
MERCREDI
  AVRIL 2015 |
| VINTAGE GLAMOUR
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Edward Kennedy « Duke » Ellington est un pianiste, compositeur et chef d'orchestre de jazz américain, né le 29 avril 1899 à Washington D.C. et mort le 24 mai 1974 à New York.
Son orchestre était un des plus réputés de l'histoire du jazz avec celui de Count Basie, comprenant des musiciens qui étaient parfois considérés, tout autant que lui, comme des géants de cette musique. Quelques-uns de ces musiciens sont restés dans son orchestre pendant des décennies. Certains d'entre eux étaient déjà dignes d'intérêt par eux-mêmes, mais c'est surtout Ellington qui les transformait. Il avait l'habitude de composer spécifiquement pour certains de ses musiciens en tenant compte de leurs points forts, comme Jeep's Blues pour Johnny Hodges, Concerto for Cootie (« Do Nothing Till You Hear from Me ») pour Cootie Williams et The Mooche pour Joe Nanton. Il a aussi enregistré des morceaux composés par les membres de son orchestre, comme Caravan et Perdido de Juan Tizol (en). Après 1941, il collabora fréquemment avec le compositeur et arrangeur Billy Strayhorn qu'il appelait son « alter ego ». Il a laissé de très nombreux « standards ».
Duke Ellington, une des personnalités noires américaines les plus célèbres du xxe siècle, a enregistré pour un grand nombre de maisons de disques américaines et a joué dans plusieurs films. Avec son orchestre, il a fait des tournées régulières aux États-Unis et en Europe depuis la création de l'orchestre en 1923 jusqu'à sa mort en 1974.
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MERCREDI
  AVRIL 2015 |
| VINTAGE GLAMOUR
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Mary Pickford, de son vrai nom Gladys Louise Smith (née le 8 avril 1892 à Toronto, morte à Santa Monica le 29 mai 1979), est une actrice, productrice et femme d'affaires canadienne.
Surnommée « La petite fiancée de l'Amérique », « Little Mary » (Petite Mary) ou « La fille aux boucles », elle séduisit le public par sa grâce juvénile et primesautière dans des films comme Pauvre petite fille riche ou Le Petit Lord Fauntleroy. Cofondatrice des studios United Artists et de l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences, elle fait partie des plus grands pionniers des débuts d'Hollywood. Son influence dans le développement de son métier est considérable. Intrinsèquement liée au cinéma, elle est une figure décisive dans l'histoire de la célébrité moderne. Son statut et ses exigences contractuelles contribuèrent à façonner l'industrie du cinéma et la communauté cinématographique appelée « Hollywood ». En 1930, elle remporte l'Oscar de la meilleure actrice pour le rôle de Norma Besant dans Coquette de Sam Taylor. La fin du cinéma muet fut fatale à sa carrière d'actrice, après sa participation à quatre films parlants. Elle a joué dans 236 films, en 27 ans de carrière. Au regard de sa contribution au cinéma américain, l'American Film Institute désigne Mary Pickford la 24e plus grande star féminine de tous les temps.
Voir également:
Pierre Fresnay, né le 4 avril 1897
Käthe de Nagy, née lee 4 avril 1904
Constance Talmadge, née le 19 avril 1897
Anita Loos ,née le 26 avril 1888
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MARDI
  MARS 2015 |
| VINTAGE GLAMOUR
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Brigitte Eva Gisela Schittenhelm, connue sous le pseudonyme de Brigitte Helm est née le 17 mars 19061 à Berlin et morte le 11 juin 1996 à Ascona en Suisse
Cette actrice allemande est connue principalement pour son rôle dans Metropolis de Fritz Lang, mais elle fut surtout célébre en allemagne pour son coté "femme fatale" au cinéma
Filmographie partielle
Films muets
1927 : Metropolis, de Fritz Lang : Maria / le robot
1927 : Au bout du monde, de Karl Grune
1928 : La Mandragore (en allemand : Alraune (de)), de Henrik Galeen
1928 : L'Argent, de Marcel L'Herbier : La baronne Sandorf
1928 : Scandale à Baden-Baden, d'Erich Waschneck
Films parlants
1930 : Alraune (en), de Richard Oswald
1931 : Gloria, de Hans Behrendt et Yvan Noé : Véra Latour, la femme de Pierre
1932 : L'Atlantide, de Georg Wilhelm Pabst : Antinéa
1932 : Die Herrin von Atlantis (de), version allemande de L'Atlantide
1932 : The Mistress of Atlantis (en), version anglaise de L'Atlantide
1932 : Voyage de noces, de Joseph May
1932 : La comtesse de Monte-Christo, de Karl Hartl
1933 : Adieu les beaux jours, d'André Beucler et Johannes Meyer : Olga, la belle aventurière
1933 : L'Étoile de Valencia, de Serge de Poligny
1934 : L'Or (de), de Karl Hartl
1934 : Vers l'abîme de Hans Steinhoff et Serge Veber : Karine
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MARDI
  FEVRIER 2015 |
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Joseph Kessel est un aventurier, journaliste, grand reporter et romancier français, né le 10 février 1898 à Villa Clara (en) (Entre Ríos, Argentine) et mort le 23 juillet 1979 à Avernes (Val-d'Oise).
