Cocktail93




MERCREDI

JANVIER
2025
LA PAGE CINéMA
 
Y en a qui vont ouvrir des grands yeux en découvrant nos films préférés de 2024 ! (on a dit la même chose en 2023, on avait couronné Mon chat et moi)
1) The Wild Robot
2) Loup garous
3) Vice Versa 2
4) Daddio
5) Moi moche et méchant 4
6) Cabrini
7) That christmas
7) Shadow Strays
8) Black Flies(Asphalt City)
9) Twilight Of The.Warriors Walled In
10) Les chèvres
11) The Creator
12) American Star
13) Mi Oni Girl/Suki demo kirai na amanojaku
  • Saluons la performance cette année du cinéma français avec plusieurs films très intéressants : La petite ,Super bourrés La fille de son père, Une affaire d'honneur ,Nous Les Leroy, Nice Girls, Les Secrets De La Princesse De Cadignan
  • Saluons la présence de deux films avec Sean Penn: Daddio et Black Flies(Asphalt City). A titre personnel, j'aimerais vraiment que cet acteur ai un 3e oscar dans sa carrière à la fin de l'année tant je trouve ces deux films immense quand à son interprétation (il arrive même à porter vers le haut sa partenaire Dakota Fanning !)

  • par 5AVRIL  121

    DIMANCHE

    DECEMBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    Suite du post de Septembre 2024 3 films à avoir vu ce dernier trimestre de 2024 en compagnie, ou pas, de votre chat
  • La petite vadrouille
    Agréable road movie de Bruno Podalydès avec des Sandrine Kiberlain, Daniel Auteuil , Bruno et Denis Podalydès et toute une équipe d'acteurs et d'actrices qui semblent se prendre au jeu et avoir pris beaucoup de plaisir à jouer dans cette comédie française très réussie
  • Loup garous Film de François Uzan
    Dans la famille propulsée au moyen age par accident, évidemment on remarque Jean Reno(le grand père) et Frank Dubosc(le papa) mais il n'y a pas qu'eux pour rendre ce film "typiquement français" (qui fait penser évidemment aux Visiteurs) très agréable à regarder, ou l'humour est souvent présent sans être trop lourd. Bravo donc aussi à Suzanne Clément(la maman) et Jonathan Lambert(le fils) qui tirent aussi brillamment leur épingle du jeu
  • Juliette Au Printemps 2024 sans etre absolument génial le film de Blandine Lenoir ce film s'attaque avec à des sujets graves , lié à l'intime, à la nature humaine. Pas facile. C'est plutôt réussi
    Très bonnes interprétations de l'ensemble des acteurs dont Izïa Higelin, Sophie Guillemin et Jean-Pierre Darroussin en tiercé gagnant
    A voir également: l'école des espions, Elle Et Lui Et Le Reste Du Monde, Un homme en fuite, Les pistolets en plastique
  • par 5AVRIL  12

    DIMANCHE

    DECEMBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    Suite du post de Septembre 2024 3 films à avoir vu ce 2nd trimestre de 2024 en compagnie, ou pas, de votre chat
  • The shadow Stray Un pur chef d'oeuvre de cinéma d'action signé Timo Tjahjanto
    Le film est indonésien
    Les deux actrices principales Aurora Ribero et Hana Malasan jouent les bad ass girls comme personne (la honte pour Hollywood !) et tout le reste du casting est également à féliciter : Taskya Namya, Agra Piliang, Andri Mashadi , Chew Kin Wah
    C'est du combat pendant 143 minutes mais même si le film avait fait 200 minutes quand cela atteint ce degré de perfection, on s'en fout, on se régale, on est gourmand !
  • American Star American Star est un thriller britannique 4réalisé par Gonzalo López-Gallego qui sort un peu de nulle part quand à son scénario
    Très agréable à suivre, surtout grace aux deux personnages interprètes principaux (Ian McShane et la française Nora Arnezeder). On ne s'ennuie jamais, passionnant jusqu'à la dernière minute et encore une fois très original !
  • Twilight Of The.Warriors Walled In Le film d'arts martiaux (et d'action ?) de l'année
    Fera partie des classique du genre grace à la mise en scène particulièrement efficace du réalisateur Soi Cheang, la performance des acteurs et actrices du film: Louis Koo, Sammo Hung(toujours lui !) ,Richie Jen ....


