Cocktail93




SAMEDI

MAI
2009
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

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Jones
Old Blue

par MANTEAU  13

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DIMANCHE

AVRIL
2009
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

Roller Smith 2
Twinings Red
Weston Amperes
Kn Tan
Twinings

par MANTEAU  19

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SAMEDI

AVRIL
2009
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

Axel
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par MANTEAU  29

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MERCREDI

AVRIL
2009
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  20

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MERCREDI

AVRIL
2009
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  26

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MERCREDI

AVRIL
2009
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

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par MANTEAU  19

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VENDREDI

MARS
2009
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Le HRP-4C, un robot de type humanoide féminin marchant et parlant, véritable mannequin de mode, vient d'etre lancé par la société japonnais Japan’s National Institute of Advanced Industrial Science and Technology (AIST)


par MANTEAU 

SAMEDI

FEVRIER
2009
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  1

VENDREDI

NOVEMBRE
2008
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Une planète orbite autour de l'étoile Fomalhaut, c'est sûr et certain... foi d'oeil humain. Enfin... le télescope spatial Hubble l'a vue. Et l'a photographiée. Les astrophysiciens peuvent donc maintenant, comme Saint Thomas, croire ce qu'ils voient puisque les quelques trois cent exoplanètes jusqu'ici détectées l'ont été la plupart du temps de manière indirecte, grace aux petites variations qu'elles induisent sur la lumière de leur étoile.
Fomalhaut est une étoile très connue des astronomes amateurs, l'une des plus brillante du ciel du sud, dans la constellation du Poisson austral, à seulement 25 années lumière de nous. Bien connue aussi des chasseurs d'exoplanètes depuis que le satellite IRAS avait détecté autour d'elle un excès de rayonnement infrarouge, signe de poussières. Aussi a t-elle été la cible d'un programme de recherche, couronné de succès.
En 2004, la caméra à haute résolution de Hubble, équipé par un coronographe qui masque la lumière de l'étoile, permet de distinguer le disque de poussières qui environne l'étoile. Un disque de débris protoplanétaire, d'environ 34 milliards de kilomètres de diamètre, similaire à la ceinture de Kuiper autour du Soleil, où se trouvent comètes et planètes naines comme Pluton.
En 2005, une équipe de Berkeley, dirigée par Paul Kalas estime que cet anneau est influencé par une planèteImage_commentee orbitant autour de l'étoile et située à l'intérieur de cette ceinture. Elle y creuse un petit trou. Mais elle orbite donc beaucoup trop loin pour qu'on puisse la détecter avec les outils classiques. Ceux-ci supposent que l'on observe régulièrement la lumière de l'étoile pour détecter une variation qui survient chaque fois que la planète passe entre la ligne de visée du télescope et l'étoile. Pour que cela se passe assez souvent, il faut que la planète orbite près de l'étoile.
Cette technique a donc favorisé la détection de planètes proches, voire très proches de leur étoile. Pour détecter celle qui orbite autour de Fomalhaut, il faut autre chose : "éteindre" la lumière de l'étoile pour détecter celle de la planète, qui est un milliard de fois plus faible.
Fomalhaut_en_lumire_visible Depuis 2001, Hubble est chargé de cette mission délicate, à l'aide d'un coronographe. Ce masque situé pile au centre de la caméra permet "d'éteindre" la lumière de l'étoile", mais la manoeuvre est délicate. Il a fallu 21 mois d'observations (pas en continu...) pour y parvenir. Puis de long mois de calculs et d'analyse pour être certains de l'observation et tirer un premier portrait de la planète, le tout publié dans la revue Science le 14 novembre.
La planète Fomalhaut-b se trouve donc à 17 milliards de kilomètres de l'étoile Fomalhaut, soit dix fois la distance Saturne/Soleil. Elle brille plus qu'un objet ayant trois fois la masse de Jupiter, mais son effet gravitationnel sur son environnement de poussières et de glace suppose qu'elle n'en fasse pas plus. Elle pourrait donc être un peu moins massive que cela, et sa brillance s'expliquer par un reflet sur énorme anneau de glace et de poussière qui l'entourerait.
Fomalhaut est une étoile jeune, d'environ 200 millions d'années. Seize fois plus brillante que le Soleil et beaucoup plus chaude, "brûlant" son hydrogène (en réalisant des fusions thermonucléaires productrices d'hélium) à un rythme échevelé qui l'a conduira à une "vie" dix fois plus courte que notre étoile.
Dans le même numéro de Science, un autre article de Christian Marois et al. présente la détection par imagerie directe, effectuée par les télescopes Keck et Gemini, de trois autres exoplanètes. Elles orbitent autour de l'étoile HR 8799, située à 128 années lumière de la Terre. Elles ont entre cinq et 13 fois la masse de Jupiter et se trouvent à 24, 38 et 68 Unités Astronomiques (une UA égale la distance moyenne Terre/Soleil) de leur étoile. Toutes proportion gardées, il "ressemble à notre système solaire externe" (Jupiter, Saturne, Uranus) notent les auteurs de l'article.
Pour les amateurs de précision, voici l'article de Kalas, et celui de Marois dans Science.

