TOUT L'AGENDA
 | PORTRAITS DE FEMMES
| MERCREDI
  AVRIL 2016 |
|
|
Marie 1ère d’Écosse — également connue dans sa forme gaélique écossaise de « Mairi Ire » ou encore sous le nom de « Marie, reine des Écossais » (Mary, Queen of Scots en anglais) — née Marie Stuart (8 décembre 1542 et morte le 8 février 1587), était une souveraine du royaume d’Écosse et reine de France qui fut emprisonnée en Angleterre par sa cousine, la reine Élisabeth Ire d’Angleterre. Après avoir été condamnée pour trahison, elle fut exécutée à la hache en 1587.
Fille de Marie de Guise et de Jacques V d’Écosse, elle doit son nom de Stuart à la francisation de la maison Stewart, nom de la branche dynastique de son père1.
Marie Stuart fut reine d’Écosse à la mort de son père, quasiment dès sa naissance — elle n'a alors que six jours — du 14 décembre 1542 au 24 juillet 1567. Elle est probablement la plus connue des souverains écossais, en grande partie à cause de son destin tragique qui inspira écrivains, compositeurs et cinéastes. Elle fut aussi reine de France à dix-sept ans (de 1559 à 1560), après l’accession au trône de son époux François II. De fait, en Europe, elle fait partie des rares reines régnantes d’un État donné, à avoir été en même temps reine consort d’un autre État (la France), à l’instar de Marie Ire d’Angleterre qui fut juste avant elle reine consort de l'Espagne dirigée par Philippe II. De plus, elle était la prétendante d'un troisième État, l'Angleterre (comme reine régnante également), de par la descendance non pas de son père et grand-père - de Stuarts écossais - mais aussi de sa grand-mère Marguerite d'Angleterre, sœur d'Henri VIII et donc héritière du trône anglais à partir du moment où la descendance d'Henri VIII s'éteint et/ou est considérée comme illégitime.
Marie se maria trois fois. À 15 ans, elle épousa tout d’abord, le 24 avril 1558 à Paris, François de France (alors âgé de 14 ans, il est le fils de Henri II) qui devint roi de France en 1559 sous le nom de François II. Six ans plus tard, elle épouse en secondes noces à Édimbourg, Henry Stuart, dit « Lord Darnley » et comte de Lennox qui devint par ce mariage duc d’Albany et roi d’Écosse. Enfin le 15 mai 1567 2, elle s’unit à James Hepburn, comte de Bothwell qui devint duc des Orcades et prince consort d’Écosse.
|
 | par EDNA |
| | |
|
La Citation du Jour
|
Le grand charme des femmes, c'est leur mystère. Elles mentent pour qu'on ne les comprenne pas. Marcel Achard 299 |  Citation du jour, Marcel Achard | |
|
110e jour de l'année
Le du jour
lola
|
|
| VINTAGE GLAMOUR
| MARDI
  AVRIL 2016 |
|
|
Françoise Gilberte Bandy de Nalèche dite Françoise Rosay, est une actrice française, née le 19 avril 1891 à Paris 9e et morte le 28 mars 1974 à Montgeron.
Sa carrière cinématographique s'est étendue sur plus de soixante ans, faisant d'elle un personnage légendaire dans le cinéma français
Françoise Rosay était la fille naturelle de Marie-Thérèse Chauvin, actrice connue sous le nom de Sylviac, et du comte François Louis Bandy de Nalèche, frère d'Étienne Bandy de Nalèche, directeur du Journal des débats, tous deux fils du député creusois Louis Bandy de Nalèche.
Son père ne la reconnut qu'en 1938, alors qu'elle était une actrice déjà très connue.
Quand elle annonce qu'elle veut être actrice, sa mère, elle-même comédienne, lui fait remarquer qu'elle est laide, dégingandée et lui prédit qu'elle sera incapable de se tenir sur une scène. Rien de tel pour forger la volonté de Françoise Rosay qui n'en projette pas moins de devenir cantatrice et, après le Conservatoire, travaille au théâtre et va même jouer en Russie à la veille de la guerre.
Son nom d'actrice, « Rosay » est à relier avec le nom de la commune creusoise de Moutier-Rozeille, d'où était originaire sa famille paternelle.