    A voir également: Joy Ride, Anora,Longue Distance, Alien.Romulus,Justice, Depravity, Survive, Amber Alert, The Killer, First Ship, Last night with the devil, Trap, The Killer, The Union, A quiet place day one, Zombeavers, The Ministry Of Ungentlemanly Warfare, The Kingsmaker, Force of the Nature-The Dry 2,The Silent Hour
  • par 5AVRIL  7

    VENDREDI

    OCTOBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    Emmanuelle est un film érotique français réalisé par Just Jaeckin sur un scénario de Jean-Louis Richard d'après le roman éponyme d'Emmanuelle Arsan
  • Entouré à sa sortie d'un parfum de scandale, le film joint érotisme chic et décors exotiques2 dans un scénario qui explore plusieurs aspects d'une sexualité découverte ou fantasmée, mais sans scènes explicites, les rapports sexuels étant plus suggérés que réellement montrés
  • Ce fut l'un des plus gros succès du cinéma français, attirant dans les salles françaises près de neuf millions de spectateurs et quarante-cinq millions dans le monde3 (d'autres sources mentionnent 8,7 millions de spectateurs en France et cent cinquante millions dans le monde4). Le succès fut tel qu'une salle le programma à Paris pendant plus de dix ans, proposant en été un sous-titrage en anglais pour les touristes
  • Le film lança la carrière cinématographique de Sylvia Kristel, définitivement identifiée au personnage d'Emmanuelle qu'elle incarna à nouveau à plusieurs reprises par la suite.
  • Le producteur Yves Rousset-Rouard acquit les droits d'un roman à succès d'Emmanuelle Arsan, Emmanuelle, et en proposa l'adaptation à un jeune photographe de charme, Just Jaeckin. Celui-ci n'avait qu'une expérience de la photographie et de la publicité. Le casting réunit Sylvia Kristel, une jeune actrice inconnue (et pour cause, puisqu'il s'agit d'un modèle néerlandais dont c'est le deuxième film) et Alain Cuny, un acteur de renom qui avait connu son heure de gloire avec Les Visiteurs du soir de Marcel Carné
  • Alain Cuny, l'acteur principal ayant quarante-quatre ans de plus que Sylvia Kristel , accepta d'endosser le rôle de Mario à condition que son nom ne soit pas au générique. Le succès du film venu, il se révolta de ce que son nom n'était pas assez visible sur l'affiche
  • La bande originale est due au chanteur Pierre Bachelet
    Une des mélodies utilisées dans le film s'avéra cependant un plagiat de Larks' Tongues in Aspic du groupe britannique King Crimson. Le guitariste du groupe, Robert Fripp, poursuivit les producteurs d'Emmanuelle en justice l'année suivant sa sortie et obtint gain de cause.
  • Précurseur, le film de Just Jaeckin devient l'objet d'un culte à travers le monde. Aux États-Unis, Emmanuelle est classé X, puis ressort dans une version expurgée la même année. En 1978, c'est le plus gros succès d'un film francophone sur le sol américain. Le Japon est également conquis (16 000 000 dollars de recette).
    Des suites sont tournées avec toujours Sylvia Kristel en femme qui se libère (d'autres films essayèrent également de surfer sur la vague). Le succès est toujours là, du moins jusqu'au quatrième épisode (en 1984), qui marque la dernière apparition de l'actrice néerlandaise dans le rôle qui la rendit célèbre
  • Just Jaeckin se vit confier l'année suivante l'adaptation d'un autre roman érotique célèbre, Histoire d'O, et se spécialisa sur le créneau des films érotiques « haut de gamme », retrouvant Sylvia Kristel en 1981 pour une adaptation de L'Amant de Lady Chatterley.
  • Les fauteuils asiatiques en rotin à dossier plus ou moins larges vus dans le film, ont donné lieu à une gamme de produits commercialisés sous le nom de « fauteuil Emmanuelle ». Si la première affiche du film représentait une pomme, les suivantes montrent Emmanuelle assise, seins nus, dans « le » célèbre fauteuil en rotin, en fait des fauteuils du même type mais différents. Ces fauteuils étaient baptisés « fauteuils Pomare » , du nom d'un roi tahitien, avant la sortie du film
  • par 5AVRIL  35

