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 | par ENZO |
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Qu'est-ce qui sépare deux obsédés sexuels de trois nymphomanes ?
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Une porte de cockpit
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 | par MANTEAU |
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 | PORTRAITS DE FEMMES
| MARDI
  AVRIL 2017 |
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Katarina Witt, née dans le quartier de Berlin-Staaken (dans la partie relevant de l'ex-RDA), le 3 décembre 1965, est une patineuse allemande qui fut deux fois championne olympique (1984 et 1988), quatre fois championne du monde et six fois championne d'Europe pour la RDA.
Athlète charismatique, s'est d'abord fait remarquer par ses qualités techniques ensuite par ses qualités artistiques : chaque création de nouveau programme était un évènement, avec un thème, une histoire, une tenue, une coiffure (Carmen, West Side Story, Robin des Bois, The Schindler's List, programmes patinés sur des musiques de Michael Jackson, Prince, etc.).
Passée professionnelle après sa carrière amateur, Witt a joué le rôle-titre dans le film Carmen on Ice (en) (1990). En plus, elle a monté ses propres tournées (en 1994, elle crée sa propre société With Witt Sports & Entertainments), servi de modèle pour de nombreuses publicités, fait des apparitions dans des séries américaines, des films comme Jerry Mc Guire ou encore Ronin, elle a même été l'égérie du photographe Vandystadt et a posé nue dans Playboy en décembre 1998.
Cette compétitrice restera dans les mémoires comme celle qui a amené le patinage artistique dans l'ère moderne et vers une médiatisation au sommet.
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 | par EDNA |
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La Citation du Jour
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La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Oscar Wilde 29 |  Citation du jour, Oscar Wilde | |
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93e jour de l'année
Le du jour
lola
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| VINTAGE GLAMOUR
| SAMEDI
  AVRIL 2017 |
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Mary Miles Minter est née 25 avril 1902 et morte le 4 août 1984. Ce fut une des actrices les plus populaires du cinéma muet américain
Née Juliet Reilly à Shreveport en Louisiane, Mary Miles Minter est la fille de l'actrice de Broadway Charlotte Shelby.
Shelby encouragea ses deux filles à faire carrière sur scène. À l'âge de cinq ans, elle accompagne sa grande sœur Margaret à une audition, faute de baby-sitter pour la garder. Elle fut remarquée par le réalisateur qui lui offrit son premier rôle à la suite duquel elle restera rarement inactive, grâce à son charme et son talent ne laissant personne indifférent.
Elle se spécialise dans les rôles de jeunes filles réservées et innocentes. Sa photogénie, ses yeux bleus et ses cheveux frisés en feront bientôt la rivale de Mary Pickford.
En 1919, elle tourne Anne of Green Gables, son premier film avec le réalisateur William Desmond Taylor, qui reçoit un bon accueil. Taylor n'aura de cesse de promouvoir la jeune actrice dont il perçoit le potentiel de star. Entre eux deux naît une relation romantique qu'elle qualifiera plus tard ainsi : « une belle flamme blanche ».
En 1922, William Desmond Taylor est assassiné à son domicile.
Le scandale qui suivit, simultanément au procès de l'affaire Roscoe Arbuckle, fit les beaux jours de la presse bon marché. Les journaux évoquèrent les lettres d'amour codées écrites par l'actrice retrouvées au domicile du réalisateur après sa mort
Après la mort de Taylor, Minter tourna quatre autres films pour la Paramount. Son dernier film The Trail of the Lonesome Pine, sort en 1923. Lorsque le studio ne renouvela pas son contrat, elle reçut de nombreuses offres mais les déclina toutes, n'ayant jamais été heureuse en tant qu'actrice.
Minter commenta son bonheur de vivre sans Hollywood et proclama son amour pour Taylor toute sa vie durant.
Elle avait fait des investissements dans l'immobilier à Los Angeles et sembla vivre confortablement, même si elle fut victime de cambriolages dans les années 1970 et 1980. La police la décrit comme une frêle vieille dame, les gens étaient très surpris en apprenant qu'elle fut autrefois une star de cinéma.
Elle meurt en 1984 d'une attaque à Santa Monica, Californie.
