Cocktail93




LUNDI

DECEMBRE
2009
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  9

VENDREDI

DECEMBRE
2009
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  8

JEUDI

NOVEMBRE
2009
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  14

VENDREDI

JUILLET
2009
PAS BêTES!
 
Deux pandas roux, rejetés par leur mère à leur naissance, le mois dernier, dans un zoo du nord de la Chine, grandissent depuis en bonne santé grâce au lait et à l'amour d'une chienne, a raconté jeudi l'agence Chine nouvelle.
Les deux petits pandas ont vu le jour dans la province du Shanxi le 25 juin, mais ont été immédiatement abandonnés par leur mère biologique.
Grossesse surprise
"Personne n'a su qu'elle portait des petits. Son corps dodu et sa fourrure hirsute ont caché son ventre saillant jusqu'à la naissance", a expliqué un employé du zoo de Taiyuan, Ha Guojiang, à Chine Nouvelle.
Le zoo s'est alors mis à la recherche éperdue d'une mère de substitution, finissant par élire la chienne.
"Elle est gentille et elle a assez de lait. Les deux bébés ont l'air de l'aimer aussi", a dit M. Ha.
Chiot cherche maman
Mais, cruel revers des choses: la chienne a elle-même rejeté son chiot récemment né. "Elle pense que les deux pandas roux sont ses propres petits et refuse de s'occuper du petit chien", a ajouté le gardien, qui s'est depuis chargé de nourrir le chiot.
Au bout de trois semaines, les bébés pandas ont grandi de 20 centimètres, "le double de leur taille de naissance", a dit Ha, "Ils commencent à bouger un peu mais ils n'ont toujours pas ouvert les yeux."
Les pandas roux sont de petits mammifères vivant dans le sud de la Chine qui, comme les pandas géants, se nourrissent essentiellement de bambous et sont protégés en Chine.
Source: 7sur7/belga


par MANTEAU  12

DIMANCHE

JUIN
2009
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  5

LUNDI

JUIN
2009
PAS BêTES!
 
Les Exocoetidae ou poissons volants sont une famille de poissons de mer d'environ 50 espèces regroupées en 7 à 9 genres. Les poissons volants se trouvent dans tous les grands océans, en particulier dans les chaudes tropicales et subtropicales de l'Atlantique, Pacifique et océan Indien. Leur caractéristique principale est leurs nageoires pectorales, qui sont d'une ampleur inhabituelle, et leur permettre de prendre les vols court en vol plané dans l'air, au-dessus de la surface de l'eau, pour échapper à des prédateurs.

par MANTEAU  12

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LUNDI

MAI
2009
PAS BêTES!
 

Un chat entre dans une pharmacie et demande :
Puis-je avoir du sirop pour matou.

J'ai raconté cette histoire à Albert. Voici sa réaction:

par MANTEAU  3

VENDREDI

AVRIL
2009
PAS BêTES!
 
Elle a des gros yeux la bébète

par MANTEAU  6

SAMEDI

MARS
2009
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  16

VENDREDI

MARS
2009
PAS BêTES!
 
Le Macropinna microstoma est la seule espèce de poisson dans le genre Macropinna, appartenant à la famille Opisthoproctidae ( barreleye ) Il est reconnaissable pour sa très rare transparence au niveau de la tete, remplie de liquide , à travers laquelle les lentilles de ses yeux peut être vu. Les yeux ont la forme d'un baril et peut être tourné au point en avant ou en haut, en regardant dans le dôme transparent du poisson.
Le M. microstoma a une petite bouche et la plupart de son corps est recouvert de grandes écailles. Le poisson se bloque normalement presque immobile dans l'eau, à une profondeur d'environ 600 mètres (2000 pieds) à 800 mètres (2600 pieds), en utilisant ses larges ailerons pour la stabilité et à ses yeux dirigés vers le haut. Dans les conditions de faible éclairage, il est supposé détecter les poissons proies par sa silhouette.
Le M. microstoma a été appelé ainsi par la science depuis 1939, (par Chapman), mais n'est connu pour avoir été photographié en vie qu'en 2004. Les vieux dessins de lui ne montrent pas la coupole transparente

par MANTEAU  15

LUNDI

MARS
2009
PAS BêTES!
 
