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DIMANCHE

MAI
2018
PAS BêTES!
 
Un rarissime wombat à nez poilu du Nord est né en Australie, ont annoncé mercredi les autorités de l'Etat du Queensland, engagée dans un combat de longue haleine contre la disparition de cet emblématique marsupial.
Le wombat à nez poilu du Nord est la plus menacée des trois espèces de wombats puisque sa population dans la nature ne serait plus que de l'ordre de 250 individus.
Espèce menacée
Le petit est sorti de la poche de sa mère dans le Refuge Richard Underwood créé il y a huit ans dans le Queensland, où vit l'une des deux dernières populations connues de wombat à nez poilu du Nord.
"Longue attente"
Le ministre de l'Environnement de cet Etat du nord-est de l'Australie, Steven Miles, a précisé que les responsables de cette réserve surveillaient depuis 10 mois la mère. "Cela a été une longue attente pour l'équipe spécialisée dans les wombats. Mais il a été confirmé que le petit est finalement sorti de la poche", a-t-il dit. "C'est la première naissance en cinq ans au sein de la colonie réintroduite de wombats à nez poilu du Nord, et cela montre que le male apporté l'an passé s'est bien adapté."
Deux populations recensées
Les deux seules populations connues de cette espèce se trouvent toutes les deux dans le Queensland, l'autre se situant dans le Parc national de l'Epping Forest. Alarmé par le recul de la colonie de wombats dans ce Parc national, le gouvernement du Queensland avait créé en 2009 le second refuge, ce qui a permis à la population de se reconstituer lentement.
Autres espèces
Les deux autres espèces de wombats sont le wombat commun et le wombat à nez poilu du Sud. Ces marsupiaux herbivores, dont l'apparence se situe entre l'ours et le rat, sont menacés par les chiens errants, les maladies et la concurrence des kangourous pour leur nourriture.
par MANTEAU  9

JEUDI

AVRIL
2018
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  59

DIMANCHE

MARS
2018
PAS BêTES!
 
La disparition du tigre de Tasmanie du continent australien fut probablement provoquée par la sécheresse et non par les chasseurs aborigènes ou les chiens sauvages, ont annoncé jeudi des scientifiques.
Le mystérieux marsupial, également connu sous l'appellation thylacine, était jadis très répandu en Australie. Mais il a totalement disparu du continent il y a environ 3.000 ans. Le thylacine avait résisté sur l'île de Tasmanie, dans le sud de l'Australie, jusqu'en 1936.
A cette date, le dernier spécimen connu était mort dans un zoo de Hobart. Les autres tigres de l'île avaient été exterminés par la chasse intensive. Sur le continent, les scientifiques estimaient jusqu'à présent que l'animal avait été victime des chiens sauvages - ou dingos - introduits par les navigateurs il y a à peu près 3.500 ans. Mais il n'y a jamais eu de dingos en Tasmanie. Une autre théorie suggérait que les chasseurs aborigènes avaient eu raison du tigre de Tasmanie, l'un des animaux les plus mythiques de l'Australie.
Certains refusent de croire que ce marsupial, qui ressemble à un chien et présente des rayures sur le dos, a réellement disparu. Ils signalent régulièrement sa présence sur des sites dédiés, mais celle-ni n'a jamais été vérifiée. Mais une étude publiée cette semaine par le Journal of Biogeography, réalisée à partir d'ADN anciens extraits d'os fossilisés et de spécimens de musée, a conclu que leur disparition sur le continent était probablement consécutive à la sécheresse.
Les chercheurs du Centre d'ADN ancien (ACAD) de l'Université d'Adélaïde ont créé la plus importante base de données d'ADN de thylacine existant à ce jour, avec 51 nouvelles séquences de génome, et s'en sont servi pour étudier l'évolution des populations à travers l'Histoire. "L'ADN ancien nous raconte que l'extinction fut rapide sur le continent, par le résultat de facteurs intrinsèques comme la consanguinité et la perte de diversité génétique", écrit Lauren White. Jusqu'à 3.000 ans en arrière, une population importante et diversifiée de tigres vivaient dans le sud de l'Australie.
Puis, des sécheresses provoquées par le système météorologique El Nino ont vraisemblablement décimé les populations, selon les chercheurs. "On a aussi trouvé des signes d'effondrement de la population et de perte de la diversité génétique en Tasmanie à la même période", explique Jeremy Austin, directeur adjoint du ACAD. "La Tasmanie a dû être protégée dans une certaine mesure de ce climat plus chaud et plus sec par sa pluviométrie plus importante, mais il apparaît que cette population a aussi subi les effets d'El Nino avant de s'en remettre". Le courant équatorial El Nino est périodique et provoque des hausses de température dans le Pacifique. En Australie, il peut provoquer des sécheresses dans des endroits normalement humides.
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  29

