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JEUDI

OCTOBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 

par MANTEAU  14

JEUDI

OCTOBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 
"Je reste une California girl"
Votre style personnel semble avoir évolué : plus sophistiqué et plus business qu’auparavant. Une volonté de votre part ?
Au quotidien, je reste une California girl ! Mon style ? Confortable avant tout : blouson biker ou blazer chic signés Ralph Lauren, que je mixe avec un jean. Comme ceux de la collection capsule de denim, que j’ai créée avec DL 1961.
Comment parvenez-vous à concilier cinéma, vie de famille et vos fonctions de chef d’entreprise ?
Cash (Cash Warren, son mari depuis 2008, producteur et Web entrepreneur, NDLR) est un superpapa, très présent, il me soutient depuis le début. Et je consacre moins de temps au cinéma, ce qui est déjà un début de solution au problème ! Je privilégie des petits rôles qui me touchent, comme dans Dear Eleanor (sorti en 2016), ou un film fun qui requiert quinze jours de tournage, comme Mechanic : Resurrection, avec Jason Statham. Mes centres d’intérêt ont changé, mes goûts et mes envies aussi. Impossible d’être à la fois sur un plateau de cinéma et à mon bureau cinq jours par semaine ! Mais je rêverais de produire, d’offrir plus de chances aux femmes. Pour qu’elles écrivent, jouent, réalisent… Il reste tellement d’histoires à raconter par notre prisme féminin.
Quel genre de mère êtes-vous pour vos deux filles ?
Je suis une maman cool, mais stricte sur les horaires et la nutrition. Honor (8 ans) et Haven (5 ans) sont curieuses et ouvertes sur le monde. Pour l’instant, elles semblent très à l’aise. Je souhaite leur permettre de garder leur innocence le plus longtemps possible. Elles auront largement le temps de devenir des adultes. The Honest Company est mon troisième enfant, mais ce sont elles mes plus belles réussites.
Par Christelle Laffin / Figaro Madame | Le 17 mars 2017
A suivre...

par MANTEAU  5

MERCREDI

OCTOBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 
La femme d'affaires
Loin d’être un hobby d’actrice gâtée, sa société, boostée par son « star power », est aujourd’hui entrée dans le club très fermé de ce que les experts appellent les licornes (des start-up qui pèsent plus de 1 milliard de dollars, NDLR) : l’entreprise américaine est déjà valorisée à 1,7 milliard de dollars en moins de cinq ans. Un succès fulgurant et inédit. À 35 ans, cette reine du e-commerce néglige les castings au profit des benchmarks de produits d’entretien et des plateaux télé où elle milite pour sa juste cause. Sans regrets. L’éco-entrepreneuse reste la seule « Femme la plus sexy de l’année » (selon le magazine masculin FHM en 2007) à avoir fait la une de Forbes. Et ce n’est qu’un début. Autour d’une séance photo exclusive, avec les pièces iconiques de la maison Ralph Lauren, interview d’une pionnière en e-business eco-friendly dont la réussite n’est pas du cinéma.
Madame Figaro. - Votre entreprise, The Honest Company, a été évaluée à 1,7 milliard de dollars moins de cinq ans après sa création. Vous avez lancé Honest Beauty, son pendant cosmétique, en 2015. Comment vivez-vous ce succès extraordinaire ?
Jessica Alba. - Au jour le jour ! Après plus de vingt ans de carrière à Hollywood, je ne pensais pas en arriver là. À la naissance de ma fille aînée, Honor, j’ai d’abord voulu répondre à un manque, avec des produits pour la famille et la maison, non toxiques, respectueux de l’environnement, dignes de confiance, au packaging moderne et à un prix accessible. Je me suis improvisée chimiste du dimanche, pour différencier les ingrédients nocifs des autres. Il m’a fallu trois années de recherches et un nombre incalculable de réunions décevantes avant de me lancer avec des partenaires solides. J’ai eu droit à mon lot de remarques condescendantes, du style « Pourquoi ne crées-tu pas un parfum, plutôt ? » On ne m’imaginait pas dans ce rôle, ce qui a décuplé mon désir de me lancer. Je souhaite voir Honest se déployer dans le monde entier. Mais le chemin pour y parvenir n’est pas encore complètement tracé.
Votre compte personnel dénombre dix millions d’abonnés sur Instagram, presque autant sur Twitter. Pour The Honest Company, la communication sur les réseaux sociaux était-elle primordiale ?
Cela a été l’une des clés de notre développement. Nous sommes une petite société face à des géants qui disposent de millions de dollars chaque année pour gagner des parts de marché ! Dès le début, nous nous sommes adressés aux ménagères millennials. Il nous a fallu créer une communauté, partager notre point de vue de copines. Les réseaux sociaux ont donné un visage humain à notre marque.
Vos arrière-grands-parents étaient des émigrés mexicains. Vous considérez-vous comme un emblème du rêve américain ?
Forcément. En tant qu’actrice, déjà, et en tant qu’entrepreneuse, issue d’un milieu très modeste, qui n’a pas eu accès aux écoles privées. Tout ce que j’ai, je l’ai gagné ! Même le simple fait d’avoir réussi une transition vers un autre domaine que le cinéma… Beaucoup sont arrivés dans ce pays pour fuir les persécutions, parce qu’ils nourrissaient l’espoir d’une vie meilleure. Aujourd’hui, des Américains montent au créneau, car ce rêve est en danger. Comme le sont les droits des femmes, le droit à une éducation convenable, à l’accès aux soins, des choses élémentaires sans lesquelles nous sommes tous démunis. Les Américains ont peur, car ce que nous entendons et voyons mis en place actuellement est l’antithèse des valeurs sur lesquelles ce pays s’est construit.
Comment réagir ?
Je suis plus motivée que jamais pour construire une entreprise éthique, portée par des valeurs d’honnêteté, des pratiques transparentes, jusque dans la façon dont nous investissons dans notre communauté, en Californie du Sud. Continuer à employer et à représenter la diversité. Et rester un exemple d’entrepreneuriat pour les filles du monde entier. The Honest Company prouve que la persévérance mène à tout.
Par Christelle Laffin / Figaro Madame | Le 17 mars 2017
A suivre...
par MANTEAU  14

