TOUT L'AGENDA
La Citation du Jour
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Il n'y a pas d'enfance s'il n'y a pas de larmes (Agonie) Jacques Brault 1 |  Citation du jour, Jacques Brault | |
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254e jour de l'année
Le du jour
HagarDunor
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| VINTAGE GLAMOUR
| LUNDI
  SEPTEMBRE 2017 |
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Conchita Montenegro est une actrice et danseuse espagnole, de son vrai nom Concepción Andrés Picado, née le 11 septembre 1911 à Saint-Sébastien (Pays basque), décédée le 22 avril 2007 à Madrid
Par ailleurs danseuse (sa formation initiale), elle débute au cinéma sous le pseudonyme de Conchita Montenegro, à l'occasion de trois films muets espagnols sortis en 1927. L'année suivante (1928), elle tourne un premier film français (également muet), La Femme et le Pantin — une des adaptations du roman éponyme de Pierre Louÿs —, réalisé par Jacques de Baroncelli et sorti en 1929.
En 1930, elle se déplace à Hollywood à la faveur d'un contrat avec la Metro-Goldwyn-Mayer et contribue à quelques films américains pour cette firme (sortis en 1930-1931), avant quelques autres au sein de la Fox Film Corporation, jusqu'en 1935. Le plus souvent, il s'agit de films tournés en espagnol (parfois versions linguistiques alternatives), mais pas exclusivement. De cette période américaine, retenons Laughing at Life (en) de Ford Beebe (1933, avec Victor McLaglen) et Caravane d'Erik Charell (1934, version française alternative, avec Charles Boyer et Annabella).
Par la suite, Conchita Montenegro apparaît encore dans des films espagnols, français et italiens, des coproductions italo-espagnoles, et un film argentin, entre 1936 et 1944, année où elle se retire définitivement de l'écran, après seulement une quarantaine de longs métrages. De cette ultime période, mentionnons L'Or du Cristobal de Jean Stelli et Jacques Becker, sorti en 1940, avec Albert Préjean et Charles Vanel.
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 | par DARKWOODS |
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 | PORTRAITS DE FEMMES
| LUNDI
  SEPTEMBRE 2017 |
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Madeleine Pelletier, née le 18 mai 1874 à Paris et morte le 29 décembre 1939 à Épinay-sur-Orge est en 1906 la première femme médecin diplômée en psychiatrie en France. Elle est également connue pour ses multiples engagements politiques et philosophiques et fait partie des féministes les plus engagées au regard de la majorité des féministes françaises du xxe siècle.
Elle interrompt très jeune ses études et fréquente dans son adolescence les groupes socialistes et anarchistes qui forment les idées qui restent les siennes jusqu'à sa mort. À vingt ans, elle décide de reprendre ses études malgré sa pauvreté, et parvient à devenir médecin. Cette réussite sociale ne la satisfait cependant pas et elle multiplie ses engagements dans la société. En 1906, elle est initiée franc-maçonne, est choisie comme présidente d'une association féministe et devient membre de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO).
Au sein de la franc-maçonnerie comme à la SFIO, elle cherche à faire avancer la cause des femmes. Ses prises de position lui valent de fortes inimitiés au sein même de sa famille politique ou dans les rangs de la franc-maçonnerie. Les tentatives de mise à l'écart dans ces deux groupes l'incitent à se rapprocher des mouvements anarchistes et à changer de loge maçonnique.
En 1917, elle s'enthousiasme pour la révolution d'Octobre en Russie et entreprend un voyage plein d'espérance pour admirer la réalisation de son idéal. Toutefois, la situation catastrophique du pays la fait déchanter, bien qu'elle conserve toujours la foi dans l'« idéal communiste ». Rentrée en France, elle reprend la lutte pour une société communiste avec des libertaires. Elle combat aussi la montée du fascisme sans cesser son combat féministe.
Pour faire connaître ses idées, elle écrit de nombreux articles, publie des essais, des romans et des pièces de théâtre. Cet activisme est brisé en 1937 lorsqu'un accident vasculaire cérébral la rend hémiplégique. Elle reprend ses combats malgré son handicap à l'issue de sa convalescence. En 1939, elle est inculpée pour avoir pratiqué un avortement, mais ses accusateurs se rendent compte que son état physique ne lui permettait pas de réaliser cet acte. Ils la déclarent tout de même dangereuse pour elle-même et pour autrui, et la font interner en asile psychiatrique, où sa santé physique et mentale se détériore. Elle meurt d'un second accident vasculaire cérébral, le 29 décembre 1939.
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 | par EDNA |
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La Citation du Jour
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Quand une femme te parle,Souris-lui mais ne lui répond pas. Proverbe Chinois 229 |  Citation du jour, Proverbe Chinois | |
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Le du jour
HagarDunor
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La Citation du Jour
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Lorsqu'un minable s'attaque à un autre minable, il faut s'attendre à une guerre ''inter-minables" ! Anonyme 207 |  Citation du jour, Anonyme | |
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Le du jour
HagarDunor
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 L'horoscope
 | Ce que prévoit Madame irma pour vous cette semaine....