Pour sa contribution à l'industrie du cinéma, Mary Miles Minter possède une étoile sur le Hollywood Walk of Fame au 1724 Vine Street.
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 | par DARKWOODS |
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"The appropriation for a house should be divided into two equal parts, one-half for the house, the other for the gardens, pathways, court, approach, terrace and the rest of it, or, as it might be termed, one-half for the pudding, the other for the sauce."
Thomas Hastings, architecte
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 | par MANTEAU |
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 | PORTRAITS DE FEMMES
| SAMEDI
  AVRIL 2017 |
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Hubertine Auclert, née le 10 avril 1848 à Saint-Priest-en-Murat dans l'Allier et morte le 4 août 1914 à Paris, est une militante féministe française qui s'est battue en faveur du droit des femmes à l'éligibilité et du droit de vote des femmes.
Elle est née dans une famille aisée, cinquième enfant d'une fratrie de sept, au hameau de Tilly de la commune de Saint-Priest-en-Murat1. Son père, riche fermier républicain, devient maire de la commune de Saint-Priest-en-Murat à l'avènement de la Deuxième République en 1848, et, destitué après le coup d'État de Louis-Napoléon Bonaparte en 1852, demeure un farouche opposant au Second Empire.
Son enfance
Placée dans une pension de religieuses à l'âge de neuf ans, elle y suit toute sa scolarité ; son père décède quand elle a treize ans et, très croyante, elle envisage de devenir religieuse chez les sœurs de Saint Vincent de Paul, mais n'y est pas acceptée. Hubertine Auclert quitte le couvent en 1864 pour rejoindre la maison de son oncle où réside également sa mère. À la mort de sa mère, en 1866, elle est placée par son frère dans un couvent à Montluçon. Jugée trop indépendante par les religieuses, elle est écartée une seconde fois de la vie monacale en 1869. Ce rejet qu'elle estime injustifié fait surgir en elle un ressentiment anticlérical.
Désormais libre et matériellement indépendante - elle a hérité de ses parents - elle veut se mobiliser pour une cause : elle choisit la foi républicaine et la conquête de la liberté pour les femmes par la révision des lois du code Napoléon. Son combat est motivé comme suit : « Je suis presque de naissance une révoltée contre l'écrasement féminin, tant la brutalité de l'homme envers la femme, dont mon enfance avait été épouvantée, m'a de bonne heure déterminée à revendiquer pour mon sexe l'indépendance et la considération ».
Son combat
Ce sont « les échos des discours prononcés aux banquets périodiques organisés par Léon Richer qui, presque à ma sortie du couvent, m'ont fait venir du Bourbonnais à Paris combattre pour la liberté de mon sexe ». Elle monte à Paris à une époque où la chute de Napoléon III et l'avènement de la Troisième République ouvrent la voie à l’activisme des femmes qui exigent des changements dans le code Napoléon en faveur de l'éducation, de l'indépendance économique pour les femmes, du divorce, du droit de vote, etc.
Hébergée chez sa sœur à Paris, Hubertine Auclert rejoint l'Association pour le droit des femmes. Cette association est dissoute en 1877 mais renaît sous le nom de Ligue française pour le droit des femmes avec Victor Hugo comme président d'honneur, Léon Richer et Maria Deraismes comme clefs de voûte. Elle devient, semble-t-il, la première militante française à se déclarer « féministe »
Alors que le mouvement féministe français oriente majoritairement son action sur des changements légaux, Auclert exige pour les femmes le droit de se présenter aux élections en arguant que les lois injustes n’auraient jamais été votées si les voix des législatrices avaient été prises en compte. En 1876, elle fonde la société Le droit des femmes qui soutient le droit de vote pour les femmes et qui devient en 1883 la société Le suffrage des femmes.
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 | par EDNA |
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La Citation du Jour
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Les architectes dissimulent leurs erreurs sous le lierre, les médecins sous la terre, les cuisinères sous la mayonnaise
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Le du jour
lola
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La Citation du Jour
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Le patronat c'est l'exploitation de l'homme par l'homme, le syndicalisme, c'est l'inverse. Coluche 132 |  Citation du jour, Coluche | |
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Le du jour
lola
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