    JEUDI

    OCTOBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    ou avoir vu en cette année 2024 en compagnie, ou pas, de votre chat
  • Vice Versa 2
    Incroyable! Disney a épargné Vice Versa !!
    Une suite digne du n°1. On craignait le pire... C'est drole, c'est iventif, c'est émouvant, c'est comme le premier
    Alors courez le voir !
    Vive Pixar , le dernier village gaulois d'Hollywood !
  • The wild Robot film d'animation américain écrit et réalisé par Chris Sanders
    Difficile de parler de ce dessin animé... Il faudrait utiliser des adjectifs jamais utilisés
    Grandiose.
    Il parle de tous sujets de l'actualité: écologie, rapports sociaux, place de l'individu dans la société, force de l'amour par rapport à la violence et la haine, maternité, etc..etc...
    Et c'est brillamment illustré par chaque scène
    Les personnages sont tous attachants , sont tous différents, sont tellement nous mêmes même si ce sont des renards, des oies, des ours, ... ou des robots !
    Un brillant chef d'oeuvre
  • Moi moche et méchant 4(Despicable Me 4)
    Bravo Illumination !
    Lorsqu'on regarde un Walt Disney à coté, il y a de quoi se moquer d'eux tant au niveau du scénario que de la qualité de l'animation
    Surtout regarder jusqu'à la dernière minute, de nombreux bonus vous attendent en fin de générique


    Si vous en voulez encore: Mi Oni Girl/Suki demo kirai na amanojaku, Flow, Spy Family Code White
  • par 5AVRIL  14

