SAMEDI
JANVIER 2015 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Un article t du Daily Mai détaille beaucoup des projets étranges sur lesquels la DARPA travaille en ce moment même. Le fait même que la DARPA ait autorisé à ces projet d’être dévoilés dans les médias de masse, signifie probablement que l'étape de développement est presque finie, et qu’ils sont prêts à essayer de convaincre un public hésitant de les accepter….
Les soldats de demain pourront courir à des vitesses olympiques, et pourront aller pendant des jours, sans nourriture ou sommeil, si les nouvelles recherches dans les manipulations génétiques sont fructueuses.
Selon les prévisions de l’armée américaine, à l’avenir, leurs soldats pourront porter des poids énormes, vivre de leur gros magasin, pendant des périodes prolongées, et même régénérer des membres soufflés par des bombes distantes.
Les plants ont été révélés par le romancier Simon Conway, qui a eu accès à l’arrière-scène de l’Advanced Research Projects Agency du Pentagon.
Alors comment est-ce possible ?
Comment pouvez-vous modifier génétiquement un humain pour pouvoir avoir ces capacités ?
Un article différent du Daily Mail expliquait récemment basiquement comment cela fonctionne
La plupart des techniques de modification de gène impliquent de placer l'ADN génétiquement modifié à l'intérieur d'un virus et de l'injecter dans le corps humain. Le virus entre alors dans les cellules humaines, et son ADN modifié s'attache à l'ADN humain à l'intérieur de ces cellules.
Est-ce que les virus pourraient être utilisés pour modifier génétiquement l’humanité à une large échelle ?
Comment le reste de l’humanité répondrait à une « super race » de mutants qui serait clairement « supérieure » au reste de nous tous dans un tas de différentes façons ?
Quand vous commencez à jouer avec la création vous ouvrez une boîte de Pandore. Les possibilités sont infinies mais ainsi sont les problèmes potentiels.
A suivre....
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| par MANTEAU | | | 10 | |
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VENDREDI
DECEMBRE 2014 |
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MERCREDI
DECEMBRE 2014 |
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Très prometteuse en matière d'urbanisme et de démocratie participative, la smart city ne fait cependant pas l'unanimité dans le sens où le concept véhicule un certains nombre de dangers potentiels. Parmi eux : le risque de voir certaines compétences publiques transférées au secteur privé. Les réseaux informatiques qui donnent naissance aux villes intelligentes seraient la propriété de grandes entreprises comme IBM, Siemens ou Cisco qui, grâce à l’interconnexion, pourraient ainsi collecter des quantités astronomiques d’informations.
De surcroît, c'est la sécurité même de ces données qui serait sujette à caution
L’ampleur inouïe des systèmes intelligents à l’échelle des villes soulève une problématique particulière. Les municipalités et leur infrastructure constituent dès à présent les systèmes les plus complexes jamais conçus par l’homme. Les associer à des processus de traitement de données induira forcément de multiples nouvelles possibilités de bogues et, partant, des interactions imprévues.
Pour Anthony Townsend, l’auteur du livre Smart Cities: Big Data, Civic Hackers, and the Quest for a New Utopia, les bogues sont prévisibles dans les villes intelligentes. Les smart cities seront-elles synonymes de plus de sécurité ou alors de surveillance totalitaire ? Les entreprises ne seront pas les seules à profiter de cette pléthore d’informations. Les pirates informatiques pourraient tirer parti de l’interconnexion croissante des municipalités pour accéder à une multitude de données et de vidéos. C’est aussi un problème pour le sociologue américain Richard Sennett :
"La question qui se pose est : qui contrôle ces informations et comment sont-elles organisées ? Ce qui soulève aussi la question du concept d’urbanisme. Les interrogations soulevées par la technologie sont bien plus complexes que celles liées au choix d’un logiciel. "
Par Cyril Charon et Nora Laufer/Arte.TV
Illustration: adrienc/deviantart.com
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DIMANCHE
NOVEMBRE 2014 |
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Les smarts cities seront susceptibles d'apporter 10 Réponses à la ville :
1) En matière énergétique. Une première dimension des smart cities relève du développement des smart grids. Une métropole intelligente optimise les dépenses énergétiques sur son territoire.
2) En matière financière. Au-delà de la crise globale, les finances locales sont prises dans l’étau du cycle électoral et dans la perspective d’une probable dégradation à venir. Une métropole intelligente fait des efforts d’efficience.
3) En matière sociale. Les métropoles vivent une compétition accrue, en externe, et des inégalités qui progressent, en interne. Une métropole intelligente accroît son attractivité tout en se préoccupant de cohésion sociale (notamment en luttant contre la fracture numérique).
4) En matière de peuplement. Les métropoles connaissent à la fois une diversification des populations et une transformation des familles. Une métropole intelligente fournit des informations et services adaptés aux demandes contemporaines, qu’il s’agisse de sécurité ou de modes de garde pour les enfants.
