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MERCREDI

JUIN
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  7

SAMEDI

MAI
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Le train japonais à sustentation magnétique Maglev a établi jeudi un nouveau record de vitesse à 590 km/h. La semaine prochaine, une tentative sera menée pour porter ce record à 600 km/h, a indiqué la société de chemins de fer Central Japan Railway Company.
Ce train Maglev, qui se propulse grâce à l'énergie magnétique sans toucher la voie ferrée, a circulé pendant 19 secondes à la vitesse de 590 km/h, battant ainsi le record de 581 km/h, établi en décembre 2003.
Le nouveau record a été atteint lors d'essais menés avec des nouveaux wagons sur la voie reliant Uenohara à Fuefuki, à l'ouest de Tokyo. Et ce nouveau record pourrait ne tenir que peu de temps puisqu'une tentative pour le porter à 600 km/h sera menée mardi.
Il y a quelques jours, la Central Japan Railway Company avait battu le record mondial de la distance parcourue en un jour: 4.064 km, pulvérisant celui établi en 2003 (2.876 km).
Ces records s'inscrivent dans les préparatifs lancés en vue d'une liaison Tokyo-Nagoya (286 km) qui devrait s'effecteur dès 2027 en 40 minutes, soit la moitié du temps actuellement nécessaire avec le train à grande vitesse Shinkansen.
Lorsque le train transportera des voyageurs, la vitesse atteinte ne devrait cependant pas dépasser les 505 km/h, selon le Wall Street Journal.
Source: 7sur7.be


par MANTEAU  12

SAMEDI

MAI
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Un comité d’experts américains estimait en 2011 que la situation en orbite allait rapidement nécessiter une intervention.
Le président du comité, Donald Kessler, prévenait que ce nettoyage nécessiterait de nouvelles technologies, comme des filets cosmiques, des aimants ou des parapluies gigantesques.
Il y a actuellement en orbite 22 000 objets suffisamment gros pour être suivis depuis la Terre, et une quantité incalculable d'objets plus petits, mais potentiellement dangereux. Certains experts parlent de quelque 150 000 morceaux d'une taille supérieure à un centimètre.
La SSI doit même, de temps à autre, s'écarter de la trajectoire de l'un d'eux.
"Certains débris peuvent même tourner à une vitesse de 7000 km/h. À cette vitesse, un vieux satellite ou une simple vis deviennent de dangereux missiles."
Les débris s'accumulent en orbite depuis le début de l'ère spatiale, il y a 54 ans. Des accords mis en place pour limiter l'ampleur du problème fonctionnaient plutôt bien, mais deux événements survenus au cours des dernières années ont doublé la quantité de débris en orbite autour de la Terre.
En 2007 , la Chine a procédé à un test antisatellite en pulvérisant un satellite météorologique désuet avec un missile. En 2009, une collision en orbite entre deux satellites est survenue et a aussi compliqué la situation.
Les entreprises Lockheed Martin et Electro Optic Systems tentent de mettre au point une combinaison de lasers et de systèmes optiques très sensibles pour détecter et suivre jusqu'à 200 000 objets qui flottent dans l'espace.
L'École polytechnique fédérale de Lausanne, en Suisse, travaille actuellement au projet CleanSpace One, qui vise à mettre au point un premier représentant d’une famille de satellites destinés au nettoyage des débris.
Source: ici.radio-canada.ca

par MANTEAU  5

LIEN

JEUDI

MAI
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
La poubelle que l'humanité a créée autour de la Terre ne sera pas vidée dans un proche avenir, puisque la mission du nettoyeur expérimental mis au point au Japon, qui devait tester une façon d'éliminer les débris spatiaux, est un échec.
Expédié en décembre dernier dans un vaisseau de ravitaillement de la Station spatiale internationale (SSI), ce nettoyeur était en fait constitué d'un câble électrodynamique de 700 mètres. Il devait effectuer un premier test en se déployant lors du retour sur Terre du ravitailleur.
Cette tige constituée de fils d'acier et d'aluminium devait, grâce à des effets électromagnétiques, déplacer les détritus pour qu’ils descendent dans des orbites de plus en plus proches de la Terre et qu'ils finissent par se consumer dans l'atmosphère.
Koichi Inoue, responsable du projet a déclaré
"Nous pensons que la longe ne s'est pas déployée. Il est bien sûr décevant de constater que nous avons terminé la mission sans atteindre un de ses principaux objectifs.
Cette première expérimentation devait servir de base pour la construction d'un câble bien plus grand (5000 à 10 000 mètres) jugé nécessaire pour faire le ménage spatial de façon efficace."
A suivre...
Source: ici.radio-canada.ca

