 | INSOLITE!
| LUNDI
  JUIN 2017 |
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Le nom de la marque vient du nom de la famille, Toyoda. Ce nom était à l'origine translittéré en hiragana par Toyoda . Le champ en fin de mot, en japonais, n'étant pas prononcé ta, mais da. Cette transcription s'écrivant en dix traits de pinceau, le nom a été volontairement changé en Toyota qui s'écrit en huit coups de pinceau, chiffre porte bonheur
Aujourd'hui le nom de cette compagnie ne s'écrit pas en kanji ni en hiragana, mais en katakana , habituellement réservé, dans l'écriture japonaise aux mots d'origine étrangère sinon pour les slogans ou la publicité.
La ville de Koromo étant spécialisée dans la soie, sous les ères Meiji et Taishō, l'entreprise Toyota a tout d'abord été une usine de textile . La baisse de la demande de soie brute au Japon et à l'étranger, entraina la ville dans un déclin progressif.
Ce déclin encouragea Kiichiro Toyoda et son cousin Eiji Toyoda , à chercher des alternatives industrielles à l'entreprise familiale de métiers à tisser automatiques. C'est ce qui mena à la fondation de ce qui devint plus tard Toyota Motor Corporation.
C'est au cours de l'année 1936 que Toyota commercialise sa toute première voiture sous le patronyme « AA ». Il s'agira en fait de la copie conforme au sigle près de la Chrysler Airflow. Doté d'un 6 cylindres de 3,4 litres, ce premier modèle s'écoulera à 1 404 exemplaires.
Photo: Kiichiro Toyoda
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 | par MANTEAU |
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Le Baiser de l'hôtel de ville est une célèbre photographie en noir et blanc du photographe français Robert Doisneau. Prise en 1950 à proximité de l'hôtel de ville de Paris, elle représente un homme et une femme qui s'embrassent tout en marchant sur un trottoir encombré de passants, devant une terrasse de café.
Histoire de la photo
Il s'agit d'une scène posée réalisée dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life avec la complicité des deux protagonistes, étudiants en théâtre, Françoise Delbart (née Bornet) et son petit ami Jacques Carteaud, alors élèves au Cours Simon. Robert Doisneau les avait rencontrés dans un café parisien et, les ayant vu s'embrasser, leur avait proposé une séance de prise de vue en pleine rue, moyennant une rétribution de 500 FF. L'identité des deux protagonistes fut longtemps inconnue, y compris de l'auteur lui-même.
Cette photographie est devenue particulièrement célèbre avec la commercialisation, en 1986, de 410 000 exemplaires d'un tirage en format affiche, un record mondial.
Ce cliché a été au cœur de nombreux contentieux, dont un procès retentissant du vivant de Robert Doisneau. En 1992, le couple Lavergne revendique être les amants de l’hôtel de ville, et réclament 500 000 FF au photographe pour violation de sa vie privée. Ce procès fait ressurgir Françoise Bornet qui se fait connaître de Robert Doisneau et fournit, pour prouver qu'elle est bien l'un des protagonistes, un cliché original, numéroté et estampillé que le photographe avait donné aux amants après la séance photo. Françoise Bornet fait, elle aussi, un procès et réclame 100 000 FF de rémunération complémentaire, ainsi qu'un pourcentage sur les bénéfices commerciaux. Depuis la prise du cliché, les amants se sont séparés.
Jacques Carteaud refuse quant à lui de se joindre à la démarche, refusant de « transformer cette histoire photographique en histoire de fric »
Le 2 juin 1993, le tribunal de grande instance de Paris déboute en appel les trois demandeurs. Les époux Lavergne n'ont pas réussi à prouver qu'il s'agissait bien d'eux sur le cliché. Quant à Françoise Bornet, Robert Doisneau lui même la reconnaît comme étant la protagoniste. Mais le tribunal considère qu'elle ne peut se prévaloir d'un droit à l'image n'étant, du fait de sa position, pas reconnaissable sur le cliché.
Françoise Bornet a mis en vente son cliché original, le 25 avril 2005. Mis à prix à 10 000 € chez Artcurial à Paris, il sera adjugé 185 000 € en présence de sa propriétaire.
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 | par MANTEAU |
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