5) En matière démographique. La donne de base est le vieillissement. L’urbanisme peut faciliter la mixité générationnelle, donc la solidarité entre les générations. Une métropole intelligente gère la nécessaire adaptation de la ville pour les plus âgés, la robotisation et la domotique pouvant grandement aider.
6) En matière de gouvernance. C’est le mille-feuille et le kaléidoscope qui prévalent et qui devraient encore prévaloir. Une métropole intelligente n’est pas une révolution institutionnelle mais un ensemble de modalités de gestion plus efficace de territoires plus complexes.
7) En matière de déplacement. L’augmentation du nombre de kilomètres parcourus doit être contrebalancée par le développement des mobilités douces. Une métropole intelligente permet de limiter les déplacements inutiles et d’assurer des mobilités plus agréables.
8) En matière de forme urbaine. Densité et compacité ne résoudront pas toutes les difficultés attachées à l’étalement urbain, mais elles les limiteront. Une métropole intelligente permet, par la mixité fonctionnelle des bâtiments et des quartiers, de limiter l’émiettement problématique.
9) En matière d’innovations. Le monde regorge d’exemples et de réalisations, à charge de savoir les capter, les décortiquer et les digérer. Une métropole intelligente veille sur ce que font les autres, sans se faire survendre des solutions qui ne lui conviennent pas.
10) En matière géopolitique. Le centre du monde se déplace et les innovations et réalisations dites smart sont présentées et vendues chez les émergents. Il n'existe pas d’offre smart city en soi, mais des composantes de la smart city. L’État et les collectivités territoriales, en France, ont intérêt à promouvoir ces initiatives à l’international. La smart city, c’est aussi la smart cité : il n’y a pas là un «made in France» chauvin, mais l’affirmation de la qualité des villes et des entreprises françaises.
Par Cyril Charon et Nora Laufer/Arte.TV
Illustration: anasrist/deviantart.com
A suivre....
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JEUDI
NOVEMBRE 2014 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Les villes intelligentes sont donc pensées selon la logique du réseau, fruit de la collecte systématique des données issues des caméras, capteurs, ordinateurs et smartphones. Tout est susceptible d'être observé et traité : les transports, les changements de température, la pollution de l'air etc. Les données recueillies par ces différents moyens sont rassemblées et traitées dans un même endroit - une grande centrale informatique - et transmis aux entreprises et aux administrations. C'est la collecte et le traitement de ces données qui devraient contribuer à rendre les villes plus rentables et durables et faire en sorte que toutes les ressources sont utilisées au mieux. La ville intelligente implique également qu'il soit donné aux citoyens la possibilité de participer activement au développement urbain et d'interagir avec leurs représentants au sein de la municipalité.
10 réponses pour une meilleure urbanisation...
Au fondement de la ville intelligente, il y a un constat : celui de l’urbanisation croissante. Dans l’UE, plus de 70% de la population est citadine et, à l’échelle mondiale, les villes produisent à elles-seules 80 % des émissions de CO2 et concentrent les ¾ des besoins énergétiques… Face à ces défis logistiques, environnementaux et économiques, l’efficience est devenu l’objectif et la smart city un des moyens d’y parvenir.
"L'introduction de davantage d'intelligence, c'est à dire, en réalité, la captation collective de toutes les intelligences de la ville, vise l'usage optimum de ce qui est en place et des projets de développement. " (Julien Damon (sociologue, Professeur associé au master d’urbanisme à Sciences-PO) dans un article publié sur Slate.fr.)
Par Cyril Charon et Nora Laufer/Arte.TV
Illustration: st-pete/deviantart.com
A suivre....
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VENDREDI
OCTOBRE 2014 |
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MERCREDI
OCTOBRE 2014 |
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LUNDI
JUILLET 2014 |
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Bernhard Riemann (1826-1866)
Pendant ses études à Göttingen et à Berlin, le jeune Riemann travaille avec le mathématicien Gauss, à qui l’on doit les premières études sur le magnétisme.
Nommé professeur à l’Université de Göttingen en 1859, il cherche d’abord à développer une géométrie qui puisse servir à l’étude des lignes de champ magnétique. Cela le conduit à proposer un formalisme mathématique qui soit applicable à toutes les géométries non-euclidiennes (c’est-à-dire dont les surfaces ne sont pas planes, mais courbées), quel que soit le nombre de dimensions. C’est cette mathématique qu’Einstein utilisera pour développer sa relativité générale.
Riemann poursuivra aussi d’importants travaux sur les fonctions complexes, sur le calcul intégral, sur la solution des équations quadratiques, sur la topologie et sur la distribution des nombres premiers (la plus célèbre de ses conjonctures n’a d’ailleurs pas encore pu être démontrée, après un siècle et demi). Mais ce mathématicien, parmi les plus brillants de l’histoire, meurt à 39 ans, emporté par la tuberculose.
Source: ici.radio-canada.ca/
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