par MANTEAU  5

LIEN

DIMANCHE

AVRIL
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  12

VENDREDI

AVRIL
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Le cosmonaute russe Guennadi Padalka est revenu sur Terre en septembre dernier. Au total, il aura passé 879 jours dans l’espace et bat ainsi le précédent record.
"Je vais bien", a déclaré Guennadi Padalka, un verre de thé dans une main, une pomme dans l’autre. Car effectivement, il y a de quoi se poser la question... Avec cette dernière mission, le cosmonaute russe a au total passé 879 jours dans l’espace, soit 2 ans et 40 jours. Il a ainsi dépassé un record détenu depuis près de dix ans ! Son compatriote Sergei Krikalev avait lui passé 803 jours dans l’espace. Guennadi Padalka a atterri sur Terre samedi dernier à bord de la capsule Soyouz au sud-est du Djekazgan.
A 57 ans, Guennadi Padalka a ainsi achevé son cinquième voyage dans l’espace. Il est revenu de la Station spatiale internationale avec deux cosmonautes bien moins aguerri que lui, le Kazakh Aidyn Aimbetov et le Danois Andreas Mogensen qui n’ont, eux, passé qu’une dizaine de jours en orbite. Hormis ce nouveau record, Guennadi Padalka est aussi la seule personne à avoir commandé quatre fois la Station spatiale internationale. Lors de son premier vol spatial en 1998 à bord de la station Mir, il avait déjà passé 199 jours dans l’espace.
Source: linternaute.com

par MANTEAU  11

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MERCREDI

MARS
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  7

DIMANCHE

FEVRIER
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Fantasme ou réel scénario ?

Pour certains, la réponse est oui. Le phénomène reste encore rare et largement risible, mais de plus en plus de personnes, désespérées à l'idée de ne jamais trouver l'âme sœur, choisissent de se tourner vers les robots ou les poupées. C'est le cas de David Mills, un quinquagénaire deux fois divorcé qui s'est confié auprès du magazine américain Men's Health sur la relation qu'il entretient désormais avec une dénommée Taffy, une poupée en silicone.


Les producteurs de ces poupées voient d'ailleurs l'arrivée des robots sexuels comme une bonne nouvelle. Pour Matt McMullen, l'un des pionniers de la poupée sexuelle avec sa marque Real Doll, "personne ne devrait juger ces personnes ; si cette poupée te rend heureux, c'est tout ce qui compte". Il voit d'ailleurs ces robots sexuels comme un moyen pour les couples séparés géographiquement d'avoir des relations sexuelles au travers de ces corps faits de composés électriques et de silicone.


Pour le moment, les robots sexuels restent réservés à une clientèle très aisée, puisque leurs prix sont aux alentours de 9 000 euros, rapporte le site Inverse. Leur prix devrait sans doute chuter dans les années à venir. Ce sera en tout cas l'une des conditions pour que la prédiction du futurologue Ian Pearson, selon laquelle la plupart d'entre nous posséderons des robots sexuels en 2050, soit avérée.