par MANTEAU 

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MARDI

SEPTEMBRE
2008
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Des scientifiques du CERN (l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire) ont l'intention de pratiquer une expérience inédite avec une machine gigantesque, la semaine prochaine, dans le but de simuler les premières secondes qui ont suivi le "Big Bang" et dans l'espoir de faire de nouvelles découvertes sur ce phénomène encore plein de mystères. Des opposants qui voient déjà en la date du 10 septembre celle du Jugement dernier, c'est-à-dire la fin du monde, espèrent pouvoir les en empêcher.
Baptisée le "LHC" (pour Large Hadron Collider, "grand collisionneur de hadrons"), la machine utilisée n'est autre que le plus grand et le plus puissant accélérateur de particules du monde: elle a une circonférence de 26.659 mètres et a coûté quelque 5,4 milliards d'euros. Lorsqu'elle sera déclenchée à la frontière franco-suisse sous l'égide du CERN, elle fera en quelque sorte office de machine à voyager dans le temps, révélant ce qui s'est produit lors de la création de l'univers. Deux faisceaux de particules subatomiques de la famille des hadrons circuleront en sens inverse à l'intérieur de l'accélérateur circulaire, emmagasinant de l'énergie à chaque tour. En faisant entrer en collision frontale les deux faisceaux à une vitesse proche de celle de la lumière et à de très hautes énergies, le LHC va recréer les conditions qui existaient juste après le Big Bang. Des équipes de physiciens du monde entier analyseront ensuite les particules issues de ces collisions.
Des experts craignent cependant que cette expérimentation puisse produire des trous noirs qui pourraient détruire la Terre. Des opposants au projet estiment ainsi que l'expérience jouera avec l'inconnu, et donc aussi avec l'avenir de la planète et de l'humanité, accusant les scientifiques de se prendre pour Dieu. Ils tentent dès lors d'empêcher le projet avec une bataille de dernière minute devant les tribunaux. "Il est plausible que ces trous noirs survivent et grossissent, engloutissant la planète de l'intérieur", avance le Professeur Otto Rossler, de l'Université Eberhard Karls de Tübingen (Allemagne), qui fait partie des opposants qui ont engagé une procédure auprès de la Cour Européenne des Droits de l'Homme.
Si l'expérience tient de la science-fiction, les responsables du CERN jugent qu'elle est d'une importance cruciale pour découvrir et révéler les secrets de l'univers. Le LHC pourra parvenir à une énergie jamais atteinte à ce jour dans un accélérateur de particules. Cependant, cette énergie restera inférieure à celle que produit couramment la Nature dans les collisions de rayons cosmiques, rassure le CERN. Des études sont menées depuis de nombreuses années pour répondre aux inquiétudes sur ce que pourraient engendrer des collisions de particules à des énergies aussi élevées, affirme l'organisation.
Les propriétés de la gravité, décrites par la relativité d'Einstein, excluent que des trous noirs microscopiques puissent être produits au LHC, selon le CERN. Les quelques théories de type spéculatif qui prédisent toutefois la production de telles particules au LHC prévoient qu'elles se désintégreraient aussitôt. Ainsi, ces trous noirs n'auraient pas le temps d'amorcer l'accrétion de matière et resteraient sans effets macroscopiques. (7sur7)

par MANTEAU 

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MERCREDI

JUILLET
2008
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
C'est courant, mais en plus la il a l'air vivant !
Je ne sais pas si il s'agit d'un robot ou d'images de synthese mais c'est impressionnant !

par MANTEAU 

JEUDI

JUILLET
2008
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Mercure est à l’honneur dans la revue Science qui publie onze articles portant sur les découvertes de la sonde Messenger lors de son survol de la planète en janvier 2008. Mercure apparaît plus complexe qu'on ne le pensait, notamment par le rôle du volcanisme dans le modelage de sa surface. Le mystère de son champ magnétique, lui, demeure...
La suite de l'article en cliquant sur le lien
par MANTEAU  1

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