Cocktail93




LUNDI

JUILLET
2020
COULEUR PEOPLE
 


A l'occasion de l'anniversaire de Diana Rigg , ce petit hommage trouvé sur youtube signé Tronyfree
par STARMAG  8

DIMANCHE

JUILLET
2020
COULEUR PEOPLE
 
  • ELLE A AUDITIONNÉ A HUIT REPRISES POUR OBTENIR LE RÔLE D'HERMIONE !
    Son rôle culte d'Hermione Granger dans la saga Harry Potter, Emma Watson l'a décroché de haute lutte au cours d'un casting marathon débuté en 1999. Il lui a en effet fallu pas moins de huit auditions pour être choisie alors que 35 000 jeunes filles étaient au départ sur les rangs. Fin 2011, Emma Watson est âgée de 11 ans quand sort en salles Harry Potter à l'école des sorciers, premier volet de la saga magique qui lui apportera la gloire internationale.
  • ELLE EST NÉE A... PARIS !
    L'actrice britannique Emma Watson est née le 15 avril 1990... à Paris, plus précisément dans le quartier du Marais. La raison est toute simple : ses parents, tous deux avocats de profession, exercaient alors dans l'hexagone. Emma Watson restera vivre en France pendant cinq années à Maisons-Laffitte, dans le département des Yvelines, puis partira s'installer en Angleterre avec sa mère suite au divorce de cette dernière
  • Durant son adolescence, elle a joué au hockey sur gazon avec le club d'Oxford.
  • En 2010, elle remporte les Britannia Awards, récompensant des personnalités du cinéma ou de la télévision britannique et américain. Elle dédie ce prix à son hamster, décédé lors du tournage du premier film de la saga Harry Potter
  • ELLE A FAILLI JOUER CENDRILLON
    En 2012, Emma Watson se voit proposer le rôle culte de Cendrillon dans la version live que préparent les studios Disney. Elle décline l'offre, le rôle étant finalement tenu, trois ans plus tard, par Lily James. Mais Emma Watson jouera quelques années plus tard dans une autre adaptation en prises de vues réelles d'un classique animé Disney : La Belle et la Bête, sortie en salles en 2017. Le long métrage sera un énorme succès public, avec plus de 3,5 millions de spectateurs dans l'hexagone et 1,26 milliard de dollars de recettes engrangées dans le monde.
  • ELLE A JOUÉ SON PROPRE RÔLE À L'ÉCRAN
    En 2013, dans la comédie déjantée C'est la fin, Emma Watson incarne une version "bigger than life" d'elle-même débarquant chez l'acteur James Franco, pelle à la main, alors qu'une épouvantable catastrophe ravage la ville de Los Angeles. Egalement aux prises de cette apocalypse qui ruine ce qui devait être la fête de l'année : Jonah Hill, Seth Rogen et la chanteuse Rihanna.
  • ELLE EST AMBASSADRICE À L'ONU
    Emma Watson est nommée, à l'été 2014, ambassadrice de bonne volonté par l'ONU Femmes. Quelques semaines plus tard, la comédienne se distingue au siège des Nations Unies en tenant un discours fort pour l'égalité des sexes.
    Source: allocine.fr+wikipedia.fr