Source: atlantico.fr

par MANTEAU  8

SAMEDI

FEVRIER
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Est-ce le signe d'une civilisation extraterrestre ? Un télescope russe, qui scrutait la voûte céleste en quête de signes d'intelligence extraterrestre, a détecté un "puissant signal" radio, en 2015. La découverte, rendue publique pour la première fois vendredi 27 août par le site spécialisé Centauri Dreams (en anglais), suscite un grand intérêt dans la communauté scientifique.
Ce signal, dont les caractéristiques pourraient laisser penser à une transmission d'une intelligence extraterrestre, pourrait tout aussi bien être une interférence radio ou le résultat d'un phénomène naturel.
Un signal de nature inconnue
"Personne ne prétend qu'il s'agit d'une transmission d'une civilisation extraterrestre, mais cela vaut certainement la peine de l'étudier davantage", écrit Paul Gilster, créateur de ce site qui couvre les recherches scientifiques portant sur l'exploration de l'espace lointain.
Le signal provient d'une étoile similaire au Soleil qui se trouve dans la constellation d'Hercules (HD164595) à environ 95 années-lumière de la Terre. Les scientifiques savent que cette étoile compte au moins une planète. Mais l'Académie russe des sciences est claire. Pour elle, il est trop tôt pour déterminer la nature et la provenance de ce signal.
Selon les chercheurs, si ce signal radio provenait d'une antenne qui rayonne dans toutes les directions, il s'agirait alors d'une civilisation beaucoup plus avancée que la nôtre, dite "Kardashev de type II", selon ces scientifiques. Si le signal provient d'une bande d'émissions étroite orientée vers notre système solaire, cela pourrait être une civilisation plus proche des humains. Cette découverte devrait faire l'objet d'une discussion au 67e Congrès Astronomique International, qui doit se tenir à Guadalajara (Mexique), le 27 septembre.
Certains astronomes sceptiques
Selon Nick Suntzeff, un astronome de l'Université A&M du Texas, cité par la revue spécialisée Ars Technica, ce signal de 11 gigahertz se situe dans les fréquences utilisées par les militaires. "Si j'étais à la place de ces astronomes, je continuerais les observations, mais sans trop d'illusion étant donné la forte possibilité qu'il s'agisse de quelque chose de militaire", a-t-il détaillé.
Cette détection est comparée à celle du signal "Wow", capté en août 1977 par un radiotélescope américain, ou plus récemment à l'observation controversée de l'étoile Tabby, autour de laquelle des astronomes pensaient avoir observé des structures géantes construites par une civilisation avancée.
par MANTEAU  15

VENDREDI

FEVRIER
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Les robots sont sujets à de nombreux fantasmes. Alors que les progrès de la robotique se multiplient de jour en jour, certains les imaginent humanoïdes, dotés d'une intelligence supérieure et prêts à dominer le monde ; d'autres se les représentent comme des compagnons de vie serviables et doués de sensibilité et d'empathie. Mais nous n'en sommes pas encore là. Bien que certains robots soient déclinés sous une apparence humanoïde et que le machine learning – qui permet à un robot d'apprendre de ses expériences et de diversifier ses connaissances – les rend toujours plus intelligents, leur capacité de réflexion reste encore à des lieues de la nôtre, et il reste aisé pour un humain de savoir s'il a affaire à un robot ou non.


Sexe à volonté


Les robots demeurent pour le moment des machines sans libre arbitre, obéissant au moindre de nos caprices. Nous leur projetons tous nos désirs et faisons en sorte qu'elles puissent les combler. Nous leur confions les tâches dont nous ne voulons pas nous occuper (lave-vaisselle, machine à laver, aspirateur). Et l'on peut deviner que viendra, inévitablement, le moment où ce sera un désir sexuel que l'homme voudra assouvir avec un robot. Non, pas avec les machines actuelles, mais avec des robots à apparence humaine, aux mensurations de tous goûts, capables de répondre au plus conventionnel des désirs sexuels comme aux plus extrêmes. Le tout, évidemment, sans l'obstacle du consentement mutuel de rigueur dans les couples humains. De quoi rendre, au même titre que le visionnage de vidéos pornographiques accessibles en un clic, ce genre de pratiques courantes et extrêmement addictives. Pourquoi se compliquer la vie à faire l'amour avec une personne qu'il faudra d'abord séduire, sans avoir la garantie de pouvoir prendre son pied ?


