TOUT L'AGENDA
| VROUM!
| MARDI
FEVRIER 2020 |
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Le site www.soolide.com vous propose de découvrir ces quelques voitures qui se trouvent être des pépites en matière de « mocheté »(c'est eux qui le disent)
On est en 1957 et on fait face à la prise de conscience d’un moine qui aurait réfléchi sur une manière d’éviter au maximum les accidents de voiture. Après les mûres réflexions du moine, Aurora est née avec ses formes qui ne sont pas réellement convaincantes. Aussi, on ne sait pas vraiment ce qu’il en est au niveau de ses performances et de ses qualités anti-accidents !
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| par ENZO |
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09/06/2020 Bizarre, moche ou géniale ? 01/07/2020 Bizarre, moche ou géniale ? 10/08/2021 Bizarre, moche ou géniale ? 31/05/2020 Bizarre, moche ou géniale ? 07/02/2020 Bizarre, moche ou géniale ? 01/12/2019 Bizarre, moche ou géniale ? 08/05/2020 Bizarre, moche ou géniale ? 03/07/2020 Bizarre, moche ou géniale ? 15/09/2021 Bizarre, moche ou géniale ?
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| LA PAGE CINéMA
| MARDI
FEVRIER 2020 |
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1969, Dustin Hoffman est encore un jeune acteur dont la carrière a fraîchement décollé trois ans plus tôt grâce au Lauréat de Mike Nichols. Alors que l’Amérique connaît de profonds changements, et le cinéma avec elle, le comédien fait la connaissance du réalisateur John Schlesinger. Ensemble, ils vont tourner Macadam Cowboy, chef-d’oeuvre emblématique de l’époque et qui sera couronné de trois Oscars. Les années vont ensuite passées, la notoriété d’Hoffman ne va cesser de croître après des classiques tels que Les Chiens de Paille, Papillon ou Les Hommes du Président. Arrive 1976. Au sommet, Dustin Hoffman va retrouver John Schlesinger pour Marathon Man, thriller d’espionnage adapté d’un roman éponyme à succès de William Goldman paru un an plus tôt. L’acteur y partagera l’affiche avec une légende vivante, l’impressionnant Laurence Olivier. Malgré son statut de comédien confirmé et malgré les succès, Dustin Hoffman était quand même un peu impressionné face à ce monument du septième art et du théâtre, souvent considéré comme l’un des plus grands du haut de son immense carrière. L’entente entre les deux acteurs fut très cordiale mais néanmoins, Laurence Olivier donna une petite leçon d’acting à son partenaire, qui restera comme l’une des anecdotes amusantes autour d’un film qui entrera parmi les classiques des années 70.
Pour mémoire, Dustin Hoffman a été formé à l’Actors Studio comme bien d’autres de son époque, d’Al Pacino à Jack Nicholson en passant par Dennis Hooper ou Marlon Brando. Et sur ses tournages, Hoffman appliquait les principes de la célèbre « Méthode ». L’idée était « d’être vrai et non de jouer ou de simuler », de vivre vraiment ce que vit son personnage et non de chercher à « imiter » ce qu’il traverse en l’imaginant. En gros, tout le contraire de Laurence Olivier, vieux de la vieille qui a appris l’exact opposé puisque tout sa carrière s’est bâtie sur le « jeu » et son talent pour cela. On en arrive à ce jour de tournage où Dustin Hoffman devait jouer une scène où son personnage n’avait pas dormi de la nuit. Au petit matin sur le plateau, Dustin Hoffman a débarqué dans un état d’épuisement total, pâle et cerné. Inquiet pour sa co-star qui n’avait pas l’air dans son assiette, Laurence Olivier est allé lui demander si tout allait bien car il n’en avait pas l’air. Dustin Hoffman s’est alors lancé dans une explication de la Méthode à son illustre partenaire, expliquant notamment qu’il n’avait pas dormi de la nuit pour être raccord avec son personnage et pour mieux rendre à l’écran son état de fatigue. Amusé par cette technique un peu improbable à ses yeux, Laurence Olivier lui a alors lancé un magnifique : « Et sinon, vous avez essayé de jouer tout simplement, c’est quand même plus simple !« . On imagine d’ici la tête de Dustin Hoffman qui venait de s’acharner à garder les yeux éveillés toute une nuit pour être dans le rôle, tout ça pour entendre ça le lendemain matin ! Le pire, c’est que Laurence Olivier récidivera. Lors du dernier jour de tournage, afin de paraître une fois encore épuisé et essoufflé pour les besoins d’une scène, Hoffman est allé faire un long et intense footing. De retour sur le plateau et prêt, il s’étonnera du peu de préparation de son partenaire qui débarquait limite les mains dans les poches. Et Laurence Olivier de lui avoir lancé à nouveau un magnifique : « Et si vous vous contentiez de jouer plutôt ?« .