  • par STARMAG  21

    VENDREDI

    JUIN
    2020
    COULEUR PEOPLE
     

    par STARMAG  15

    MERCREDI

    JUIN
    2020
    COULEUR PEOPLE
     
    Source: acidcow.com


    par STARMAG  10

    MARDI

    JUIN
    2020
    COULEUR PEOPLE
     

    par STARMAG  13

    MARDI

    JUIN
    2020
    COULEUR PEOPLE
     


    Pendant dix ans, avec la comédienne Sophie Daumier (morte le 1er janvier 2004), Guy Bedos fait rimer humour et amour. Couple à la ville, ce tandem comique – qui s’était rencontré sur le tournage du film Dragées au poivre, de Jacques Baratier – interprète de nombreux sketches écrits notamment par Jean-Loup Dabadie. Certains d’entre eux (le raciste de Vacances à Marrakech, le tombeur lourdingue de La Drague, le miséreux sexuel de Toutes des salopes) rencontrent un très grand succès populaire. En 1974, le duo se sépare, et, en cette année où Giscard « l’aristo » s’installe à l’Elysée, Guy Bedos passe au « je » et se fait polémiste politique dans des spectacles où il glisse des parenthèses sur l’actualité.
    « Faire du drôle avec du triste »
    Avec lui, la revue de presse parlée devient un exercice de style. Drogué aux infos, il dévore la lecture des journaux. « Je les lis comme un citoyen ordinaire, et ensuite je cherche comment tourner tout cela en dérision. » Ses tropismes sont constants : le pape et plus largement toutes les religions, les présidents, les ministres importants, les faits de société. Homme de pulsions, dès que quelque chose le révolte, il vitupère sur scène, se soulage par le rire de la bêtise humaine. Sa devise : « Faire du drôle avec du triste. » « Giscard à l’Elysée, ça me contrarie. Fortement. Je le dis et je l’écris », reconnaît-il.
    Ce stand-upeur avant l’heure livre ses colères au public et s’en donne à cœur joie, actualisant soir après soir sa revue de presse. Applaudi par la gauche, dénigré par la droite, le pamphlétaire remplit les salles et est interdit dans certaines émissions de télévision et de radio. Aux côtés de Gisèle Halimi (marraine laïque de son fils Nicolas) et de Simone Signoret, il est toujours prompt à pétitionner ou à manifester pour défendre les droits de l’homme, soutenir l’association Droit au logement.
    Alors le 10 mai 1981, l’antigiscardien exulte à l’élection de François Mitterrand. Ce soir-là à Bobino, c’est la fête. Mais comme d’autres, Guy Bedos déchante. En 1989, au Théâtre du Gymnase, il profère : « Ça devient difficile d’être de gauche. Surtout, quand on n’est pas de droite. » Poil à gratter du pouvoir, il éreinte la droite, et n’est pas tendre avec la gauche dès qu’elle s’éloigne de ses idéaux et de ses valeurs. Néanmoins, il gardera des liens amicaux avec François Mitterrand, qui ne ratait aucun de ses spectacles. Le président avait beau lui dire : « Vous y allez fort, quand même ! », il conviait régulièrement le trublion à déjeuner ou à dîner à l’Elysée et l’invita même une fois, en août 1993, à Latche, dans les Landes, où l’ancien président possédait une maison.
    Haut-parleur politico-satirique
    Dans sa carrière de haut-parleur politico-satirique, certaines de ses invectives lui vaudront parfois procès. Que ce soit Marine Le Pen ou Nadine Morano, toutes deux ont perdu face à cet humoriste engagé qui revendiquait haut et fort un « rire de résistance ». L’antiracisme fut l’engagement majeur de sa vie. Dans son enfance algérienne, il avait entendu sa mère catholique dire : « Les juifs et les Arabes, qu’ils s’entretuent, ça fera toujours ça de moins. » Cette phrase l’a marqué à jamais. « Ma Torah, mon Coran, ma Bible à moi, c’est la Déclaration universelle des droits de l’homme », écrivait ce converti à l’athéisme dans Je me souviendrai de tout (Fayard, 2015). « Ma carrière d’humoriste est un succès, ma vie de citoyen utopiste, un échec », constatait-il face à la montée de l’extrême droite.
    Guy Bedos était un « mélancomique », qui ne cachait pas ses larmes
    Tel un éternel ado, râleur et curieux, il n’hésitait pas à dire : « On m’a trop fait chier dans ma jeunesse pour que je me laisse emmerder dans ma vieillesse. » Il a inspiré plusieurs humoristes, au premier rang desquels Christophe Alévêque ou Stéphane Guillon qui font leur miel de l’actualité politique. Lui aimait Pierre Desproges, Fellag et Muriel Robin, avec qui il interpréta un duo en 1992.
    Guy Bedos était un « mélancomique » qui ne cachait pas ses larmes. Sans fard, il disait à quel point il ne s’habituerait jamais à la disparition de ceux qu’il aimait (Sophie Daumier, Pierre Desproges, Simone Signoret, James Baldwin…). Il est parti les rejoindre. Adhérent à l’Association pour le droit de mourir dans la dignité, il avait prévenu qu’on ne lui retirerait pas cette ultime liberté : « En cas d’urgence, je choisirai le suicide assisté. Avec ou sans la permission du président de la République. »