MARDI

OCTOBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 
En cinq ans, la beauté incendiaire de Sin City, amie de la maison Ralph Lauren, a bâti un empire avec sa start-up de produits écoresponsables. Rencontre avec une conquérante engagée.
Sa réussite se confond avec le rêve américain : une actrice à succès hollywoodienne (plus de trente-cinq films à son actif depuis la fin des années 1990) qui se métamorphose, en moins de cinq ans, en une des business women les plus influentes des États-Unis. Un parcours hors norme, atypique, exceptionnel, à l’image de cette beauté métisse - sa mère est franco-danoise, son père, ex-militaire, mexicano-indien -, éclatante et déterminée.
La stratège
Sa « première carrière », comme elle l’appelle, a véritablement commencé en 1998, lorsqu’elle a décroché le rôle-titre de Dark Angel, la série signée par James Cameron, face à mille deux cents autres candidates. « Cette superproduction de 125 millions de dollars reposait sur ses seules épaules, a commenté le réalisateur de Titanic. Elle a relevé le défi sans trébucher, travaillant quatre-vingt-six heures par semaine. »
Célébrée pour sa plastique de pin-up, Jessica Alba fait rapidement tourner les têtes. Mais garde la sienne sur les épaules et enchaîne intelligemment comédies romantiques et films d’action à succès. Le public la découvre femme fatale dans Sin City 1 et 2, super-héroïne dans les Quatre Fantastiques, déjantée dans Mon beau-père et nous… Déjà, la stratège se profile. C’est avec le même discernement qu’elle se lance en 2012 dans l’entrepreneuriat, en fondant The Honest Company, une start-up de produits écoresponsables. « Je voulais éviter à mes filles de connaître de nombreux séjours à l’hôpital, comme moi, enfant, après des crises d’allergie et d’asthme », commente-t-elle.
L'instant mode de Jessica Alba
Vous êtes une habituée des défilés de Ralph Lauren, complice du créateur et de son épouse, Ricky. Comment caractériseriez-vous votre relation ?
Ralph Lauren m’inspire. C’est une icône absolue de la mode. J’admire son sens des affaires, jusqu’à la décoration de ses boutiques, la façon dont l’Ancien et le Nouveau Monde s’y côtoient. Il a vécu son rêve en créant un style qui représente la quintessence de «l’American way of life». Impeccable au quotidien comme en soirée ! J’aime son idée de l’artisanat «old school», qu’il a rendu contemporain. Et il a su rester simple et dans la course, malgré les tempêtes. J’écoute ses conseils : savoir bien s’entourer, si possible de membres de sa famille, et défendre sa marque, coûte que coûte !
Par Christelle Laffin / Figaro Madame | Le 17 mars 2017
A suivre...
par MANTEAU  14