Cette petit leçon drôle et tendre façon professeur à élève manquera Dustin Hoffman qui en parlera lors d’une masterclass à l’actors Studio des années plus tard. Selon lui, l’anecdote était à nuancer. Dustin Hoffman était en plein divorce et voulait oublier ses ennuis en s’abandonnant totalement dans son travail. Laurence Olivier aurait compris l’idée et par ces petites phrases bienveillantes, lui faire comprendre qu’il savait et qu’il lui apportait son soutien. Bon… Admettons. Mais on imagine quand même que Laurence Olivier, icône qui avait roulé sa bosse depuis les années 30 à l’écran comme sur les planches, devait avoir un peu de mal à comprendre cette nouvelle génération d’acteurs à la « méthode » un peu ubuesque. Ironie du sort, ce sera Olivier qui récoltera des récompenses pour sa performance sur le film, un Golden Globes et une nomination à l’Oscar !
Par Nicolas Rieux/mondocine.net
Images: cliquer sur les miniatures pour zoomer
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| par 5AVRIL |
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La Citation du Jour
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Le patronat c'est l'exploitation de l'homme par l'homme, le syndicalisme, c'est l'inverse. Coluche 193 | Citation du jour, Coluche | |
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41e jour de l'année
Le du jour
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| INSOLITE!
| LUNDI
FEVRIER 2020 |
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La présence de l'apollon bloque un projet de développement de la station. Cette dernière avait prévu la création de 6000 lits supplémentaires.
C'est un petit papillon de 4 cm qui s'appelle apollon et qui cause beaucoup de désagréments aux responsables de l'Alpe-d'Huez (Isère). Le projet de développement de la station, incluant la création de 6 000 lits, vient en effet d'être bloqué net par l'apollon. Ce papillon protégé en voie de disparition étant présent sur le site devant accueillir de nouvelles résidences touristiques, le tribunal administratif de Grenoble a annulé le plan local d'urbanisme (PLU) sur lequel reposait le projet.
Pour la Fédération Rhône-Alpes de protection de la nature (Frapna), qui avait saisi la justice, «cette décision est une victoire contre la bétonisation de la montagne». Des responsables de l'Alpe-d'Huez, eux, enragent. Ils comptaient redynamiser la station avec ces constructions nouvelles. Et tablaient sur une augmentation de 34 % de la fréquentation des remontées mécaniques.
La station compte 33 000 lits
«Cette décision pénalise l'Alpe-d'Huez en bloquant son développement. Sans nouveaux lits, la société qui gère les remontées va revoir ses investissements à la baisse. Mais nous allons nous battre», clame le maire, Jean-Yves Noyrey (LR). L'Alpe-d'Huez, rendue célèbre par le Tour de France avec sa montée aux 21 virages, compte 33 000 lits touristiques dont plus des deux tiers sont occupés moins de trois semaines par an.
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| par MANTEAU |
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La Citation du Jour
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L’optimisme vient de Dieu, le pessimisme est né dans le cerveau de l’homme. Proverbe arabe 178 | Citation du jour, Proverbe arabe | |
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Le du jour
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| LA PAGE CINéMA
| DIMANCHE
FEVRIER 2020 |
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Le personnage de Yamamura Shizuko (la personne dans le miroir) est basé sur une personne ayant réellement existé. Chizuko Mifune (en), née en 1886 dans la préfecture de Kumamoto, avait, paraît-il, le don de voyance. À la suite d'une démonstration en 1910, elle a été considérée comme un charlatan et s'est suicidée quatre mois plus tard en ingérant du poison
La scène de la cassette où on voit dans un miroir une jeune femme (Shizuko) peigner ses cheveux a été inspirée d'un documentaire sur Chizuko Mifune qui est passé à la télévision quelques années avant la sortie du film.
La scène où l'assistante de Ryuji, l'ex-mari de Reiko, change un plus en moins au tableau est une référence au film Les Chiens de paille (Straw Dogs, 1971) où l'épouse du personnage principal faisait la même chose.
Le romancier Kôji Suzuki a puisé son inspiration dans Poltergeist (1982), son film d'horreur préféré, pour écrire Ringu.
Les quatre jeunes regardent la cassette le 29 août 1997. C'est aussi la date où la fin du monde est censée avoir lieu dans Terminator 2. Il se peut que ce soit une simple coïncidence.
