LUNDI
MARS 2023 |
| ARCHITECTURE&DESIGN
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Amoureux du grand air, cette villa en pierre est pour vous. Non seulement elle offre un panorama spectaculaire sur la vallée et les sommets enneigés des montagnes qui l'entourent, mais elle est située dans le parc boisé et rocailleux de Bear Mountain, dans le Colorado, à savoir l'un des sites montagneux les plus préservés au monde. Nul ne pourra donc en douter : nous sommes en présence d'un bien d'exception. Nichée dans la roche, la maison se fond d'ailleurs si bien dans le paysage qu'elle constitue à ce jour un des exemples les plus réussis d'architecture biomimétique aux États-Unis. Un statut qui justifie son prix : 4,5 millions d'euros.
L’intérieur
D'une superficie d'environ 2 600 mètres carrés, la maison compte ainsi huit chambres et neuf salles de bains, ainsi que deux chambres d'amis, un garage et une terrasse privée. La suite parentale est au rez-de-chaussée et dispose d'une cheminée à double-face, d'une terrasse privée et d'armoires de plain-pied. La grande cuisine équipée vaut elle aussi le détour. Avec son bar, son îlot central et sa salle à manger adjacente, elle est idéale pour accueillir des fêtes ou des dîners en famille. Mais surtout, elle est entourée de baies vitrées donnant sur une terrasse avec une superbe vue sur la vallée.
Lumière naturelle
Les baies vitrées qui rythment la propriété permettent également de profiter du paysage. Les puits de lumière, eux, servent surtout à illuminer l'espace tout au long de la journée. Notons par ailleurs que le salon et la salle à manger ont été construits près de rochers afin que ces derniers soient visibles à travers la fenêtre.L’aire de jeuxSi la décoration du premier étage de la villa est élégante et pose une ambiance chaleureuse et intime, l'étage inférieur est consacré à un vaste espace « divertissement » comprenant un home cinéma, un gymnase, une salle de jeux avec bar, une véranda, un jacuzzi et un hammam.Dernière remarque pour l'anecdote : située à proximité de Denver, la villa se trouve à Evergreen, une ville comptant de nombreuses personnalités parmi ses habitants. On compte parmi eux Berkeley Breathed, dessinateur ; Scott Hamilton, patineur artistique médaillé d'or aux Jeux olympiques et Gary Hart, sénateur. Le musicien country Willie Nelson et John Hinckley – un criminel obsédé par Jodie Foster – y ont également habité.
Copyright : TopRealEstateDeals
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MARDI
FEVRIER 2023 |
| ARCHITECTURE&DESIGN
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VENDREDI
AOUT 2022 |
| ARCHITECTURE&DESIGN
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S'il est indéniable que les efforts croissants de développement durable du monde de l'automobile font parler d'eux ces jours-ci, cela ne veut pas dire que d'autres industries du transport sont en sommeil. Au contraire, avec cette paire de concepts de transports publics futuristes issus du CAPTN (Clean Autonomous Public Transport Network), un avenir plus vert pourrait se profiler.
Nommés "Floating Platform" et "Passage", ils sont une paire de ferries qui ont été conçus en coopération avec des partenaires de l'Université de Kiel et de son Université des Sciences Appliquées.
Le premier voit le produit final comme une élégante enceinte en verre avec une nageoire dorsale et un petit stabilisateur. Cependant, ce dernier adopte une approche légèrement différente, l'envisageant comme un rectangle en forme de monorail avec un extérieur en treillis unique. Avec une propulsion électrique et un fonctionnement entièrement autonome, ils offriront aux passagers un transport à travers le fjord de Kiel silencieux, autonome et sans émissions.
En tant que tels, ils pourront offrir leurs services 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, un joli contraste avec les horaires horaires traditionnels des ferries.
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| par MANTEAU | | | 7 | |
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SAMEDI
JUILLET 2022 |
| ARCHITECTURE&DESIGN
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Le casino de Constanța (en roumain : Cazinoul din Constanța) est un bâtiment de style Art nouveau situé en Roumanie à Constanța, 2 boulevard de la Reine Élisabeth, sur le bord de la mer Noire.