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| VINTAGE GLAMOUR
| SAMEDI
  SEPTEMBRE 2017 |
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Pauline Garon (9 septembre 1900 - 30 août 1965) est une actrice américano-canadienne du cinéma muet.
Pauline Garon avait des origines à la fois française (par son père) et irlandaise (par sa mère) et ne parla anglais qu'à partir de l'âge de dix ans.
Cadette d'une fratrie de onze enfants, elle fut envoyée au Couvent du Sacré-Cœur, l'une des plus prestigieuses écoles de la ville, où elle fut la première diplômée à jouer au théâtre.
À 20 ans, elle partit pour New York, où elle trouva du travail à Broadway, apparaissant dans des spectacles tels que Buddies et Sonny.
Elle fit ses débuts au cinéma en tant que doublure dans le film Remodeling Her Husband .
On la disait être une protégée de Lillian Gish.
Carrière
Elle s'était associée à D. W. Griffith quand elle arriva à Hollywood en 1920. Elle obtint un an plus tard son premier rôle important dans The Power Within
En 1923, elle fut acclamée comme la grand découverte de Cecil B. DeMille ("The DeMille Blonde") qui l'avait dirigée dans La Rançon d'un trône. Celle même année, elle fut aussi désignée WAMPAS Baby Star. Mais même avant cette "découverte", elle avait déjà été remarquée dans "Reported Missing" aux côtés d'Owen Moore. Elle avait aussi reçu une bonne critique pour son rôle dans Sonny adaptation par Henry King d'une pièce de Broadway produite par la First National.
Pauline Garon faisait au moins cinq films au plus fort de sa popularité, des rôles principaux ( de flapper et mauvaise maîtresse4) dans des séries B et des rôles secondaires dans des films plus glamour, et, avec Gloria Swanson, elle était au générique de The Love of Sunya , film projeté lors de l'inauguration du fastueux Roxy Theater de New York en 1927.
Puis, à partir de 1928, sa carrière commença à décliner et Pauline Garon fit principalement des remakes en français de films de la Paramount avant de n'avoir que de petits rôles non crédités dans des films comme Qu'elle était verte ma vallée (où elle n'a littéralement qu'un seul mot à dire) ou La Huitième femme de Barbe-Bleue.
Pauline Garon mourut à 63 ans à San Bernardino dans une institution psychiatrique.
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 | par DARKWOODS |
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 | INSOLITE!
| SAMEDI
  SEPTEMBRE 2017 |
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Le Chabanais, situé au no 12 rue Chabanais dans le 2e arrondissement de Paris, était l'une des maisons closes les plus connues et les plus luxueuses de Paris entre 1878 et 1946, date à laquelle elles devinrent illégales en France.
Histoire du Chabanais
Fondé par Madame Kelly (pseudonyme d'Alexandrine Joannet) en 1878, le Chabanais était situé dans un immeuble discret au no 12 de la rue Chabanais, non loin du Palais-Royal. Le personnel de la maison comptait entre vingt et trente cinq pensionnaires de qualité soigneusement sélectionnées.
Fréquenté par les membres du Jockey Club, il accueillit de nombreuses personnalités, dont le futur roi Édouard VII qui fit construire sur mesure une baignoire en cuivre et un fauteuil à étriers métalliques.
Le Chabanais connaît son heure de gloire le soir du 6 mai 1889, jour de l'inauguration de l'exposition universelle, accueillant des ministres et ambassadeurs du monde entier. Sur leurs agendas, cette « virée » était renseignée « visite au président du Sénat »
Les visiteurs illustres
De très nombreuses personnalités fréquentèrent le Chabanais. C'était une étape obligée des hôtes de marque prestigieux qui venaient découvrir Paris à la Belle Époque, hommes d'État, diplomates, ministres, hauts fonctionnaires. Outre les membres du très sélect Jockey Club qui le fréquentaient régulièrement, notons :
-le futur Édouard VII, surnommé « Bertie » par ses favorites ;
-le roi Charles Ier de Portugal ;
-Jagatjit Singh, maharadjah de Kapurthala, prince des Indes britanniques ;
-les écrivains Pierre Louÿs et Guy de Maupassant ;
-le comédien américain du cinéma muet Roscoe Arbuckle, connu pour l'affaire Roscoe Arbuckle ;
-Marlène Dietrich, au bras d'Erich Maria Remarque
-le peintre Toulouse-Lautrec
Chambres
En 1880, l’aménagement du Chabanais coûta 1 700 000 francs. Le décor des chambres était exubérant et le monde entier se bousculait pour découvrir cette maison de passe de légende. Le Chabanais reçut un prix pour sa chambre japonaise lors de l’Exposition universelle de 1900.
On y trouvait la chambre Louis XV, la chambre hindoue, la Directoire, la médiévale et la chambre mauresque, la Napoléon III.
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 | par MANTEAU |
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La Citation du Jour
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La loi a été faire pour le riche et le châtiment pour le pauvre. Proverbe Américain 188 |  Citation du jour, Proverbe Américain | |
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Le du jour
HagarDunor
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La Citation du Jour
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Le prix d'Amour, c'est seulement Amour, ... Il faut aimer si l'on veut être aimé Honoré d' Urté 37 |  Citation du jour, Honoré d' Urté | |
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Le du jour
HagarDunor
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