C'est la folle rumeur du moment: Carla Bruni aurait succombé au charme de Benjamin Biolay, au grand désespoir de Nicolas Sarkozy. Cette rumeur, à prendre avec des pincettes, a été lancée sur Twitter et a été rapidement relayée par une tripotée de journalistes français. La presse s'en est emparée, de la France à l'Angleterre en passant par la Suisse.
Le fait que Carla Bruni ait été la première à féliciter Benjamin Biolay pour sa Victoire de la musique reçue samedi n'a fait que rajouter de l'eau au moulin des rumeurs. Les deux artistes se connaissent en tout cas plutôt bien: ils ont travaillé ensemble sur le dernier album de la Première Dame.
Ce mercredi, le JDD retirait l'article écrit à ce sujet. Des poursuites judiciaires seraient envisagées contre tout ceux qui auraient relayé l'info sur le site de microblogging. Selon un avocat spécialisé en droit de la presse, Michael Ghnassia, "la mention du fait que c'est une rumeur et le conditionnel ne protègeraient pas les auteurs des Tweets."
L'Elysée, contactée par la presse française, a refusé de commenter ces rumeurs.
|
| par CHARLES | | | 2 | |
|
|
MERCREDI
MARS 2010 |
| RES.TXT
| |
BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole CIB, Natixis et le CIC ont versé plus de 850 millions en cash à leurs traders au titre de l'année 2009.
A côté des grandes banques de Wall Street, les banques françaises paraissent bien économes. Elles ont versé plus de 850 millions d'euros, en cash, aux opérateurs de marché au titre de l'année 2009, à elles cinq (BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole CIB, Natixis et le CIC). Et elles devraient leur verser à peu près autant d'argent en différé au cours des quatre prochaines années.
Sans surprise, avec 1 milliard d'euros au total, c'est BNP Paribas qui a consacré l'enveloppe la plus importante à la rémunération de ses traders, les métiers de marché ayant dégagé 9 milliards de revenus chez lui l'an dernier. Les opérateurs de marché percevront donc chacun 250.000 euros en moyenne à la banque de la rue d'Antin, contre 245.000 euros au Crédit Agricole CIB, 213.000 euros à la Société Générale et 130.000 euros chez Natixis au cours des quatre prochaines années. Les traders du CIC ont été plutôt bien lotis, puisque l'enveloppe globale des bonus s'est élevée à 13 millions d'euros, à répartir sur 70 traders, soit près de 186.000 euros au total par personne, pour des revenus d'environ 1 milliard sur les marchés en 2009.
|
| par CHARLES | | | | |
|
|
VENDREDI
FEVRIER 2010 |
| RES.TXT
| |
| par CHARLES | | | 3 | |
|
|
MERCREDI
FEVRIER 2010 |
| RES.TXT
| |
Source: lepetitjournal.com
|
|
Le président de la Région Languedoc-Roussillon n'en finit pas de faire parler de lui. Les propos qu'il a tenu sur la "tronche" de Laurent Fabius ont fait vivement réagir la classe politique toute entière et en particulier le PS. Les socialistes vont d'ailleurs proposer une liste alternative aux prochaines Régionales pour contrer Georges Frêche
Le PS faisait avec
Le cas Frêche (AFP) n'est plus à présenter. Le président de la Région Languedoc-Roussillon a toujours choqué par ses propos limites voire carrément racistes. Ainsi dans sa bouche, les harkis sont des "sous-hommes" et il y a trop de Noirs dans l'équipe de France de football. Ces propos lui ont d'ailleurs valu son exclusion du Parti Socialiste en janvier 2007. Mais le PS n'en avait pas pour autant fini avec le curieux Georges. Car l'homme qui fâche, reste un bon président de Région et une figure incontournable du Languedoc-Roussillon. Difficile alors de se passer de lui pour les Régionales de mars prochain.