    LUNDI

    OCTOBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    The Truman Show est un film américain réalisé par Peter Weir et sorti en 1998.
  • Le film est, durant une période, proposé au réalisateur Brian De Palma qui est finalement écarté du projet car, selon lui, Jim Carrey n'est pas le meilleur choix pour le personnage principal. Il lui aurait préféré Tom Hanks
    NDC93: pour faire un bon film fadasse avec 5 oscars à la clef, surement! Mais là, on voulait un chef d'eouvre et on l'a eu.
  • Les réalisateurs envisagés après le départ de De Palma comprenaient Tim Burton , Sam Raimi , Terry Gilliam , David Cronenberg , Barry Sonnenfeld et Steven Spielberg avant que Peter Weir ne signe début 1995
  • Le cadre principal de l'action est la cité factice de Seahaven, banlieue parfaite dont Truman finit par découvrir qu'elle n'a été construite que pour servir de décor au programme de télé-réalité dont il est à son insu le héros. Pour rendre l'artificialité requise par le scénario d'Andrew Niccol, il est apparu au réalisateur Peter Weir que les décors d'Hollywood « faisaient trop réalistes » ; et c'est, en définitive, dans la ville nouvelle de Seaside, en Floride — c'est-à-dire paradoxalement dans une ville réelle — que s'est déroulée la majeure partie du tournage
  • Le scénario original de Niccol était davantage un thriller de science-fiction , dont l'histoire se déroulait à New York . Le producteur Scott Rudin a acheté le scénario et a mis en place la production chez Paramount Pictures . Brian De Palma devait réaliser le film avant que Weir ne signe comme réalisateur, ce qui lui a coûté 60 millions de dollars, soit 20 millions de moins que l'estimation initiale.
  • Bien que Tom Hanks et Robin Williams aient été envisagés pour le rôle, Weir a choisi Carrey après l'avoir vu dans Ace Ventura: Pet Detective , citant que la performance de Carrey lui rappelait Charlie Chaplin .
    Gary Oldman a fait des essais pour le rôle.
    Carrey a accepté le rôle pour être connu comme un acteur aux multiples facettes, plutôt que d'être catalogué dans des rôles comiques. Alors qu'il était alors normalement payé 20 millions de dollars par film, il a accepté de faire The Truman Show pour 12 millions de dollars.
    Carrey a également déclaré que c'était la plus rapide fois qu'il avait accepté un rôle.
  • La scène dans laquelle Truman déclare « cette planète Trumania de la galaxie de Burbank » au miroir de la salle de bain était l'idée de Carrey.
  • Ed Harris dans le rôle de Christof: Dennis Hopper avait initialement été choisi pour le rôle, mais il est parti en avril 1997 peu après le début du tournage. Hopper a déclaré plus tard qu'il avait été renvoyé après deux jours parce que Weir et le producteur Scott Rudin avaient conclu un accord selon lequel s'ils n'approuvaient pas tous les deux la performance de Hopper, ils le remplaceraient. Un certain nombre d'autres acteurs ont refusé le rôle après le départ de Hopper, jusqu'à ce que Harris accepte de le remplacer. Harris a envisagé de faire de Christof un bossu , mais Weir n'a pas aimé l'idée.
  • Similitude avec l'Utopie
    On peut faire des parallèles avec le livre Utopie de Thomas More , publié en 1516 , dans lequel More décrit une île avec une seule entrée et une seule sortie. Seuls ceux qui appartenaient à cette île savaient comment se frayer un chemin à travers les ouvertures dangereuses en toute sécurité et sans dommage. Cette situation est similaire à celle de The Truman Show car les entrées dans le monde que Truman connaît sont limitées. Truman n'appartient pas à cette utopie dans laquelle il a été implanté, et le traumatisme de son enfance l'a rendu effrayé à l'idée de quitter un jour cette petite communauté.
  • En 2008, Popular Mechanics a classé The Truman Show parmi les 10 films de science-fiction les plus prophétiques. Le journaliste Erik Sofge a soutenu que l'histoire reflète la fausseté de la télé-réalité. « Truman vit simplement, et la popularité de l'émission est due à son voyeurisme pur et simple. Et, comme Big Brother , Survivor et toutes les autres émissions de télé-réalité diffusées, rien de son environnement n'est réellement réel. »
  • Récompenses
    Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz et Philip Glass
  • par 5AVRIL  20

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    JEUDI

    SEPTEMBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    Suite du post de Juin 2024 3 films à avoir vu ce 2nd trimestre de 2024 en compagnie, ou pas, de votre chat
  • Atlas film de science-fiction américain réalisé par Brad Peyton avec Jennifer Lopez, Simu Liu, Mark Strong, Sterling K. Brown
    Excellent film de SF; original. Jennifer Lopez porte son premier role et le film à plein bras Dommage que Jennifer Lopez n'ai pas fait plus de films elle y est excellent comme à ses débuts devant les caméras
  • Black Flies(Asphalt City) de Jean-Stéphane Sauvaire avec Sean Penn,Tye Sheridan,Katherine Waterston,Michael Pitt,Mike Tyson
    Le parcours brillamment filmé par Sauvaire de pompiers dans la Grande Pomme. Qui sont ces mouches noires qui accompagnent la mort dans cet univers putride de la plus grande cité américaine ? On vous laisse deviner
    Sean Penn génialissime, Tye Sheridan un ton en dessous. La grand vedette au côté de Sean Penn c'est en fait New York
    Ressorti sans le moindre du dernier Festival de Cannes 2023, c'est risible quand on voit à qui va la palme. Pardon, c'est pas risible du tout c'est #woke.
  • Daddio, de Christy Hall avec et uniquement avec Dakota Johnson et Sean Penn. Film brillantissime, un dialogue entre deux etres humains sur ce qu'il y a au plus profond de leur ame: amour, doutes, blessures, reves, lacheté, échecs. Deux grands ames face à face que rien ne destinait à cette rencontre puisque elle a lieu dans un taxi entre l' aéroport et l' appartement de New York ou vit la jeune femme. C'est sublime. J'ai changé d'avis sur Dakota Johnson en voyant ce film (ben oui j'en ai resté à Cinquante Nuances de Grey...) elle arrive à être au niveau de Sean Penn, et ça c'est pas rien !
    A voir également: Long Legs,Nicky Larson, Abigail, Black Tea, In The Land Of Saints And Sinners, City Hunter , Boy Kills World, The Reunion, The promised land
    J'en rajoute exceptionnellement un 4e:
  • Cabrini
    voir par ailleurs Cabrini