Elle débute au cinéma à l'âge de 20 ans dans Falstaff, en 1911, et devient célèbre en jouant les « peaux de vache ». En 1917, elle gagne un prix au Conservatoire de Paris. Elle fait alors ses débuts au Palais Garnier dans le rôle-titre de l'opéra Salammbô (1890) d'Ernest Reyer. Elle chante aussi dans Castor et Pollux, tragédie lyrique (1737) de Jean-Philippe Rameau et Thaïs (1894), opéra de Jules Massenet.
En 1917, elle rencontre son futur mari, le cinéaste Jacques Feyder. Il la fait tourner dans ses principaux films: La Kermesse héroïque, Le Grand Jeu, Pension Mimosas, etc.
Au début de l'occupation allemande, elle entre dans un réseau de résistance tout en tournant dans quelques films. Fin 1942, lorsque les Allemands envahissent la zone libre, elle manque d'être arrêtée et parvient à s'enfuir en Tunisie et, de là, gagne Alger. Elle séjourna ensuite à Londres, où on la vit dans différentes réunions de soutien à la France libre.
Dans le courant de 1943, elle rejoint son mari en Suisse et donne des cours de théâtre au Conservatoire de Genève.
Elle joue en virtuose sur tous les registres, de l'émotion au drame, de la comédie de boulevard à la farce, elle tire des larmes comme elle déclenche les rires. Elle enchaîne les films, passe d'un chef-d'œuvre à l'autre, de Drôle de drame de Marcel Carné à Un carnet de bal de Julien Duvivier, de Macadam de Marcel Blistène à L'Auberge rouge de Claude Autant-Lara.
La mort de Feyder, en 1948, la laisse désemparée. Pour leurs trois fils, Marc, Paul et Bernard, elle trouve le courage de surmonter ce deuil et reprend sa carrière internationale (elle parle parfaitement anglais et allemand).
Elle meurt le 28 mars 1974 à Montgeron, à l'âge de 82 ans après une carrière de plus de 60 ans : « Je n'ai pas du tout envie de vivre centenaire, disait-elle, ce ne serait pas poli. »
Images: cliquer sur les miniatures pour zoomer
|
 | par DARKWOODS |
| | |
|
Images: cliquer sur les miniatures pour zoomer
|
 | par MANTEAU |
| | |
|
La Citation du Jour
|
Je crois que ce qui importe c'est d'être un joyeux pessimiste. Jean Giono 306 |  Citation du jour, Jean Giono | |
|
Le du jour
lola
|
|
 | par MANTEAU |
| | |
|
 | LA PAGE CINéMA
| LUNDI
  AVRIL 2016 |
|
|
Quentin Tarantino est connu pour être un cinéphile et un cinéphage comme il n'en existe plus beaucoup à l'heure actuelle. Cet homme, malgré tout le travail dont il a la charge, voit tout à tel point qu'on se demande quand il trouve encore le temps de dormir. Et bien que cette année ait été chargée avec ces Huit Salopards, il n'a pas changé ses habitudes pour autant.
Alors forcément quand arrive la fin d'année et l'heure du bilan, on a envie de savoir quel a été son film préféré de 2015. Interrogé à ce sujet par nos confrères de Première, QT a répondu sans ambages Mad Max : Fury Road :
"J'ai récupéré une copie 35mm de Fury Road et je l'ai regardée chez moi. Je l'ai eu pendant un week-end et j'ai fini par le regarder trois fois. J'ai vraiment essayé de résister à ce film pendant un petit moment, parce que je me disais : "Mad Max ? Sans Mel Gibson ? Même pas en rêve !" Dans un monde où Mel Gibson existe, comment peut-on choisir Tom Hardy ? J'étais vraiment en mode #pasmadmax puis j'ai vu le film et je me suis dit : "Ok, c'est génial ! Et je dois l'admettre, il est vraiment bon dans le rôle."
Content que nous soyons d'accord sur ce point. Son dernier film, quant à lui, sortira le 6 janvier prochain.
Source: Christophe Foltzer/www.ecranlarge.com |
|
|
 | par 5AVRIL |
| | |
|
La Citation du Jour
|
Les esprits sont comme les parachutes. Ils ne fonctionnent que si ils sont ouvert Louis Pauwels. 5 |  Citation du jour, Louis Pauwels. | |
|
Le du jour
lola
|
|
La Citation du Jour
|
L'enfer, c'est d'avoir perdu l'espoir. Cronin, Les Clés du Royaume. 50 |  Citation du jour, Cronin, Les Clés du Royaume. | |
|
Le du jour
666
|
 L'horoscope
 | Ce que prévoit Madame irma pour vous cette semaine....
|
|
|