMANCHE
  AOUT 2020 |
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Kiraz, né Edmond Kirazian le 25 août 1923 au Caire (Égypte) et mort le 11 août 2020 dans le 6e arrondissement de Paris, est un dessinateur de presse français, connu pour être le créateur des Parisiennes.
Les débuts
Edmond Kirazian naît le 25 août 1923 au Caire, de parents d'origine arménienne francophiles : il est prénommé Edmond en hommage à Edmond Rostand.
À dix ans, il exécute sa première peinture, visible des deux côtés, car il ignore comment on apprête une toile. L’œuvre se trouve à présent dans l’église arménienne de Bagdad, où chacun peut l’admirer « comme une peinture miraculeuse ». Il parle arménien, arabe, français et anglais
À 17 ans, il entame sous le nom de « Kiraz » une carrière de dessinateur politique dans des journaux égyptiens : Image, la revue des troupes britanniques Parade, le quotidien de langue française La Réforme d’Alexandrie, l’hebdomadaire de langue arabe Al Moussavar, l’hebdomadaire Al Itnein… Il devient un caricaturiste réputé, et gagne fort bien sa vie : « Mon père était directeur aux Télégraphes et Téléphones et je gagnais l’équivalent de cinq fois son salaire ! »
Premier séjour à Paris
À 22 ans, en 1946, il se rend à Paris: pendant un an, il s’applique à découvrir un Paris qui, « vu d’Égypte, est encore la capitale des arts, du goût et de la mode ».
Une de ses activités favorites consiste à aller s'asseoir au jardin du Luxembourg, en compagnie d’un ami, et attribuer une note sur dix aux jolies Parisiennes qui passent : « J'ai vu des libellules ! » s’exclame-t-il. Au bout d'un an, ses économies se sont envolées. Il retourne en Égypte.
Mais Kiraz est tombé amoureux de Paris et, en 1948, il revient s’y installer pour de bon, « avec l’intention de tout voir, de vivre intensément et surtout de peindre ». Kiraz est un admirateur de Velasquez, de Vermeer, de Bonnard.
À Montparnasse (il a son atelier boulevard Raspail), il côtoie les artistes. Il fréquente l’Académie de la Grande Chaumière, où il étudie le nu.
C’est le 20 janvier 1951, dans le numéro 290 de Samedi Soir, qu’apparaît Line, sa première figure féminine.
Et c’est le 6 août 1953, dans le numéro 423 de Samedi Soir, qu’il commence un « Carnet de belles ». Il collabore à ce journal jusqu’en décembre 1955 pour travailler ensuite chez Ici Paris, de 1955 à 19644.
Jours de France
En 1959, Marcel Dassault remarque les dessins de Kiraz dans Ici Paris. Il lui demande d’assurer deux pages de dessins d’humour dans son hebdomadaire, Jours de France. Marcel Dassault propose d’intituler ces deux pages « Les Parisiennes ».
Kiraz trouve le titre affligeant, mais il accepte.
Jours de France voit apparaître les créatures sophistiquées de Kiraz — chaque semaine dans un décor nouveau : Parisiennes au bureau, Parisiennes au volant, Parisiennes en vacances4… Ces nunuches filiformes, aux jambes démesurées, commencent par déconcerter. Puis elles séduisent.
« Tout en ces filles élancées semblait défier la pesanteur », relève le peintre et essayiste Ange-Henri Pieraggi.
Les yeux en amande, les lignes fluides, un trait stylisé de beaucoup de classe, les reflets de la mode, l’univers des beaux quartiers, le détail fashion, une aisance à interpréter l'air du temps, un humour très personnel imposent Kiraz comme un dessinateur complètement hors normes, et lui valent un grand succès.
Les choses se passeront au mieux avec Marcel Dassault : « C’était un fan ! ../.. Pendant trente ans, il m’a foutu une paix totale ! Je faisais ce que je voulais, personne dans la rédaction n’avait le droit de me faire une remarque, c’était sacré ! Dassault attendait mon dessin tous les mercredis, il voulait qu’on le lui apporte en premier! »
Un style qui rejoint la monde de la mode
Le 26 décembre 1964, dans le numéro 528, apparaît sur toute une page, en plus des deux pages noir et blanc, un grand dessin couleur : le premier « Kiraz-color ». Un Kiraz-color n’est pas un dessin « mis en couleur », mais une exigeante composition tonale où Kiraz, qui semble ne travailler que par plaisir, peut s’adonner à sa passion première de la peinture.
La légende humoristique vient souvent en dernier
« Kiraz captait, dit Christian Lacroix, semaine après semaine, l'essence de la mode, d'une manière qui était celle d'un couturier. » Et le fait est que l’élégance des Parisiennes va inspirer plus d’un créateur.
Le style de grands couturiers, celui de pionniers du prêt-à-porter (le New Look de Dior, Chanel, Courrèges, Cardin, Lacroix, Scherrer) trouvent une nouvelle impulsion dans les dessins de Kiraz.
Modestement, Kiraz prétend s'inspirer lui-même de silhouettes aperçues dans la rue, de ces terrasses de café où il aime s’installer pour écouter et observer : « Les Parisiennes seules m’apportent un spectacle complet, une source d’énergie. Elle courent, elles bougent… Après quoi courent-elles ? ../.. À Paris seulement je trouve cette énergie et cette clarté, ou cette apparence de clarté.
Parce que, bien sûr, je n’en sais pas plus… Je m’arrête avant d’en connaître davantage. »
De 1959 à 1987, Kiraz publie dans Jours de France des milliers de dessins et jamais un n’a été refusé.
Quelques mois après la mort de Marcel Dassault, Kiraz arrête sa collaboration à Jours de France (no 1672, du 31 janvier 1987). L’hebdomadaire cesse de paraître deux ans plus tard.
L’après Jours de France
Par la suite, le nom de Kiraz s' associe à l’histoire d'autres publications: Jours de France, Gala, Paris Match, Vogue, Glamour , ABC hebdomadaire (Espagne), Ola (Espagne), , Grazia (Italie) mais surtout aussi à Playboy (dès 1970) où le dessin se fait plus coquin.
Ses Parisiennes sont également très demandées en publicité : pour Perrier, Scandale, Candia , Canderel, Nivea ...
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 | par MANTEAU |
| | Source: fr.wikipedia.org
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La Citation du Jour
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Etre aimé est très différent d'être admiré, car l'on peut être admiré de loin, alors que pour aimer réellement quelqu'un, il est essentiel de se trouver dans la même chambre, et si possible sous le même drap. Woody Allen 310 |  Citation du jour, Woody Allen | |
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Le du jour
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 L'horoscope
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