    A voir également: Jackpot, Bring Him To Me, Fly me to the Moon, Find me falling, Zom 100: la liste de la mort, Vanished.Into.The.Night, Rebel Ridge, Kill, Touch , Ghostlight, Non Négociable, Las hermanas fantasticas, Borderlands, Trap, The Deliverance
  • par 5AVRIL  33

    JEUDI

    SEPTEMBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    Suite du post de Juin 2024 3 films à avoir vu ce second trimestre de 2024 en compagnie, ou pas, de votre chat
  • Nous Les Leroy,2024 film de Florent Bernard, avec Charlotte Gainsbourg , José Garcia, Lily Aubry , Hadrien Heaulmé et... Luis Rego
    Magnifique, drole. Le retour de la comédie française au cinéma, celle des anées 50 à 90 . Garcia et Gainsbourg sont fantastiques et joue au diapason à un point qu'on croit à un vrai couple dans la vie, à ses déchirements, ses passions
    En plus le choix des chansons, toutes d'une époque similaire (80-90)
    Le problème pour le film: risque de ne pas "parler" du tout au moins de 50 ans...
  • Ducobu passe au vert Suite réalisé par Élie Semoun de Ducobu président , avec Elie Semoun, Émilie Caen,
    Frédérique Bel, François Levantal, Gérard Jugnot
    C'est tout simplement un plaisir de retrouver les aventures du cancre Ducobu, Elie Semoun continue la saga et le résultat lui donne raison
  • Nice Girls
    Que voilà une chouette surprise ! enfin pour moi... Un très bon film d'action situé sur la Cote d'azur avec deux actrices qui jouent le coup à fond. C'est drole, ça bouge, c'est jamais ennuyeux . Bravo à la réalisatrice Noémie Saglio et aux comédiens: Alice Taglioni, Stéfi Celma, Baptiste Lecaplain, Noémie Lvovsky