VENDREDI

MARS
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DECEMBRE
2017
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par MANTEAU  20

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JEUDI

JUILLET
2017
PAS BêTES!
 
Un homard pêché dans la baie de Saint-Brieuc la semaine dernière, a échappé à la marmite grâce à sa couleur bleu roi très rare et a été remis mercredi à l'Aquarium d'Océanopolis à Brest, a constaté un photographe de l'AFP.
"Les scientifiques estiment qu'un homard sur deux à trois millions est de couleur bleue", précise l'aquarium brestois dans un communiqué. Le spécimen rarissime a été installé mercredi dans l'espace Minilab du pavillon Bretagne.
"Habituellement, la carapace du homard contient à la fois un pigment rouge-orangé, l'astaxanthine, et un pigment bleu, la crustacyanine", explique-t-on de même source. "Cette combinaison donne une couleur, souvent sombre, allant du marron au bleu foncé". A la cuisson seule reste la pigmentation orangée.
"La particularité physique de ce spécimen, cette teinte bleue exceptionnelle, est due à une anomalie génétique qui favorise le développement d'un excès de crustacyanine, le pigment bleu", note l'aquarium.
"A l'inverse, il existe des spécimens encore plus rares, totalement dépourvus de crustacyanine, et qui arborent une belle teinte orangée. C'est le cas d'un spécimen déjà présenté dans le pavillon Bretagne d'Océanopolis", précise-t-on de même source.
Source: AFP/Le point

par MANTEAU  17

MERCREDI

JUILLET
2017
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  32

MARDI

JUIN
2017
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  36

MARDI

JUIN
2017
PAS BêTES!
 
Des années après avoir été aperçue pour la première fois, cette orque extrêmement rare a été retrouvée et elle semble en pleine forme.
Vous vous souvenez d’Iceberg, cette orque entièrement blanche que des scientifiques ont aperçue en 2010, mais que le monde entier avait découverte deux ans plus tard? À cette époque, ce splendide cétacé était devenu la star de son espèce, car il s’agissait potentiellement d’une des seules orques blanches adultes existantes au monde.
Et bien, la même équipe de Far East Russia Orca Project (FEROP), composée entre autres de Erich Hoyt, chercheur et spécialiste des orques, a retrouvé la trace de l’animal en 2015 et vient de détailler de nouvelles découvertes concernant les orques blanches dans une étude publiée, fin août, sur le site Aquatic Mammals. Pour garder le suspens sur leur travail, les chercheurs viennent seulement de révéler la nouvelle concernant Iceberg sur les réseaux sociaux.
Sur sa page Facebook, l’équipe explique qu’Iceberg est toujours en train de «voyager avec sa famille de mangeurs de poissons». Mais il semblerait qu’elle ne soit plus la seule orque de ce type: les chercheurs en auraient découvert plusieurs dans les eaux de la Russie orientale, ce qui ferait de cet endroit «le spot numéro un au monde pour les baleines tueuses blanches qui pourraient être leucistiques (une mutation génétique qui rend la pigmentation blanche mais ne décolore pas les yeux) ou de vraies albinos (qui, elles, ont les yeux décolorés)». Mais il ne faut pas se réjouir trop vite, car, comme le révèle le rapport des chercheurs du FEROP, «l’albinisme révélerait des problèmes de consanguinité dans les petits groupes d’orques».
Source: slate.fr

par MANTEAU  62

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2017
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par MANTEAU  41

              
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