C'est en tout cas un scénario que redoute Joel Snell, expert en robotique à l'Université de Kirkwood (Iowa, États-Unis) interrogé par le journal britannique Daily Star : "Le sexe robotique pourrait devenir bien meilleur que le sexe humain", affirme-t-il. Si les robots sexuels sont actuellement plus proches de la poupée gonflable classique que du véritable humain, ils devraient néanmoins connaître une forte demande en 2016. Alors qu'en sera-t-il lorsque ces machines possèderont des parties anatomiques capables de reproduire à l'identique, sinon mieux, le plaisir de l'acte sexuel ? "Les robots sexuels seraient toujours disponibles et ne pourraient jamais dire 'non', ce qui laisserait ainsi quiconque satisfaire son addiction. Ces utilisateurs deviendraient obsédés par leur toujours fidèle et affable robot sexuel", poursuit Snell. Risque-t-on de délaisser nos congénères humains au profit des robots ?
A suivre...
Source: atlantico.fr

Photo: Robot woman 2 by kisrini

par MANTEAU  8

VENDREDI

NOVEMBRE
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
La capsule spatiale Shenzhou 11 s'est posée ce vendredi 18 novembre en Mongolie intérieure avec deux taïkonautes à son bord après avoir effectué le plus long vol spatial habité réalisé par la Chine à ce jour, rapportent les médias officiels.
La télévision d'État a diffusé des images du « Vaisseau divin », la signification du nom de la capsule, entourée de drapeaux chinois et des équipes scientifiques qui ont participé au projet visant à faire de la Chine une puissance spatiale à part entière.
Selon l'agence Chine nouvelle, Shenzhou 11 a atterri avec succès peu après 14 h, heure locale.
Jing Haipeng et Chen Dong ont passé 30 jours à bord du laboratoire spatial Tiangong 2, où ils ont mené des expériences en vue de la mise en orbite, vers 2022, d'une station spatiale occupée permanente.
Les deux hommes ne sont pas immédiatement sortis de la capsule, mais le chef de la mission, Zhang Youxia, a déclaré qu'ils étaient en bonne santé et qu'ils passaient des examens médicaux de routine.
En 2013, trois Chinois avaient passé 15 jours dans l'espace à bord du laboratoire spatial Tiangong 1.
Son successeur, Tiangong 2, va rester en orbite jusqu'à l'an prochain, date à laquelle il devrait s'arrimer au premier vaisseau spatial chinois, Tianzhou 1, dont le lancement est programmé autour du mois d'avril, selon les médias officiels.
Le président Xi Jinping a fait du développement du programme spatial chinois une priorité pour faire entrer son pays dans le club restreint des puissances spatiales. Pékin assure que son programme est uniquement pacifique.
Source: Reuteurs+ici.radio-canada.ca/

par MANTEAU  14

DIMANCHE

NOVEMBRE
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
L'hypothèse du zoo est une explication théorique, avancée en 1973 par l'astronome John A. Ball, sur des prémisses posées par Constantin Tsiolkovski en 1934, en réponse au paradoxe de Fermi lequel concerne l'apparente absence de contacts et de preuves de l'existence d'une vie extraterrestre. Selon cette hypothèse, les extra-terrestres existeraient et seraient assez avancés technologiquement pour pouvoir communiquer avec les Terriens. Ils observeraient la Terre et l'humanité à distance, sans essayer d'interagir, à la façon de chercheurs qui observent des animaux primitifs à distance, évitant d'entrer en contact afin de ne pas les perturber.
Un développement de cette hypothèse est celle de la « quarantaine galactique » où les civilisations extraterrestres, pour des raisons éthiques, scientifiques ou culturelles, attendraient, avant de contacter l'humanité, qu'elle atteigne un certain niveau technologique ou évite l'autodestruction. D'autres hypothèses ont été développées à partir de celle-ci par des scientifiques, devenant parfois des sujets philosophiques. Les critiques et les scientifiques soulignent qu'il n'y a aucun moyen de les vérifier.
Les hypothèses du zoo et de la quarantaine galactique ont également été reprises en ufologie et dans des œuvres de science-fiction.
par MANTEAU  7

              
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