    par STARMAG  14

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    DIMANCHE

    JUIN
    2020
    COULEUR PEOPLE
     


    Devenir comédien a toujours été son rêve d’adolescent malmené qui aspirait à se « réfugier dans la fiction pour supporter l’insupportable du réel ». Alors, entre deux spectacles en solo, Guy Bedos s’échappait régulièrement sur les planches (notamment dans deux pièces écrites par son fils Nicolas) ou sur des tournages. Son personnage de Simon, médecin étouffé par sa mère juive pied-noir très possessive, dans Un éléphant ça trompe énormément et Nous irons tous au paradis, d’Yves Robert, lui vaut une belle reconnaissance.
    Mais ce n’est pas le grand écran qui lui apportera une notoriété. « Je n’ai pas la moindre amertume envers un cinéma qui m’aurait négligé, seulement un regret et aussi de la lucidité », avouait-il.
    La violence familiale
    Guy Bedos est né le 15 juin 1934, à Alger. De ses seize premières années en Algérie, qu’il quittera en 1949, il garde un souvenir douloureux de misère affective. Il a 5 ans quand ses parents se séparent : « Un jour je n’ai plus vu mon père, c’est un autre homme qui dormait avec ma mère. » Envoyé pendant deux ans en pension à la campagne, il y vit le « passage préféré » de son enfance grâce à Finouche, la fille de la ferme. Cette institutrice – « ma vraie maman », écrira-t-il dans Mémoire d’outre-mère (Stock) en 2005 – lui apprend à lire, écrire, compter, mais aussi « à penser : liberté, égalité, fraternité, droits de l’homme au-delà des clivages qui divisaient l’Algérie ».
    De retour dans sa famille, il retrouve la violence familiale, entre un beau-père qui lui fait comprendre qu’il est de trop et une mère à la main leste qui lui gâche son enfance. Maintes fois, il a envie de fuir cet environnement, et même de mourir. « Je n’ai été guéri de ce cancer mental, de ce penchant suicidaire qu’à la naissance de mes enfants », dit-il dans le très beau documentaire Guy Bedos, un rire de résistance, réalisé par Dominique Gros en 2009.
    Après son arrivée en France avec sa mère et ses deux demi-sœurs jumelles, âgées de quelques mois, il décide très vite de quitter la maison familiale inhospitalière de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) pour éviter de « glisser dans une momification d’ennui mortel ». Il rêve de théâtre et s’inscrit à l’école de la rue Blanche. « J’ai fait du théâtre sur ordonnance médicale », aimait-il raconter. « Ma chance fut qu’un médecin attentif ait compris que j’étais en perdition. Profondément dépressif. Il a recommandé à ma mère de me laisser suivre une vocation artistique, sinon cela finirait mal », expliquait-il au Monde, en 2009.
    « J’ai fait du théâtre sur ordonnance médicale »
    Rue Blanche, il rencontre Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle, Michel Aumont, met en scène et joue le rôle principal d’Arlequin poli par l’amour, de Marivaux, et « guérit » de ses tourments. C’est le hasard qui va le mener au music-hall. Jacques Chazot lui écrit son premier sketch qu’il joue à la Fontaine des Quatre-Saisons, dirigé par Pierre Prévert, le frère de Jacques. C’est Jacques Prévert, mais aussi Boris Vian et François Billetdoux qui l’encouragent à griffonner dans ses cahiers. Il commence à se produire dans des cabarets, seul ou avec Jean-Pierre Marielle. Dans les années 1960, il se retrouve, en covedette, au côté de Barbara à Bobino, puis en tournée avec Jacques Brel. L’humour devient son domaine de prédilection.
    A suivre...
    Source: le monde