Autre référence à l'univers de Terminator : les deux films s'achèvent sur un plan fixe très similaire, une route droite et fuyant vers le centre de l'écran, au-devant d'un ciel menaçant, signe d'avenir sombre.
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| par 5AVRIL |
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16/01/2021 La Nuit américaine: autour du film 07/06/2021 From Beyond(1986), Aux portes de l'au-delà: autour du film 24/04/2021 La La Land: autour du film 02/08/2020 Miroir, 1946: autour du film 12/08/2020 Dirty Harry(L'inspecteur Harry) : autour du film 26/04/2020 Le fabuleux destin d'Amélie Poulain: autour du film 30/05/2020 Meurtre(1930), d'A.Hitchcock: autour du film 12/02/2020 L'ange bleu(1930): autour du film 20/03/2020 Les anges de l'enfer, de H.Hughes(1930): autour du film 03/04/2021 L'ager d'or(1930): autour du film 16/07/2020 L'Héritier(1973): autour du film 28/03/2021 Les Vieux de la vieille: autour du film 21/08/2021 Edward aux mains d'argent: autour du film 01/06/2020 Evil Dead (1981) : autour du film
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La Citation du Jour
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Existe-t-il une séparation entre le corps et l'esprit, et si oui, lequel est-il préférable d'avoir? Woody Allen 179 | Citation du jour, Woody Allen | |
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Le du jour
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L'horoscope
| Ce que prévoit Madame irma pour vous cette semaine....
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| COULEUR PEOPLE
| SAMEDI
FEVRIER 2020 |
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Fidèle à sa formation de danseuse classique, Mathilda May met en scène, cette saison, deux spectacles sans paroles où la gestuelle et le rire sont rois : « Le Banquet » et « Monsieur X », avec Pierre Richard. De quoi rêver.
Q : Vous avez reçu l’an dernier un Molière de la mise en scène pour « Le Banquet », sorte de farandole loufoque où les personnages s’expriment en onomatopées lors d’un repas de mariage bien arrosé qui vole en éclats. Comment abordez-vous cette reprise au Théâtre de Paris ?
R : Très joyeusement. C’était inespéré parce que le spectacle est difficile à monter, assez lourd financièrement. Sur scène, il y a dix comédiens et autant de techniciens en coulisses. Et j’ai la chance d’avoir une bonne production dans cette magnifique salle à l’italienne du Théâtre de Paris.
Q : Au départ, monter un spectacle aussi fou et sans paroles, c’était plutôt risqué, non ?
R : Plus qu’un risque, je dirai un défi. Tout comme mon précédent spectacle, « Open Space » (2015), qui montrait la vie de bureau. C’est un pari artistique, technique et financier parce que ce genre de spectacle est complexe à mettre en place. Il y a une scénographie particulière, des effets spéciaux. Enfin, il y a mon propre style, mon propre langage qui sont le fruit de toute une vie de passions, basée sur la danse, la musique, l’écriture et le jeu.
Q : L’occasion aussi d’épingler nos travers…
R : Rien de tel qu’un banquet de mariage pour observer l’humain. C’est une occasion rêvée. Chacun y va de son numéro comique et fait son intéressant. Personne ne se parle. On s’agite, on danse, on s’entrechoque, on glisse, on trébuche. L’alcool aidant, les masques tombent, les caractères se révèlent dans un mélange de générations, de classes sociales. Pas de paroles, juste des gestes, des mouvements, des attitudes. On dit toujours que le corps trahit la pensée et c’est ça qui m’intéresse : la part de vérité. Tout devient parlant.
Q : Au Théâtre de Paris, vous mettez en scène « Monsieur X » avec un Pierre Richard, seul sur scène et mutique, accompagné par la musique d’Ibrahim Maalouf. Autre défi ?
R : Oui, c’est une forme d’expression qui me plaît. Elle m’appartient, née de mon expérience de danseuse et comédienne. C’est un mélange de styles. La parole est absente mais pas le langage du corps. Les personnages s’expriment mais d’une autre façon, plus physique. L’expression humaine est très riche.
Q : Pourquoi avez-vous choisi ce roi de la comédie ?
R : Parce que Pierre est l’acteur du corps par excellence. Le seul après Jacques Tati à avoir une signature corporelle. Il est lui-même un personnage, très créatif. Il est plus qu’un acteur, il irradie de sa personne, de son visage, de son regard quelque chose de très parlant.
Q : Quelle est l’histoire de « Monsieur X » en quelques mots ?
