
Cette photographie est signée Steve McCurry et date de juin 1984. Sharbat Gula avait alors 12 ans et stationnait dans un camp de réfugiés afghans au Pakistan, lors de l’invasion de l’Union soviétique. Le cliché a été utilisé comme couverture du magazine National Geographic et est rapidement devenu l’une de ses couvertures les plus emblématiques. Le nom de la jeune fille est resté inconnu pendant longtemps, jusqu’à ce qu’après 17 ans de recherches Steve McCurry retrouve sa trace dans la région. Elle est revenue en Afghanistan en 1992 et ne savait pas qu’elle était devenue une telle icône. Son identité a été confirmée à 99,9 % par les experts du FBI.
Source: http://dailygeekshow.com/
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photo: buzzfeed.com
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VENDREDI
  FEVRIER 2018 |
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Philip Plisson est un photographe français, né le 17 janvier 1947 à Orléans, spécialisé dans les photographies maritimes.
Avec son fils Guillaume, photographe lui aussi, il lance la compagnie d'édition Pêcheur d'Images. Ses deux autres enfants, Anne et Franck, travaillent avec lui. Il installe tout d'abord une galerie à la Trinité-sur-Mer dans le Morbihan avant de déménager les bureaux de la société dans la commune voisine de Crac'h pour construire de plus grands locaux et donner une nouvelle impulsion à cette société.
Fervent défenseur de la mer en général, il est l'auteur de nombreux ouvrages de photos, comme la Mer ou encore la Mer, Avenir de la Terre, etc. Il participe régulièrement à des conférences ou des sommets pour défendre la mer, notamment à Bruxelles lors de réunions de l'Union européenne.
Il est nommé peintre de la Marine en 1991. En 1992, une exposition intitulée Philipp Plisson, pêcheur d'images lui est consacrée au Musée national de la Marine à Paris.
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SAMEDI
  JUILLET 2017 |
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Il s'appelle Omran Daqneesh. À 5 ans, ce enfant syrien est devenu, en quelques heures, le visage de la sanglante bataille d'Alep. Assis seul dans une ambulance après le bombardement de l'immeuble où il vivait, il a déclenché jeudi une émotion mondiale. «Il était choqué, il ne pleurait même pas, il nous a fait pleurer, il était silencieux, il nous regardait», explique à Reuters, Mohammed Raslan Abu Sheikh, photographe indépendant et témoin de la scène. Washington n'a pas manqué de commenter ces images. «Voilà le vrai visage de ce qui se passe en Syrie», a déclaré le porte-parole du département d'Etat, John Kirby. Ce n'est pas la première fois qu'une photo vient bouleverser et révolter l'opinion internationale.
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Le Baiser de l'hôtel de ville est une célèbre photographie en noir et blanc du photographe français Robert Doisneau. Prise en 1950 à proximité de l'hôtel de ville de Paris, elle représente un homme et une femme qui s'embrassent tout en marchant sur un trottoir encombré de passants, devant une terrasse de café.
Histoire de la photo
Il s'agit d'une scène posée réalisée dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life avec la complicité des deux protagonistes, étudiants en théâtre, Françoise Delbart (née Bornet) et son petit ami Jacques Carteaud, alors élèves au Cours Simon. Robert Doisneau les avait rencontrés dans un café parisien et, les ayant vu s'embrasser, leur avait proposé une séance de prise de vue en pleine rue, moyennant une rétribution de 500 FF. L'identité des deux protagonistes fut longtemps inconnue, y compris de l'auteur lui-même.
Cette photographie est devenue particulièrement célèbre avec la commercialisation, en 1986, de 410 000 exemplaires d'un tirage en format affiche, un record mondial.
Ce cliché a été au cœur de nombreux contentieux, dont un procès retentissant du vivant de Robert Doisneau. En 1992, le couple Lavergne revendique être les amants de l’hôtel de ville, et réclament 500 000 FF au photographe pour violation de sa vie privée. Ce procès fait ressurgir Françoise Bornet qui se fait connaître de Robert Doisneau et fournit, pour prouver qu'elle est bien l'un des protagonistes, un cliché original, numéroté et estampillé que le photographe avait donné aux amants après la séance photo. Françoise Bornet fait, elle aussi, un procès et réclame 100 000 FF de rémunération complémentaire, ainsi qu'un pourcentage sur les bénéfices commerciaux. Depuis la prise du cliché, les amants se sont séparés.
Jacques Carteaud refuse quant à lui de se joindre à la démarche, refusant de « transformer cette histoire photographique en histoire de fric »
Le 2 juin 1993, le tribunal de grande instance de Paris déboute en appel les trois demandeurs. Les époux Lavergne n'ont pas réussi à prouver qu'il s'agissait bien d'eux sur le cliché. Quant à Françoise Bornet, Robert Doisneau lui même la reconnaît comme étant la protagoniste. Mais le tribunal considère qu'elle ne peut se prévaloir d'un droit à l'image n'étant, du fait de sa position, pas reconnaissable sur le cliché.
Françoise Bornet a mis en vente son cliché original, le 25 avril 2005. Mis à prix à 10 000 € chez Artcurial à Paris, il sera adjugé 185 000 € en présence de sa propriétaire.
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