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DIMANCHE
  JUIN 2013 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Jules Verne a commencé le mouvement de futurologie il y a environ 150 ans par des prévisions incroyables sur le technologies futures, devenus des classiques de science-fiction tels que Voyage au centre de la Terre et de Vingt mille lieues sous les mers .
Depuis, la futurologie a évolué et s'est élargie en termes de portée, popularité, diversité, d'application sociale et de vision scientifique. La vision initiale de Verne est devenue la source d'inspiration pour d'autres sommités de science-fiction comme Edward Bellamy, HG Wells, Hugo Gernsback, Isaac Asimov et Arthur C. Clarke.
Le futurisme, ou art visuel consacré à la science et la science-fiction, a alors "décollé" en Italie à partir de 1920. Depuis le futurisme du début des années 1950 a augmenté de façon exponentielle par la télévision et le cinéma, avec par exemple Star Trek et Star Wars oeuvres devenant notamment influentes.
par le Dr Adam Weigold - bigscaryideas.com
A suivre...
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MERCREDI
  JUIN 2013 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Pour approvisionner les colonies orbitales, lancer des matériaux depuis la Terre reviendrait très cher, aussi des scientifiques, comme Robert Zubrin, pensent faire venir les matières premières de la Lune, de Cérès, des astéroïdes géocroiseurs, Phobos ou Déimos, où les forces gravitationnelles sont très inférieures et où il n'y a ni atmosphère, ni biosphère endommageable. Les colonies sur la Lune et sur Mars pourront utiliser les ressources locales, bien que la Lune ait des quantités insuffisantes en hydrogène, en carbone et en azote mais beaucoup en oxygène, en silicium et en métaux. Les astéroïdes géocroiseurs contiennent de grandes quantités de métaux, oxygène, hydrogène et carbone, ainsi qu'un peu d'azote mais pas suffisamment pour éviter un approvisionnement depuis la Terre. Plus éloignés, les astéroïdes troyens semblent être à haute teneur en glace d'eau et autres matériaux volatils
illustrations: edlo/deviantart.com
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MERCREDI
  MARS 2013 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Le "vaisseau génération" devrait être le transport du futur qui sera la base de l'expansion de la présence terrienne dans notre système solaire et au delà, dans notre galaxie. Ce véhicule serait assez grand pour contenir une colonie. Les colons vivraient à bord du vaisseau et leurs descendants atterriraient sur la planète de destination. Ces descendants pourraient ensuite établir la colonie, ou s'arrêter simplement pour explorer, puis construire d'autres vaisseaux pour continuer l'expédition. Les vaisseaux-générations ont longtemps été un sujet populaire en science-fiction ; cependant, ces histoires mettent souvent en relief les problèmes dus à la détérioration de la culture des colons nés sur le vaisseau.
Le voyage interstellaire désigne un vol spatial entre étoiles. Le voyage interstellaire est un thème phare en science-fiction.
Le voyage interstellaire pose un grand nombre de problèmes. La difficulté principale reste dans la distance à parcourir entre les étoiles, même proches, qui est un million de fois plus grande qu'entre les planètes.
Les vaisseaux-générations
Les vaisseaux-générations ne sont pas faisables actuellement, à la fois à cause de la taille énorme qu'ils devraient avoir et parce qu'un tel milieu fermé et auto-suffisant serait difficile à créer. Des écosystèmes artificiels fermés, comme Biosphère II et surtout MELiSSA de l'ESA, ont été construits afin d'étudier les difficultés techniques de ce genre de système, avec des résultats mitigés.
Au-delà des difficultés techniques, un des écueils les plus importants auquel se heurte ce genre de projet réside dans le facteur humain. En effet, comment motiver une population suffisamment nombreuse et diversifiée, ceci afin de limiter au maximum l'appauvrissement de son capital génétique, à s'embarquer dans un voyage dont, en raison de sa longueur, elle ne connaîtra jamais la fin, à engendrer une deuxième génération d'individus et à lui transmettre intacts les buts et les motivations de l'entreprise, sachant que seule la troisième ou la quatrième génération aura une chance, hypothétique, de parvenir à destination.
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SAMEDI
  MARS 2013 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Eh non, Google, ce n’est pas qu’un moteur de recherche. La firme américaine mise depuis longtemps sur la science et finance des projets un peu dingues, via son complexe secret.
Ça s’appelle Google X Lab, aussi connu sous le nom « Google X », une sorte de labo où les équipes de super-scientifiques et ingénieurs, sous la direction de Sergey Brin, co-fondateur de Google, travaillent sur des projets totalement avant-gardistes, en lien avec la robotique et l’intelligence artificielle. On se croirait presque dans la série X-Files ou dans son héritier Fringe.
Le New York Times, qui a révélé son existence il y a un an, décrit ce lieu comme un laboratoire clandestin où Google s’attaquerait avec acharnement à développer une bonne centaine d’idées et de concepts futuristes. Pour le moment, une petite dizaine est connue ou a été rendue publique. Mais les rumeurs les plus folles alimentent la Toile.
Google a ainsi présenté en avril dernier la première génération d’une paire de lunettes totalement futuristes avec caméra et internet intégrés, les Project glass, des lunettes dignes de Matrix avec des verres pouvant servir d’écran.
Par Marie-Anne Muller/elaee.com
Sources : Le Journal du Net, le New York Times, Le Monde informatique
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