    A voir également: L'empire, Tout sur ma mère, Le Tableau Volé
  • par 5AVRIL  14

    MARDI

    SEPTEMBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    L'Homme qui en savait trop (The Man Who Knew Too Much) est un film d'espionnage britannique d'Alfred Hitchcock, sorti en 1934.
  • Avant de passer au projet, Hitchcock aurait travaillé sur Road House (1934), qui a finalement été réalisé par Maurice Elvey . Le film a commencé quand Hitchcock et l'écrivain Charles Bennett ont essayé d'adapter une histoire de Bulldog Drummond tournant autour de conspirations internationales et de l'enlèvement d'un bébé ; son titre original était Bulldog Drummond's Baby .
    L'accord pour une adaptation a échoué, et le cadre de l'intrigue a été réutilisé dans le script de The Man Who Knew Too Much , le titre lui-même tiré d'une compilation sans rapport avec celle de GK Chesterton
  • LC'était le deuxième film en langue anglaise de Peter Lorre , après la version multilingue de M (1931). Mais il ne parlait toujours pas anglais, ayant récemment fui l'Allemagne nazie , et il apprenait ses répliques phonétiquement.
  • La fusillade à la fin du film est basée sur le siège de Sidney Street , un incident réel qui a eu lieu dans l'East End de Londres (où Hitchcock a grandi) le 3 janvier 1911. 1La fusillade n'a pas été incluse dans le remake d'Hitchcock de 1956.
  • Le début du film est tourné en Suisse, à Saint-Moritz où les Hitchcock avaient passé leur lune de miel et où ils avaient coutume de séjourner pour leurs vacances d’hiver.
  • La censure britannique s'est opposée à ce qu’on laisse penser que les policiers britanniques portaient habituellement une arme à feu. Une distribution d’armes arrivant en camionnette a donc été spécifiquement ajoutée dans ce but.
  • Alfred Hitchcock apparaît à la 33e minute du film. On le voit traverser la rue de droite à gauche, vêtu d'un trench-coat noir, avant que Bob et Clive n'entrent dans la chapelle.
  • Hitchcock a engagé le compositeur australien Arthur Benjamin pour écrire un morceau de musique spécialement pour la pièce donnée au Royal Albert Hall . La musique, connue sous le nom de Storm Clouds Cantata , est utilisée à la fois dans la version de 1934 et dans le remake de 1956
  • Le film est le premier film d'Hitchcock sous ce titre et fut suivi plus tard par son propre film de 1956 sous le même nom, avec une intrigue et un scénario sensiblement différents, avec quelques modifications. Le deuxième film mettait en vedette James Stewart et Doris Day , et a été réalisé pour Paramount Pictures
  • Dans l'interview longue comme un livre Hitchcock/Truffaut (1967), en réponse à l'affirmation du cinéaste François Truffaut selon laquelle certains aspects du remake étaient de loin supérieurs, Hitchcock a répondu : « Disons que la première version est l'œuvre d'un amateur talentueux et que la seconde a été réalisée par un professionnel. » Cependant, certains critiques ont conclu que la déclaration d'Hitchcock ne doit pas être prise au pied de la lettre
    Hitchcock a engagé le compositeur australien Arthur Benjamin pour écrire un morceau de musique spécialement pour la pièce donnée au Royal Albert Hall . La musique, connue sous le nom de Storm Clouds Cantata , est utilisée à la fois dans la version de 1934 et dans le remake de 1956. [ 1 ]
    Alfred Hitchcock apparaît à la 33e minute du film. On le voit traverser la rue de droite à gauche, vêtu d'un trench-coat noir, avant que Bob et Clive n'entrent dans la chapelle.
  • par 5AVRIL  20