En concevant le monde comme un terrain d'aventures, Joseph Kessel incarne à merveille cette tradition d'écrivains-reporters qui trouvaient dans l'histoire immédiate des sujets de romans. Sa curiosité le porta à se mêler aux convulsions des peuples comme aux passions des individus, à débusquer sous la violence des faits la fraternité des hommes.
Avec quatre-vingts romans, quelques guerres, cinq continents, soixante ans de journalisme et quatre-vingts d'existence, Kessel, voyageur, aviateur, résistant, écrivain, fit du monde, autant que de sa vie et de son œuvre une fresque haute en couleurs qui donne à voir le tumulte, l'horreur et la grandeur du xxe siècle.
Dans les années 30, sa profession de journaliste autant que son goût pour les paysages, les personnalités, et les situations extrêmes le poussent à courir le monde. Un reportage sur la Syrie et la Palestine le conduit au Proche-Orient, et une enquête sur l'esclavage, en Abyssinie. La vie parisienne, pour laquelle il montre également un goût prononcé, ne lui offre pas moins d'exotisme, puisqu'il fréquente les truands de Montmartre ou les milieux des russes émigrés, et qu'il en tirera Nuits de princes (1927), Nuits de Montmartre ou, en 1928, Belle de jour, un de ses meilleurs romans. Il n'a pas trente ans quant il obtient le prix de l'Académie française...
Il est l'oncle de Maurice Druon
Livres les plus connus: Le lion, Belle de jour, L'armée des ombres, les cavaliers, Nuits de prince
Mon préféré: Le coup de grâce
Bio Larousse+Wikipedia
A célébrer également:
Clark Gable né le 1er février 1901
Colette Darfeuil née le 7 Fevrier 1906
Merle Oberon née le 19 février 1911
Madeleine Carroll née le 26 février 1906
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 | par DARKWOODS | | | 667 | |
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VENDREDI
  JANVIER 2015 |
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LUNDI
  JANVIER 2015 |
| VINTAGE GLAMOUR
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Georges Carpentier, né à Liévin le 12 janvier 1894 et mort à Paris le 28 octobre 1975, est un boxeur professionnel qui a marqué l'histoire de la boxe française en devenant le premier français à devenir champion du monde le 12 octobre 1920 à Jersey City (États-Unis) en mettant KO Battling Levinsky.
Biographie
Fils de mineur, il commence son parcours de boxeur en pratiquant la boxe française. En 1907, à l'âge de 13 ans, il est champion de France junior de cette discipline. Carpentier commence la boxe anglaise l'année suivante et devient champion de France des welters en 1911 à 17 ans, puis d'Europe le 23 octobre à Londres. Le titre européen des poids moyens tombe dans son escarcelle le 29 février 1912 à Monte-Carlo, et celui toutes catégories (lourds) le 1er juin 1913 à Gand. Le 16 juillet 1914 à Londres, sa victoire contre Gunboat Smith (en) lui permet de remporter le titre de champion du monde des poids lourds de race blanche , titre institué pour faire barrage à Jack Johnson, boxeur noir étant autorisé à combattre uniquement dans le championnat du monde des poids lourds de couleur.
Pendant la Première Guerre mondiale, il sert dans l'armée de l'air, reçoit la Croix de guerre et la Médaille militaire. Il se blesse au bout de 18 mois et réintègre la vie civile où il reprend sa carrière de boxeur après une courte expérience au rugby à XV, autre sport qu'il pratique avec une certaine habileté. En effet, il participe à la saison 1918-1919 du championnat de France au sein de l'équipe parisienne du Sporting Club Universitaire de France (SCUF) en jouant ailier. En fin de saison, il retourne à la boxe et met un terme à sa carrière de rugbyman non sans avoir marqué de son passage le club puisque l'école de rugby porte désormais son nom.