R : Celle d’un homme pour qui la solitude est tout, sauf un poids. « Monsieur X » raconte la vie d’un artiste pour qui l’inspiration passe par la solitude. C’est sa manière de réinventer un autre monde, un autre imaginaire.
Q : Vous êtes une enfant de la balle, Premier prix du Conservatoire de danse classique de Paris et comédienne. Que représente le théâtre pour vous ?
R : Un endroit où tout est possible. Un endroit de recherches, de défi, d’aventures, de rassemblement, de partage, d’échanges. Un endroit où il y a plus de marge qu’au cinéma pour inventer un monde et embarquer le spectateur.
Q : Et le cinéma ?
R : Je n’attends rien. Quand on est comédien, on est toujours en demande de rôles, en attente qu’on veuille bien de vous. C’est compliqué. Du coup, je fais ce que j’ai à faire, je suis autonome. Si les choses viennent, tant mieux ! Sinon, tant pis ! C’est trop douloureux.
Q : Que vouliez vous transmettre avec votre livre « V.O. », paru en 2018 ?
R : Je voulais encourager ceux qui se sentent empêchés dans leur vie à se remettre en mouvement et à acquérir une forme d’autonomie. Il faut être capable de se réinventer, comme ce fut mon cas. Une façon de chasser les idées préconçues à mon égard et donner la bonne version de moi-même.
Q : Quel est votre moteur ?
R : J’ai la passion d’aller de l’avant, de me renouveler, de varier les univers.
Propos recueillis par Jean Luc Wachthausen
Source: letelegramme.fr (lien)
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| par STARMAG |
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| COULEUR PEOPLE
| SAMEDI
FEVRIER 2020 |
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Elle embrasse la scène artistique avec gourmandise. Ancienne danseuse, comédienne, amoureuse de la musique et metteur en scène, Mathilda May propose une reprise du «Banquet» au Théâtre de Paris et «Monsieur X» avec Pierre Richard au Théâtre de l’Atelier. Deux spectacles sans paroles riches en émotions.
Q : Qu’est-ce que je vous offre?
Un thé noir chaud pour se réchauffer.
Q : Quelle musique pour vous accompagner?
R : J’ai des goûts très éclectiques. J’aime le classique, de Stravinski à Ravel et Bach. Mais aussi le hip-hop et le jazz fusion. En ce moment j’écoute James Blake et Hiatus Kaiyote.
Q : Qu’est-ce qui vous retient (encore) la nuit?
R : Je fus un oiseau de nuit. Désormais, je me couche de plus en plus tôt pour posséder tous mes moyens dans la journée.
Q : Le lieu parisien qui vous donne des frissons?
R : Les théâtres, ce sont des endroits où il s’accomplit un miracle chaque soir: des gens assis côte à côte qui vibrent ensemble pour le même spectacle ou concert.
Q : Le lieu parisien qui vous donne des boutons?
R : Aucun, car j’ai une peau parfaite en toutes circonstances!
Q : La dernière appli que vous consultez le soir venu?
R : Instagram. Je suis les artistes, photographes, danseurs. Je regarde les vidéos de hip-hop, et ce qui se passe dans le monde de la culture en général.
Q : En cas de fringale nocturne, direction…
R : En sortant du théâtre, nous allons au bar d’à côté en général. Près de l’Atelier, il y a un très bon restaurant brésilien, Gloria, qui ouvre tard.
Q : Film ou série avant de dormir?
R : Je n’ai pas le temps. Je redoute l’aspect chronophage des séries. Pour le cinéma, je préfère me déplacer en salle.
Q : Le rêve que vous aimeriez réaliser?
R : J’ai l’absolu privilège que mes défis artistiques et idées folles deviennent réalité malgré le travail considérable à accomplir.
Q : La question que vous auriez aimé que je vous pose?
R : Ma vie consiste à ne pas anticiper pour laisser place à l’imprévu. Je milite pour l’acceptation des vertus du vide.
Par Sophie de Santis
Source: lefigaro.fr (lien) |
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| par STARMAG |
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09/07/2021 Seule la photo est inconnue 23/10/2018 Qui suis je ? 23/03/2022 Seule la photo est inconnue 14/01/2019 Qui suis je ? 13/01/2019 Qui suis je ? 26/06/2020 Qui suis je ? 20/05/2021 Enfants imaginaires 13/12/2018 Qui suis je ? 21/02/2020 Miss Elégance 08/07/2018 Qui suis je ? 03/06/2018 Qui suis je ?
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La Citation du Jour
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Le mariage est un diner qui commence par un déssert Jules Sandeau 138 | Citation du jour, Jules Sandeau | |
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