    par STARMAG  9

    VENDREDI

    JUIN
    2020
    COULEUR PEOPLE
     


    Comique, polémiste, le comédien est mort à l’âge de 85 ans ce 28 mai 2020
    Il sera, selon son souhait, enterré dans le cimetière de Lumio en Corse, cette île qu’il aimait tant. Il la surnommait « mon Algérie de rechange » à cause « des odeurs de maquis » qui lui rappelaient son enfance. Guy Bedos est mort jeudi 28 mai à l’âge de 85 ans, a annoncé son fils, Nicolas. Le comédien, humoriste et auteur se définissait comme « un pur résilient ». Tout son parcours d’artiste engagé, d’anar de gauche, de pamphlétaire énervé, d’éternel révolté, puise ses racines dans son enfance algéroise entre un beau-père raciste et antisémite et une mère pétainiste : « Le premier gouvernement que j’ai eu à subir, c’est ma mère et mon beau-père. Ma constance dans la rébellion vient de là .»
    Le 23 décembre 2013 à l’Olympia, Guy Bedos avait mis un terme à près de quarante ans de carrière seul sur la scène qui avait fait sa renommée. Devant une salle comble, il livrait sa « der des der », du nom de son spectacle, avouant : « Je vais avoir un mal fou à vous quitter ; il n’y a que sur scène que je suis bien. » A près de 80 ans, il n’avait rien perdu de son franc-parler qui lui avait valu autant d’amis que d’ennemis. Il l’assumait complètement : « Comment ça, je manque de nuance ? Absolument, je manque de nuance. Il y a une phrase de ce vieux réac de Sacha Guitry que je m’approprie bien volontiers : “Depuis que j’ai compris quels étaient les gens que j’exaspérais, j’avoue que j’ai tout fait pour les exaspérer”. »
    Fidèle à ce qui avait fait sa marque de fabrique, Guy Bedos ressortait, pour sa dernière représentation ses fiches en bristol pour une ultime revue de presse. Gambadant sur scène, il réglait ses comptes avec « les fachos », confiait sa peur de la montée du Front national, rendait hommage à Nelson Mandela, saluait le « courage » de son « amie » Christiane Taubira. Il se demandait ce que Manuel Valls faisait à gauche, et avouait, taquin, à propos de François Hollande : « Je n’arrive pas à me concentrer sur lui. » Mais, ajoutait-il : « Je n’en suis pas à regretter mon vote car, comme le disait Françoise Giroud : “En politique, il faut choisir entre deux inconvénients”. » C’était l’une de ses phrases fétiches.
    Le « vieux clown à succès »
    Un mouchoir blanc à la main, Guy Bedos disait au revoir à son public fidèle en rappelant, comme à son habitude, que « la vie est une comédie italienne : tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs (…) En piste les artistes, c’est notre rôle d’être drôles ». Le « vieux clown à succès » eut droit à une standing ovation. Un peu plus tard dans les loges, plusieurs générations d’artistes venaient le saluer, parmi lesquels Jean Dujardin, Jean-Pierre Marielle, Charles Aznavour, Matthieu Chedid, Claude Rich, Jacques Higelin, Michel Boujenah.
    Il en avait fini avec le one-man-show et la satire politique, mais pas avec les planches. Quelques mois plus tard, on le retrouvait sur la scène du Théâtre Hébertot à Paris, dans Moins 2, de Samuel Benchetrit. En pyjama, sur un lit d’hôpital, il partait, aux côtés de Philippe Magnan, dans une dernière évasion sentimentale pour se rire de la mort avant que le cancer les emporte.
    Car, si le seul en scène a été la grande histoire de sa vie d’artiste et lui a permis de faire partie, des décennies durant, des plus grands humoristes français (aux côtés de Pierre Desproges et de Coluche), il est apparu plus d’une fois, et avec talent, au théâtre (notamment en 1993 dans La Résistible ascension d’Arturo Ui, mis en scène par Jérôme Savary), ainsi qu’au cinéma (il avait adoré jouer, en 2012, un vieux militant gueulard dans Et si on vivait tous ensemble, de Stéphane Robelin).
    A suivre:
    Source: Le monde