Il combat dans pratiquement toutes les catégories et devient champion du monde des mi-lourds le 12 octobre 1920 à Jersey City (États-Unis) en mettant KO Battling Levinsky.
Il devient ainsi le premier français champion du monde de boxe anglaise. Pour le titre mondial des poids lourds (toutes catégories), il échoue le 2 juillet 1921 face à Jack Dempsey - qui deviendra par la suite l'un de ses meilleurs amis - auquel il rend 12 kg et 6 cm, dans un « match du siècle » qui lui vaudra néanmoins une renommée mondiale, car il a perdu à cause d'une main droite inutilisable suite à une fracture dès le 2e round.
Dix mois plus tard, il remporte cependant le titre de champion d'Europe en battant « Kid » Lewis au premier round, par une simple droite au menton après un accrochage. Il perd ses titres de champion mi-lourds de France, d'Europe et du Monde le 24 septembre 1922 au stade Buffalo contre Battling Siki par KO au sixième round, refusant d'admettre sa défaite et prétextant que le match était truqué.
Il se retire de la compétition le 15 septembre 1926
Il meurt à Paris le 28 octobre 1975 (Marcel Cerdan est mort également un 28 octobre). Il est enterré au cimetière de Vaires-sur-Marne.
A lire également:
20 Janvier: Ruth Saint Denis
10 Janvier: Pauline Stark
9 Janvier: Vilma Banky
3 Janvier: Marion Davies
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 | par DARKWOODS | | | 951 | |
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DIMANCHE
  DECEMBRE 2014 |
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Eugène Émile Paul Grindel, dit Paul Éluard, est un poète français né à Saint-Denis le 14 décembre 1895 et mort à Charenton-le-Pont le 18 novembre 1952.
En 1916, il choisit le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhère au dadaïsme et devient l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée.
Il est connu également sous les noms de plume de Didier Desroches et de Brun
Les premières années de sa vie sont marquées par la maladie et les visions d'horreur de la guerre. Il rédige alors quelques poèmes témoignant du rejet de la haine et de la terreur. A la fin du conflit, il fréquente André Breton, Aragon, Soupault, Tzara... D'abord adepte du mouvement Dada, il prend part, par la suite, au surréalisme. Au sein du groupe, il réalise bon nombre de ses poèmes autour du thème de l'amour (Capitale de la douleur, 1926). En 1938, Eluard se dégage du surréalisme pour intégrer plus concrètement le Parti communiste. Sa poésie se veut alors plus engagée et, durant la Seconde Guerre mondiale, montre clairement sa position résistante (Poésie et Vérité, 1942).
Poète humaniste militant contre l'injustice, la haine et l'horreur et prônant l'amour dans un vers fluide et profond, Eluard s'éteint en 1952.
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 | par DARKWOODS | | | 688 | |
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DIMANCHE
  DECEMBRE 2014 |
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Jean Mermoz, né à Aubenton (Aisne) le 9 décembre 1901 et mort dans l'océan Atlantique le 7 décembre 1936, est un aviateur français, figure légendaire de l'Aéropostale, surnommé l'« Archange » ou « Le Grand »(St Exuspéry).
Il est aussi un des fondateurs en 1936 du Parti social français (PSF) avec le colonel de La Rocque.
Dès 1920, Mermoz s’engage dans l’armée de l’air et part deux ans plus tard en Syrie, où il effectue plusieurs centaines d’heures de vol. Contraint de revenir en France, il tombe en dépression car il ne trouve pas de travail au sein de l’aviation. Il attend 1924 et un contrat auprès de la Compagnie générale aéropostale pour vivre sa passion et la grande aventure. Il réussit plusieurs vols longs courriers au-dessus des déserts, comme Toulouse-Saint-Louis du Sénégal.
En mai 1926, Jean Mermoz est enlevé dans le désert par des Maures, puis relâché contre une rançon. Ses exploits continuent et rien ne le freine, même pas des incidents d’atterrissage. Jean Mermoz reçoit la Légion d’honneur en août 1934. Après les déserts, Mermoz veut traverser l’Atlantique et effectue un vol de plus de 20 heures reliant le Sénégal et le Brésil, le tout au bord d’un seul et même hydravion, chose quasi-impossible à l’époque. Il reproduit la chose plusieurs fois, en reliant différentes villes de chaque côté de l’Atlantique. Mais le 7 décembre 1936, Mermoz et ses coéquipiers disparaissent. L’avion la Croix-du-Sud s’est écrasé en mer. La France, ainsi que plusieurs pays d’Amérique du Sud, lui rendent hommage régulièrement depuis ce tragique accident.