Martine n'en peut plus
On tolère alors le trublion, jusqu'au dérapage de trop, mercredi dernier. Georges Frêche déclare dans l'Express : Fabius "a une tronche pas catholique". Au vu de l'obédience juive de l'ancien Premier ministre, une polémique éclate. Martine Aubry rouge. La Première secrétaire s'est déclarée "indignée" considérant cette phrase au caractère antisémite comme une "insulte aux valeurs de la gauche". Elle devrait d'ailleurs proposer au bureau national du parti, mardi prochain, de demander à la maire de Montpellier, Hélène Mandroux, “de conduire une liste de rassemblement de la gauche et des écologistes” contre Georges Frêche. L'intéressée aurait déjà accepté de mener cette liste alternative.
Georges se dit victime d'un complot
Georges Frêche lui crie à la conspiration. On aurait déformé ses propos. Il estime avoir répondu au journaliste “par une expression populaire utilisée par tous les Français depuis des siècles”. Le président du Languedoc-Roussillon va plus loin et accuse Martine Aubry d'être à l'origine du "complot". "On m'utilise comme une tête de turc dans la campagne pour les Régionales, et moi j'ai autre chose à faire que de servir de punching-ball à Martine Aubry", a-t-il déclaré vendredi sur Europe 1.
|
| par CHARLES | | | 2 | |
|
|
SAMEDI
JANVIER 2010 |
| RES.TXT
| |
L'ex-Premier ministre français, Dominique de Villepin, a affirmé vendredi que la décision du parquet de Paris de faire appel de sa relaxe dans l'affaire Clearstream avait été prise jeudi "lors d'une réunion à l'Elysée", soit par le président Nicolas Sarkozy.
"Quand le procureur de la République Jean-Claude Marin dit j'ai décidé, c'est faux, a lancé M. de Villepin sur la chaîne de télévision privée Canal+.
"Le procureur n'a pas l'autorité pour décider et prendre une telle décision. Il y a eu une réunion hier à l'Elysée où cette décision a été prise", a-t-il ajouté.
Jean-Claude Marin, hiérarchiquement subordonné à l'exécutif, a annoncé vendredi matin qu'il allait faire appel du jugement du procès Clearstream, dans lequel Dominique de Villepin a été relaxé.
Peu après le jugement, une défaite personnelle pour Nicolas Sarkozy , le président français avait "pris acte" de la relaxe de son rival et signifié qu'il ne souhaitait pas faire appel.
|
| par CHARLES | | | 4 | |
|
|
|
Pour chaque post, cliquer sur la photo centrale pour accéder au diaporama, ou cliquer sur les miniatures pour les voir en photo centrale
Les posts plus lus dans la rubrique Sarkozy en patineuse artistique dans une publicité allemande 64 , le 05/12/2008 Boire ou ministre de la justice 52 , le 15/07/2008 Bientot le pactole 49 , le 23/01/2012 C'est la crise - le drame des SDF 39 , le 09/02/2012 Un homme de parole 22 , le 30/10/2009 4 ans de plus 21 , le 27/11/2012 A la une du Canard enchainé aujourd'hui... 21 , le 30/11/2011 Lagarde ne paie pas d'impôts sur le revenu 20 , le 30/05/2012 Un gauchiste dans la famille ? 18 , le 12/03/2012 Poisson d'avril! 18 , le 01/04/2012 Le jeu des 7 erreurs 18 , le 30/04/2008 Il a bien fait d'être candidat... 16 , le 17/02/2012 Ils l'ont dit en 2011... 15 , le 16/01/2012 Actualité pipeaulitique 14 , le 14/01/2012 Le canard enchainé de cette semaine 14 , le 18/09/2008
VENDREDI
JANVIER 2010 |
| RES.TXT
| |
La puritaine Irlande du Nord nage en ce moment même en plein scandale politico-sexuel. La femme du Premier ministre, Iris Robinson, a eu une liaison avec un jeune homme alors âgé de 19 ans à l’époque.