Trônant au sommet de la chaîne alimentaire, l'ours polaire est à l'abri de tout prédateur mais il n'est pas moins confronté à une menace de taille, le changement climatique, qui hypothèque sérieusement ses chances de survie au-delà du 21e siècle.
Pour éviter qu'il ne soit relégué au musée, les cinq Etats ayant l'ours en partage (Etats-Unis, Russie, Canada, Norvège, Danemark/Groenland) se réuniront mardi à Tromsoe, dans le nord de la Norvège, afin d'adapter aux nouveaux défis climatiques un accord de 1973 sur la conservation du plantigrade.
Pas de glaces
"Pas de banquise, ça veut dire pas d'ours polaires. C'est aussi simple que cela", résume l'Américain Geoff York, spécialiste des ours polaires au Fonds mondial pour la nature (WWF). Un constat alarmant au vu du rythme actuel du recul des glaces marines qui, selon certaines estimations, pourraient fondre complètement en été dans l'Arctique dès 2020. Voire plus tôt.
Conséquence de la poussée fiévreuse du thermomètre, les deux-tiers des 20 à 25.000 ours polaires vivant aujourd'hui risquent de disparaître à l'horizon 2050, estiment des scientifiques. La banquise est un terrain de chasse indispensable pour l'ours. Aux beaux jours, il y traque son mets de prédilection, le phoque, emmagasinant les graisses qui lui permettront de passer l'hiver.
Nourriture
Au sortir de l'hibernation, de plus en plus d'ours se font surprendre par le recul prématuré des glaces et doivent choisir entre regagner la banquise à la nage sur des distances infranchissables pour leurs oursons ou rester échoués à terre, avec leurs petits, face à une mort quasi-certaine, faute de nourriture.
En sens inverse, à l'automne, les femelles enceintes sont contraintes de nager sur des distances croissantes pour regagner la terre ferme, perdant au passage des forces précieuses. Les ours polaires seraient aujourd'hui 15% plus légers qu'il y a 20 ans.
Sauvegarde
Les représentants des cinq pays réunis à Tromsoe plancheront pendant trois jours sur les moyens de protéger le mammifère face à la nouvelle donne climatique. "Certains de ces pays sont aussi très importants dans la politique internationale sur le changement climatique", souligne Rasmus Hansson, secrétaire général de WWF Norvège, en se félicitant des signaux positifs provenant des Etats-Unis depuis l'élection de Barack Obama.
A ce titre, le sort de l'animal se jouera largement en décembre lors de la conférence de Copenhague, où doit être négocié un accord post-Kyoto sur le climat. Elaboré il y a près de 40 ans, l'accord de conservation de l'ours blanc visait essentiellement à limiter la chasse, principale menace perçue à l'époque. Celle-ci n'a pas complètement disparu.
Menaces
Outre les prises légales accordées aux populations autochtones, l'ours continue d'être une cible de choix pour les touristes fortunés au Canada, où la chasse sportive est autorisée, et pour les braconniers en Russie. Une fourrure peut atteindre plusieurs milliers de dollars à Moscou ou à Saint-Pétersbourg.
D'autres menaces d'origine humaine ont surgi: les activités pétrolières, minières et militaires, le transport maritime et le tourisme accrus dans l'Arctique ajoutent au stress de l'animal. Son système immunitaire et ses capacités de reproduction sont de surcroît affaiblis par les substances toxiques telles que les PCB, qui se déposent dans la région par le jeu des courants atmosphériques et marins.
Le tableau est sombre mais, pour WWF, il n'est pas trop tard pour agir. "Nous savons que les ours polaires ont survécu à des périodes de réchauffement dans le passé. Nous ne savons pas comment mais si on leur donne assez d'espace, ils s'adapteront autant que cela est possible", affirme Geoff York.
Afp/7sur7.be

par MANTEAU  8

DIMANCHE

MARS
2009
PAS BêTES!
 

On dirait Dinh et moi la nuit !
par MANTEAU  7

              
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