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 | par DARKWOODS | | | 896 | |
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MARDI
  NOVEMBRE 2014 |
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René Clair, de son vrai nom René Lucien Chomette, né le 11 novembre 1898 à Paris Ier et mort le 15 mars 1981 à Neuilly-sur-Seine, est un réalisateur, scénariste et écrivain français.
Il fut également membre de l'Académie française de 1960 jusqu'à sa mort, occupant le fauteuil 19.
Fils d'un savonnier, il avait grandi dans le quartier des Halles à Paris.
En 1917, il est mobilisé comme ambulancier. En 1918, il devient journaliste à L'Intransigeant sous le pseudonyme de René Després.
Il écrit par ailleurs des paroles pour la chanteuse Damia, sous le pseudonyme de Danceny.
Il obtient ensuite des rôles dans divers films : Le Lys de la vie, Le Sens de la mort, L'Orpheline, Parisette et choisit pour cette occasion le pseudonyme de René Clair. Il devient directeur du supplément cinéma de la revue Théâtre et Comœdia illustré.
En 1922, il commence la rédaction du scénario du Rayon diabolique qu'il tournera en 1923 et qui sortira en 1924 sous le titre Paris qui dort.
Il réalise par la suite divers films avec un goût prononcé pour un certain fantastique, tout en continuant à s'adonnant à l'écriture : Adams sort chez Grasset en 1926. En 1929, il participe à l'écriture du scénario de Prix de beauté, qu'il devait, initialement, également réaliser, mais qui sera tourné par Augusto Genina, avec Louise Brooks dans le rôle principal.
C'est avec son premier film parlant, Sous les toits de Paris (1930), qu'il acquiert une réputation internationale. Le succès se confirme avec Le Million (1930) et À nous la liberté (1931), satire utopiste de la société industrielle. En 1936, sort Les Temps modernes de Chaplin. La Tobis, société allemande qui produisit À Nous la liberté, et qui entre-temps (1935) était passée sous le contrôle de Goebbels, décide d'attaquer Chaplin pour plagiat et contrefaçon.
Clair s'oppose à cette action, considérant le film de Chaplin, personnage qu'il admire, comme un hommage indirect au sien. La Tobis continuera à poursuivre Chaplin.
Après l'échec du Dernier milliardaire (1934), René Clair accepte l'offre qui lui est faite d'aller travailler à Londres. Il y renouera brièvement avec le succès public pour Fantôme à vendre en 1935, mais son film suivant, Fausses nouvelles (1937), remake anglais de Le Mort en fuite sorti l'année précédente en France, déçoit.
De retour en France fin 1938, il commence à tourner Air pur en juillet 1939. Le tournage est interrompu par l'ordre de mobilisation de septembre qui envoie à la guerre divers membres de l'équipe de tournage et le film ne sera jamais terminé.
Fin juin 1940, René Clair quitte la France avec femme et enfant, gagne l'Espagne puis le Portugal et s'embarque pour New York. Le gouvernement de Vichy le déchoit de la nationalité française puis, quelque temps après, annule cette décision.
René Clair est bien accueilli à Hollywood, il y tournera quatre films : La Belle ensorceleuse (1940), Ma femme est une sorcière (1942), C'est arrivé demain (1943) et Dix petits Indiens (1945). Ce dernier est une adaptation des Dix petits nègres d'Agatha Christie.
Il rentre en France en 1946, tourne Le silence est d'or (1947), La Beauté du diable (1949) où il revisite le mythe de Faust et dirige Gérard Philipe pour la première fois, puis Les Belles de nuit (1952).
En 1955, sort son premier film en couleur, Les Grandes Manœuvres, qui obtient le Prix Louis-Delluc.
En 1960, il est élu à l'Académie française : c'est la première fois qu'un cinéaste en tant que tel y fait son entrée. Au même moment, la Nouvelle Vague bouleverse les règles d'un cinéma de studios dont il est devenu le représentant institutionnel.
Les Fêtes galantes qui sortira en 1965 sera son dernier film.
En 1974, il est président du jury du Festival de Cannes.
Il meurt le 15 mars 1981 et est inhumé au cimetière ancien de Neuilly-sur-Seine.
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 | par DARKWOODS | | | 1070 | |
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