SAMEDI

SEPTEMBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 

par MANTEAU  24

MERCREDI

SEPTEMBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 

par MANTEAU  18

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SAMEDI

SEPTEMBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 
La marque de Jessica Alba, The Honest Company va payer une grosse somme d'argent aux clients qui se sont sentis lésés par les argu­ments marke­ting affi­chés sur les produits sensés être natu­rels.
Fondée en 2011, The Honest Company est une affaire qui roule. La marque de produits pour les bébés et la maison a surfé sur l'image de la nature pour enva­hir les foyers améri­cains. Une réus­site pour sa fonda­trice, l'actrice Jessica Alba, qui a été nommée en 2015 l'« auto-entre­­pre­­neuse la plus riche des Etats-Unis » par le maga­zine Forbes. Avec 250 millions de dollars de recettes cette année-là, l'entre­prise de cosmé­tiques bio était évaluée à 1 milliard de dollars.
Problème, la même année, certains clients de la marque ont attaqué en justice The Honest Company. Fusti­geant l'origine des ingré­dients des produits, pas telle­ment natu­rels, ces consom­ma­teurs fâchés se sont atti­rés du même coup les foudres de la comé­dienne. Inter­ro­gée par People, Jessica Alba avait parlé d'une plainte « sans fonde­ment et sans mérite » alors que pour elle, ses produits étaient parfai­te­ment sûrs.
Deux ans plus tard, Jessica Alba n'a certai­ne­ment pas changé d'avis. Son entre­prise a pour­tant elle changé son fusil d'épaule et propose à ses clients un dédom­ma­ge­ment. Selon TMZ, la marque The Honest Company va débour­ser 1,55 million de dollars pour rembour­ser les consom­ma­teurs qui se seraient sentis lésés par le manque de trans­pa­rence au niveau des ingré­dients conte­nus dans leurs produits.
Source: voici.fr

par MANTEAU  3

JEUDI

SEPTEMBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 
Ces photos datent du 31 oct. 2016 (soirée organisée pour Halloween), Jessica n'a pas son petit ventre tout rond d'aujourd'hui

par MANTEAU  39

SAMEDI

SEPTEMBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 
Enceinte de quelques mois seule­ment, Jessica Alba est déjà en recherche très active d’un prénom pour son bébé. La belle a des critères bien précis qui limitent un peu l’ima­gi­na­tion…
Chez Jessica Alba et son mari Cash Warren, tout est calculé. Le couple tout à fait adorable et en appa­rence presque normal, ne laisse en fait que peu de place à l’im­pro­vi­sa­tion. L’hé­roïne de Dark Angel l’a prouvé lors de son passage sur le plateau de Jimmy Kimmel cette semaine. Enceinte de son troi­sième enfant, Jessica Alba a rapi­de­ment abordé le sujet avec l’ani­ma­teur qui sait mettre à l’aise ses invi­tés. Curieux, il a voulu savoir si la future maman avait déjà trouvé un prénom pour cet enfant à venir.
Jessica Alba, plutôt prévoyante est, en effet, en pleine de recherche du prénom idéal pour son enfant. Sans révé­ler s’il s’agis­sait d’un garçon ou d’une fille, elle qui est déjà maman de deux enfants, a exposé ses critères. “Nos enfants doivent avoir un prénom origi­nal qui doit aussi être un mot” a expliqué la jeune femme en accord avec son époux. Ainsi, après Honor (9 ans) et Haven (5 ans), Jessica Alba et Cash Warren veulent pour le troi­sième enfant un prénom qui “ comprend une ou deux syllabes et commençant par un H”. Une quête pour le moins précise!
Jimmy Kimmel a bien tenté de l’ai­der en lui propo­sant des prénoms comme Herman ou Heart (coeur), mais la future maman a décliné ces propo­si­tions. Critère supplé­men­taire, il faudrait que ce prénom soit “normal”… Heureu­se­ment, il lui reste encore quelques mois avant de trou­ver!
Source: Gala.fr


par MANTEAU  8

MARDI

SEPTEMBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 

par MANTEAU  4

MERCREDI

SEPTEMBRE
2017
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par MANTEAU  6

DIMANCHE

SEPTEMBRE
2017
THE GIRL FROM POMONA
 

par MANTEAU  9

              
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