
MERCREDI
  NOVEMBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
 MERCREDI
  NOVEMBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
 MERCREDI
  NOVEMBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
|
SAMEDI
  NOVEMBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
|
MARDI
  OCTOBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
|
JEUDI
  OCTOBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
|
|
Les posts plus lus dans la rubrique Margaux Motin, illustratrice 12735 , le 31/08/2010 Margaux Motin, illustratrice II 6408 , le 23/07/2013 Stu Mead, peintre 6307 , le 03/04/2009 Gilbert Legrand, sculpteur 4782 , le 14/05/2012 Roberto Baldazzini 4333 , le 07/10/2012 Dao Hai Phong, peintre 3672 , le 19/10/2010 Juan Gris, peintre 3624 , le 21/07/2012 Gérard Garouste 3475 , le 23/01/2008 Casey Baugh, peintre 3229 , le 30/03/2010 Aleos, Artiste Peintre 3173 , le 18/08/2008 Joaquin Sorolla, peintre 3169 , le 15/04/2012 Jean Bailly 2789 , le 23/06/2012 Zabh, peintre et sculpteuse - 2 et fin 2775 , le 25/09/2010 Mordecai Ardon, peintre 2761 , le 16/04/2012 Alexandre Cabanel , peintre 2635 , le 26/11/2010
DIMANCHE
  OCTOBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
 DIMANCHE
  OCTOBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
 DIMANCHE
  OCTOBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
 DIMANCHE
  OCTOBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
|
|
MARDI
  SEPTEMBRE 2008 |
| ARS LONGA, VITA BREVI
| |
La Gazette de l'Hôtel Drouot - février 2000
Quitterie S, art brut, art naïf, graffiti ?
Sur les murs fatigués d'une rue sans âge, des lettres sont restées en partie effacées, mêlées à quelques images naïves. Une marelle a servi de cadre à des histoires passagères que fera disparaître une pluie prochaine. Quitterie S, artiste âgée de vingt-huit ans et dont c'est la première exposition, a gardé cette petite musique de l'enfance. Acharnée et ingénue, sauvage et candide, elle dessine sur de petits bouts de papier qu'elle colle, assemble, mêlant gouache, encre, aquarelle et peinture avec une énergie qui est celle des innocents. Sans tricherie, elle énonce dans la fulgurance de sa mémoire comme de celle de son imaginaire les récits d'une quête improbable, parce que non avouée. Art brut, art naïf, graffiti ? On passe des petits formats regroupés comme les pages d'un roman aux toiles plus ambitieuses mais peintes avec la joie évidente de manipuler la matière picturale qu'elle travaille en couches successives, ponce, avant l'ultime couche finale. On retient tel visage entrevu, telle esquisse d'une maison ou tel bonhomme jetés dans un espace à deux dimensions qui ignore la perspective, augmentant ainsi le degré d'illusion. Ici, tout se lit verticalement sur un plan unique, ce qui permet une approche en demi-teinte. Comment cette fraîcheur évoluera-t-elle ? À suivre.
|
|
|
|