    VENDREDI

    SEPTEMBRE
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    Le Crabe-Tambour est un film français, réalisé par Pierre Schoendoerffer, sorti en 1977, adapté de son roman éponyme publié en 1976 chez Grasset. Il est inspiré par des épisodes de la vie du lieutenant de vaisseau Pierre Guillaume.
  • Le réalisateur s'est exprimé à plusieurs reprises sur les rapports qui existent entre le véritable lieutenant de vaisseau Pierre Guillaume et le « Crabe-Tambour » : « C'était un de ces capitaines légendaires ! Donc on a fait connaissance, et l'on s’est pris de sympathie. Quand j'ai commencé à écrire mon livre Le Crabe-Tambour, je me suis dit qu'il y avait dans son histoire quelque chose qui m'intéressait. Ce n'est pas sa biographie, c'est mon histoire telle que je l'ai rêvée… J'ai dédié mon roman à mon fils cadet, Ludovic, parce qu'enfant, il avait un petit ventre rond sur lequel il tambourinait, et comme il marchait à quatre pattes et de travers, je l'appelais le crabe. D'où le "Crabe-Tambour" ! Vous voyez, c’est quelque chose de tout à fait personnel. Ce n'est pas sa vie, ce n’est pas la mienne. C'est autre chose. »
  • À noter que l'officier Pierre Guillaume, dont le film s'inspire, a participé en personne au tournage du Crabe-Tambour comme conseiller technique4 et en tant que figurant. Lors de la scène du procès, il passait si souvent dans le champ de la caméra que Schoendoerffer a fini par lui demander de revêtir la robe de l'avocat de la défense de Jacques Perrin
  • Une fois le projet de Schoendoerffer d'adapter son roman au cinéma lancé, il fallut trouver les moyens de le réaliser. Très rapidement, des accords furent obtenus auprès des cabinets du chef d’état-major de la Marine et du ministre des Armées durant la période de l'hiver 1976-19775 C'est l'escorteur d'escadre Jaureguiberry qui est mis à la disposition du réalisateur par la Marine nationale.. Ce film sera la dernière mission de l'escorteur puisqu'il sera désarmé après celle-ci.
  • Interrogé par le SIRPA Marine, Le conseiller technique Pierre Dubrulle se remémore les difficultés des prises de vue dans un environnement hostile : « Au fil des jours, le tournage se poursuit par des météo changeantes : le « Jojo » tour à tour se couvre de glaces, progresse dans des étendues mouvantes et immaculées, est assailli de bourrasques de neiges, ouvre sa route au milieu d'un dallage de nénuphars de glaces qui se referment sur son sillage. »
  • En accord avec le réalisateur, Philippe Sarde le compositeur de la musique du film, décide d'utiliser « un orchestre philharmonique de 60-70 musiciens avec un cor de chasse qui représente le crabe-tambour et un monocorde vietnamien qui inspire le souvenir du Mékong » et il ajoute que ces instruments disparates « cohabitent sans se marier »
  • Récompenses
    César du meilleur acteur : Jean Rochefort
    César du meilleur acteur dans un second rôle : Jacques Dufilho
    César de la meilleure photographie : Raoul Coutard
  • Nominations
    César du meilleur film
    César du meilleur réalisateur : Pierre Schoendoerffer
    César de la meilleure musique : Philippe Sarde
  • par 5AVRIL  24

    MERCREDI

    AOUT
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    Le Samouraï est un film noir franco-italien réalisé par Jean-Pierre Melville, sorti en 1967.
  • C'est une vision qui est à l'origine du Samouraï de Jean-Pierre Melville, la vision d'un homme seul, allongé sur son lit, avec un bouvreuil (un oiseau). De cette idée a découlé le scénario final. Notons d'ailleurs que John Woo en reprendra l'idée dans A toute épreuve.
  • Le film commence avec une fausse citation, rédigée par Melville lui-même prétendument tirée du livre du Bushido (Livre des samouraï) : « Il n'y a pas de plus profonde solitude que celle du samouraï si ce n'est celle d'un tigre dans la jungle... peut-être... ».
  • Le film est adapté d'un roman de Joan MacLeod, The Ronin, non crédité au générique. Par ailleurs, Tueur à gage, film de Frank Tuttle (1942) avec Alan Ladd, « est une inspiration avouée de Jean-Pierre Melville pour Le Samouraï (1967), le mimétisme entre les ouvertures des] deux films (le réveil, Ladd et son chat/Delon et son canari, leur gestuelle respective et la manière d'occuper le décor) étant frappant »
  • Lorsque le réalisateur Jean-Pierre Melville apporta une copie du script du Samouraï à Alain Delon, l'acteur voulut connaitre le titre qu'il avait choisi. Après en avoir pris connaissance, il invita le réalisateur à le suivre dans sa chambre. A l'intérieur se trouvaient un canapé en cuir et un sabre de samouraï accroché au mur.
  • En Italie, le film a été rebaptisé Frank Costello, faccia d'angelo, référence à un gangster américain (celui qui inspira le personnage de Jack Nicholson dans Les Infiltrés).
  • Nathalie Delon, actrice dans le film, est à l'époque l'épouse d'Alain Delon
  • Arrivant sur les lieux du tournage (le studio de la rue Jenner) et découvrant la chambre ascétique de Jef Costello, Alain Delon félicite le décorateur François de Lamothe : « C’est formidable ce que tu as fait, ma poule ! »
  • C'est pendant le tournage du Samouraï que les studios Jenner, si chers à Jean-Pierre Melville, sont incendiés le 29 juin 1967. Le décorateur François de Lamothe relate qu'en arrivant au studio le matin, il aperçoit une colonne de fumée et des voitures de pompiers. « Je découvre le studio ravagé par le feu, détruit de fond en comble. Melville, encore en pyjama, totalement trempé par les lances à incendie, déambule hagard au milieu des débris fumants ». Finalement, Lamothe reconstruit un nouveau décor en un temps record : deux semaines
  • John Woo a régulièrement cité ce film comme source d'inspiration pour ses œuvres Le Syndicat du crime (英雄本色, Ying huang boon sik) et The Killer (喋血双雄, Die xue shuang xiong).
  • cinéaste danois Nicolas Winding Refn cite Le Samouraï comme une de ses influences directes pour son film Drive. Les personnages principaux des deux œuvres ont effectivement de nombreux points communs : ils sont mutiques, froids, et solitaires.
  • Le film Ghost Dog : La Voie du samouraï (Ghost Dog: The Way of the Samurai) de Jim Jarmusch sorti en 1999 emprunte des références à de très nombreux films de genre (western, film noir, comédie, etc.), mais l'hommage le plus important est celui rendu par Jim Jarmusch à Jean-Pierre Melville pour son film Le Samouraï.
  • par 5AVRIL  21