L'édifice dont la façade s'orne d'une large baie vitrée en forme de coquille Saint-Jacques, est un point de repère et un emblème de la ville.
Il a été inauguré en août 1910 et a fonctionné comme casino à l'époque du royaume de Roumanie et comme restaurant et salle de danse à l'époque communiste (le communisme interdisant les jeux de hasard, à l'exception de la loterie nationale). Rénové en 19861, il est l'objet, après la chute de la dictature en 1989, d'un projet d'extension de l'Aquarium de Constanța (situé en face) et il est classé monument historique par le ministère de la Culture à l'époque dirigé par Andrei Pleșu. Mais la municipalité préfère le concéder à une entreprise privée locale qui y exploite le restaurant et lui rend son office de casino. Celle-ci rend son tablier en 2007 et le casino est alors concédé à la chaîne israélienne « Queen Investments ». Toutefois celle-ci n'entretient pas la structure, qui se dégrade, devient dangereuse et doit être évacuée en 2014.
Le bâtiment, délabré et fermé, reste cinq ans abandonné avant qu'un projet de restauration, d'un montant de 12 millions d'euros et d'une durée de trois ans ne soit publié
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| par MANTEAU | | | 8 | |
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JEUDI
MAI 2022 |
| ARCHITECTURE&DESIGN
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On vous parlait de ce projet en 2019
Le projet du groupe Hermitage Plaza ne verra pas le jour: le Conseil d’administration de Paris La Défense a décidé à l’unanimité de ne pas approuver le projet de promesse de vente pour la réalisation des tours jumelles, parmi les plus hautes d’Europe, dans le quartier d’affaires de La Défense (Hauts-de-Seine), mené par le promoteur russe Hermitage Plaza. La décision prise le 28 décembre a été rendue publique ce lundi 3 janvier.
Une lueur d’espoir avait pourtant brillé pour le promoteur russe: un protocole transactionnel avait été signé par la société Hermitage et par Paris La Défense le 24 mars 2021 à l’issue d’une procédure de médiation conduite sous l’égide du tribunal judiciaire de Nanterre. Ce protocole mettait un terme aux différends antérieurs entre les parties, et prévoyait leurs obligations respectives en vue de favoriser la réalisation du projet.
Une «absence de garanties financières et techniques»
Mais, «la situation ne permettait pas de conclure de promesses de vente avec la société Hermitage dans des conditions acceptables pour l’établissement public, eu égard notamment à l’absence de garanties financières et techniques fournies par le porteur de projet», assure l’aménageur du quartier d’affaires Paris La Défense, après une réunion du Conseil d’administration le 28 décembre.
Ce bras de fer ne date pas d’aujourd’hui: Paris La Défense avait soldé ses comptes en 2019, ne voyant pas les travaux avancer. L’aménageur réclamait à Hermitage une indemnité de 30 millions d’euros pour compenser l’immobilisation du terrain et du volume à construire. De son côté, le groupe Hermitage affirmait qu’il ne verserait cette somme qu’une fois la promesse de vente signée, comme le prévoit, selon lui, l’accord signé en 2010 entre les deux parties. Ce qu’avait démenti Paris La Défense qui n’entretenait plus aucune relation contractuelle avec le promoteur russe.
Un feuilleton judiciaire
Le projet pharaonique de deux tours jumelles dessinées par l’architecte Sir Norman Foster et lancé en 2007, devait accueillir des bureaux, des appartements, des surfaces commerciales ainsi que des restaurants et bars panoramiques, un hôtel de luxe et une galerie d’art, pour un coût total estimé à près de 3 milliards d’euros. Une saga judiciaire sans fin a entouré ce projet, qui a connu une dizaine de procédures devant plusieurs juridictions civiles et administratives. Les groupes Axa et Allianz avaient notamment contesté le permis de construire des tours, délivré par le maire de Courbevoie et qui impliquait la démolition de bâtiments dont ils étaient copropriétaires mais le Conseil d’État avait rejeté leur recours, en 2018. Quelques années plus tard, le projet est définitivement enterré.
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| par MANTEAU | | | 14 | |
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