La presse irlandaise ne parle plus que de ça : le « scandale Robinson » ou encore le « Robinsongate ». Accusé d’avoir fermé les yeux sur l’affaire, le Premier ministre, Pete Robinson a annoncé se retirer de la vie politique pour au moins 6 semaines : « en tant que père et mari, je dois consacrer du temps à régler des affaires familiales. Je maintiens que j'ai agi de manière éthique et adéquate. Dans un moment de crise personnelle et de désarroi, il m'est particulièrement douloureux de devoir me défendre contre des allégations malveillantes et infondées. », a-t-il déclaré.
Selon la BBC, Iris Robinson aurait obtenu de deux promoteurs qu'ils investissent 50.000 livres (55.000 euros) pour aider son protégé, Kirk McCambley, à ouvrir un pub en 2008.
Cet épisode pourrait bien avoir des conséquences sur le processus de paix en Irlande du Nord. Il intervient en effet à un moment de regain de tension entre les protestants unionistes du DUP et les catholiques séparatistes
Source: http://www.wikio.fr/article/irlande-nord-gigolo-scandales-politiques-161226239
|
|
|
| par CHARLES | | | 1 | |
|
|
MARDI
JANVIER 2010 |
| RES.TXT
| |
Le président Nicolas Sarkozy s'en est pris mardi matin en Conseil des ministres au Conseil constitutionnel, pour regretter l'annulation de la taxe carbone et la censure d'une disposition de la réforme de la taxe professionnelle, ont rapporté des participants à l'AFP.
"Il a eu une petite phrase un peu cinglante contre le Conseil constitutionnel sur le coût financier. Il a dit que c'était des recettes en moins pour l'Etat", a affirmé un membre du gouvernement.
Selon un secrétaire d'Etat, le chef de l'Etat s'est notamment montré "agacé" par l'annulation de la taxe carbone, rendue publique la semaine dernière.
Dans sa ligne de mire également: la suppression, au nom du principe d'égalité, d'une disposition de la réforme de la taxe professionnelle "pour les titulaires de bénéfices non commerciaux (BNC) réalisant moins de 500.000 euros de chiffre d'affaires et employant moins de cinq salariés".
Selon un participant, le chef de l'Etat a déclaré à ce sujet: "le Conseil constitutionnel nous a coûté la modeste somme de 750 millions d'euros" avec cette censure partielle.
Au total, pour les deux taxes, le président a évalué à 2,5 milliards d'euros le manque à gagner pour l'Etat résultant de la décision des "Sages".
Nicolas Sarkozy a par ailleurs annoncé que le dispositif correctif sur la taxe carbone, qui doit être présenté en Conseil des ministres le 20 janvier, serait applicable au 1er juillet.
Le chef de l'Etat a également fait un rapide tour d'horizon des réformes accomplies l'an dernier pour s'en féliciter, notamment concernant la suppression de la publicité sur la télévision publique, la loi Hadopi sur le piratage que "le monde entier regarde" ou bien encore l'autonomie des universités, selon des propos rapportés par une secrétaire d'Etat.
"Je veux que vous ayez du courage, il ne faut pas tenir compte des critiques, il faut foncer. La pire des maladies, c'est la tremblante", a lancé le chef de l'Etat.
Globalement, d'après une secrétaire d'Etat, Nicolas Sarkozy a usé d'un ton "offensif" mais pas "guerrier". "C'était plutôt une séance de coaching, d'oxygénation collective", a-t-elle ajouté.
M. Sarkozy a également jugé "formidable" la prestation télévisée lundi soir sur TF1 de sa ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, qui répondait à la polémique sur la gestion, disproportionnée selon certains, de l'épidémie de grippe A H1N1.
"Le Premier ministre et le président nous ont dit de prendre du temps pour nous, pour nos familles", a aussi relevé une participante.
|
| par CHARLES | | | | |
|
|
|