    par STARMAG  5

    LUNDI

    MAI
    2020
    COULEUR PEOPLE
     
    Source: acidcow.com


    par STARMAG  12

    SAMEDI

    MAI
    2020
    COULEUR PEOPLE
     
    Interviewée par le magazine «Harper’s Bazaar» , Natalie Portman s’est confiée sur le rôle qu’elle ne veut jamais interpréter au cinéma.
    Depuis le début de sa carrière, Natalie Portman enchaine les rôles au cinéma. «Léon» (1994), «Star Wars» (1999), «Black Swan» (2010), «Sex Friends» (2011), «Planetarium» (2016)… Prochainement, c’est dans la peau d’une astronaute que le grand public la retrouvera sur grand écran avec la sortie du film «Lucy In The Sky» de Noah Hawley.
    Dans une interview accordée pour le magazine «Harper’s Bazaar» lundi 29 juillet, l’actrice de 38 ans s’est confiée sur sa carrière et notamment sur le rôle qu’elle ne veut jamais interpréter au cinéma. En effet si elle multiplie les films, elle prend souvent soin de choisir des rôles complètement différents de sa vie personnelle de jeune maman. Elle explique : «Je me sentirais juste bizarre si je suis au travail et que je dois prétendre être la mère d’enfants qui ne sont pas les miens. Alors j’essaye des expériences différentes comme être une astronaute ou une popstar.»
    Mariée au danseur et chorégraphe français Benjamin Millepied depuis août 2012 –ils se sont rencontrés sur le tournage de «Black Swan»- Natalie Portman est maman de deux enfants avec son époux : un jeune garçon prénommé Aleph (8 ans) et une fille prénommée Amalia (2 ans).
    Discrète sur sa vie privée, Natalie Portman n’hésite néanmoins pas à donner de la voix pour des causes qui lui tiennent à cœur. Le féminisme notamment. En mai dernier, c’est également auprès d’«Harper’s Bazaar» que la jeune femme réagissait pour la première fois aux propos de l’artiste Moby, qui affirmait avoir eu une brève liaison avec elle. «Le fait qu'il ait utilisé cette histoire pour vendre son livre est très dérangeant. Ce n'est pas ce qui est arrivé. Il existe de nombreuses erreurs factuelles et des inventions.
    J'étais fan de sa musique et suis allée à l'un de ses concerts lorsque je venais tout juste d'obtenir mon diplôme d'études secondaires. Lorsque nous nous sommes rencontrés après le concert, il m'a dit "soyons amis". Il était en tournée et je travaillais sur le tournage d'un film, donc nous avons passé quelques moments ensemble avant que je réalise que c’était un homme âgé qui s’intéressait à moi d’une manière qui me semblait inappropriée.»
    Photos: Harper's Bazaar Juillet 2019
    Article publié dans Paris Match le 30/07/2019

    par STARMAG  26

    LUNDI

    AVRIL
    2020
    COULEUR PEOPLE
     
    Source: acidcow.com


    par STARMAG  22

    MARDI

    MARS
    2020
    COULEUR PEOPLE
     

    par STARMAG  15

                  
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