    DIMANCHE

    AOUT
    2024
    LA PAGE CINéMA
     
    A l'occasion du décès d'Alain Delon, une petite sélection de nos films préférés de la star française du cinéma du 20e siècle
  • Années 1960
    1960 : Plein Soleil de René Clément : Tom Ripley / Philippe Greenleaf
    1960 : Rocco et ses frères (Rocco e i suoi fratelli) de Luchino Visconti : Rocco Parondi
    1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond (sketch Agnès Bernauer) : le duc Albert de Bavière
    1962 : Le Diable et les Dix Commandements (5e commandement - Tes père et mère honoreras) de Julien Duvivier : Pierre Messager
    1963 : Mélodie en sous-sol d'Henri Verneuil : Francis Verlot
    1963 : Le Guépard (Il gattopardo) de Luchino Visconti : Tancredi
    1964 : L'Insoumis d'Alain Cavalier : Thomas Vlassenroot
    1966 : Les Centurions (Lost Command) de Mark Robson : Philippe Esclavier
    1967 : Le Samouraï de Jean-Pierre Melville : Jef Costello
    1968 : La Piscine de Jacques Deray : Jean-Paul Leroy
    1968 : Histoires extraordinaires (sketch William Wilson) de Louis Malle : William Wilson / son jumeau
    1969 : Jeff de Jean Herman : Laurent
    1969 : Madly (Il piacere dell'uomo) de Roger Kahane : Julien Dandieu
    1969 : Le Clan des Siciliens d'Henri Verneuil : Roger Sartet
  • Années 1970
    1970 : Borsalino de Jacques Deray : Roch Siffredi
    1970 : Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville : Corey
    1971 : Soleil rouge de Terence Young : Gotch
    1972 : Un flic de Jean-Pierre Melville : le commissaire Édouard Coleman
    1973 : Deux Hommes dans la ville de José Giovanni : Gino Strabliggi
    1974 : Borsalino and Co. de Jacques Deray : Roch Siffredi
    1974 : Les Seins de glace de Georges Lautner : Marc Rilson
    1975 : Flic Story de Jacques Deray : Roger Borniche
    1977 : Mort d'un pourri de Georges Lautner : Xavier Maréchal, dit « Xav »
  • Années 1980
    1988 : Ne réveillez pas un flic qui dort de José Pinheiro : le commissaire divisionnaire Eugène Grindel
  • par 5AVRIL  80

                  
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