
JEUDI
  SEPTEMBRE 2011 |
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SAMEDI
  SEPTEMBRE 2011 |
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À travers l’étude de l’histoire et des civilisations, on retrouve de nombreuses traces du tatouage comme punition, comme un moyen de marquage social. Le tatouage forcé et punitif vise la plupart du temps à identifier et à exclure l’individu de la société en le désignant irrémédiablement à ses congénères.
Pendant la seconde guerre mondiale, les nazis avaient mis en place un système de tatouage pour les juifs et autres détenus du camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz (Les tsiganes étaient par exemple tatoués de la lettre « Z », pour « Zigeuner », les Aryens de la lettre « A »). Dès l’entrée des prisonniers dans les camps, les SS leur imprimaient un numéro de matricule tatoué à l’intérieur du poignet qui devenait leur seule identité, comme du bétail, dans un processus de déshumanisation.
Ceux qui n’étaient pas marqués par ce tatouage à leur arrivée étaient condamnés à une exécution immédiate. Ce marquage était vécu comme une humiliation par les déportés. Néanmoins, nombreux sont les survivants des camps de concentration qui ont conservé cette marque comme une preuve de leur survie, comme un témoignage de cette horreur, en honneur aux disparus. D’autres ont choisi d’enlever la marque pour effacer l’infamie, la honte et l’avilissement subie pendant cette période. Le mot ka-tzetnik désigne le nom de ce tatouage de la honte et signifie en Yiddish les déportés des camps.
A la libération, on a assisté à une véritable vague d’épuration, qui a touché près de 10.000 personnes, et plus particulièrement de nombreuses de femmes qui ont été tondues, la tête rasée et une croix gammée peinte au goudron sur le front pour avoir eu des relations sexuelles avec des allemands (la « collaboration horizontale ») ou pour avoir fait preuve de collaboration économique avec l’ennemi, cette preuve ce limitant bien souvent à des dénonciations. Parfois on allait jusqu’à les scarifier ou à leur tatouer une croix gammée sur le crâne, ou même jusqu’à des lynchages publiques purs et simples.
Source: tattoo-tatouages.com |
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