Cocktail93




SAMEDI

DECEMBRE
2019
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  40

VENDREDI

DECEMBRE
2019
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  11

JEUDI

DECEMBRE
2019
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  13

JEUDI

JUILLET
2019
PAS BêTES!
 
Un poisson-lune de 1,8 mètre, poisson osseux le plus lourd existant sur Terre, s'est échoué sur une plage australienne, et les images de ce spécimen méconnu ont fait le tour du monde.
Le poisson-lune ou môle a été retrouvé mort à l'embouchure du fleuve Murray, au sud de l'Australie ce week-end. Ce type de poisson se distingue par sa grande taille et sa forme plate particulière. Il peut peser jusqu'à 2,5 tonnes selon le National Geographic.
Raisons inconnues
Les raisons de l'échouage du poisson-lune ne sont pas connues. "Il est fréquent qu'ils se heurtent aux bateaux et certains sont si gros qu'ils peuvent faire couler un voilier", a affirmé Ralph Foster, le responsable de la collection de poissons du South Australian Museum.
Taille en réalité... moyenne
Le poisson-lune échoué était en fait d'une taille plutôt moyenne pour son espèce, selon lui. Les poissons-lunes "peuvent être beaucoup plus gros (...) près du double de cette taille", a-t-il expliqué à la chaîne Australian Broadcasting Corporation (ABC). "Nous savons très peu de chose sur (cette espèce) ce n'est que dernièrement que la technologie nous a permis de commencer à avoir des informations".
Elle est classée comme "vulnérable" par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
"Sunfish"
Ces poissons ont pour particularité d'étendre une partie de leur corps au soleil ce qui lui vaut son nom anglais de "sunfish". Ils peuvent aussi plonger à plusieurs centaines de mètres de profondeur.
Les images du poisson échoué, postées sur Facebook par Linette Grzelak, ont suscité la curiosité. "Le nombre de médias du monde entier qui veulent en parler est incroyable. Je ne m'attendais pas à ça", a-t-elle indiqué à l'AFP.
Source: 7sur7.be


par MANTEAU  15

JEUDI

AVRIL
2019
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  12

MARDI

AVRIL
2019
PAS BêTES!
 
Au Costa Rica existe un institut chargé de prendre soin des orphelins paresseux
L'institut prend soin au Costa Rica prend soin des petits bébés qui soit perdus ou ont été abandonnés par leurs mères. Ces braves personnes contribuent à faire en sorte que ces animaux reçoivent les soins dont ils ont besoin pour pouvoir grandir et arriver au stage adulte sans péril

par MANTEAU  18

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MARDI

AVRIL
2019
PAS BêTES!
 
Les poissons ont une personnalité complexe et réagissent chacun avec leur propre caractère face au danger, certains se montrant plus courageux que d'autres, selon une étude de l'université d'Exeter parue lundi.
Les chercheurs ont étudié une population de guppys, petits poissons d'Amérique du sud supportant bien la vie en aquarium, et ont remarqué que chaque individu répondait de façon répétée à sa manière au stress, même placé dans plusieurs situations différentes.
Plongés dans un environnement non familier, les guppys ont des stratégies différentes pour affronter cette situation stressante --bon nombre essaient de se cacher, d'autres tentent de s'échapper, d'autres enfin explorent prudemment les lieux etc. a relevé Tom Houslay, du Centre pour l'écologie et la conservation de l'université d'Exeter (sud-ouest de l'Angleterre). L'expérience a été menée à plusieurs reprises et à chaque fois, les guppys s'en tenaient à leur même ligne de conduite, relève l'étude, parue dans la revue Functional Ecology.
Prochaine phase de la recherche: les enquêteurs tenteront de déterminer la part génétique et la part liée à l'environnement dictant ces différents comportements, pour mieux comprendre le processus d'évolution et voir si les différentes stratégies de comportement persistent lorsque l'espèce évolue, a expliqué le professeur Alastair Wilson.
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  10

DIMANCHE

MARS
2019
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  9

DIMANCHE

MARS
2019
PAS BêTES!
 

par MANTEAU  26

VENDREDI

JANVIER
2019
PAS BêTES!
 
Voici une girafe blanche rare et belle, récemment repérée dans le parc national de Tarangire en Tanzanie par le Dr Derek Lee.
Son nom est Omo, elle est probablement tout simplement une girafe albinos, qui est âgée aujourd'hui de 15 mois.
Elle est maintenant sous la garde du conservateur avec l'espoir de lui donner une meilleure chance de survie.
Ne vous laisser pas berner par son apparence, elle est tout à fait réelle.

par MANTEAU  16

VENDREDI

JANVIER
2019
PAS BêTES!
 
Le plus vieux panda du monde vivant en captivité est mort en Chine à 37 ans -- l'équivalent de plus d'un siècle pour les humains --, ont annoncé jeudi ses soigneurs lors d'une cérémonie d'adieu.
Cette femelle prénomée "Basi" aura vécu bien plus longtemps que ses congénères: les pandas ont une espérance de vie moyenne d'environ 20 ans. Les spécimens en captivité peuvent cependant vivre plus longtemps.
Star en Chine
L'animal était une star en Chine, où chacun de ses anniversaires était célébré avec faste devant les caméras. Un copieux gâteau adapté à sa taille lui était alors généralement offert. La télévision publique a réalisé jeudi un reportage en direct depuis le zoo qui accueillait Basi dans le sud-est de la Chine, où une cérémonie funèbre a été organisée en l'honneur du mammifère.
Née à l'état sauvage
Basi était née à l'état sauvage, mais avait été secourue très jeune après être tombée dans une rivière du sud-ouest de la Chine et vivait depuis en captivité, a précisé le Centre de recherche et d'échange sur les pandas géants de Fuzhou, dans la province du Fujian.
Séjour aux Etats-Unis
L'ursidé a séjourné une fois à l'étranger, lors d'un prêt de six mois dans un zoo de San Diego (Etats-Unis) en 1987.
Moins de 2.000 pandas en liberté
Il reste moins de 2.000 pandas en liberté, menacés par la disparition drastique de leur habitat au cours du dernier demi-siècle. La Chine a cependant mis en place d'importants moyens pour préserver l'espèce et son environnement. L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a ainsi sorti en 2016 l'animal de la liste des espèces les plus menacées d'extinction.
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  34

DIMANCHE

JANVIER
2019
PAS BêTES!
 
Des bandes unies pendant tout l'hiver
Le mode d'organisation sociale des mésanges varie selon les périodes de l'année. Durant la mauvaise saison, les oiseaux se réunissent en bandes, rondes de quelques membres à plusieurs dizaines d'oiseaux (du même genre ou d'autres : grimpereaux, pics épeichettes et sittelles torchepots)3. À la fin de l'hiver, les bandes se désagrègent. Poussées par l'instinct de reproduction, les mésanges retrouvent leur caractère individualiste. Les mâles se mettent en quête d'un territoire, qu'ils défendront âprement contre leurs congénères. Les femelles, quant à elles, partent à la recherche d'un partenaire pour s'accoupler4.
Des comportements individualistes pendant la saison de reproduction
La saison de reproduction débute par le choix des mâles selon des critères relatifs au chant nuptial ou aux comportements de parade nuptiale. Le choix du site de nidification étant arrêté, la femelle aménage le nid, tantôt seule, tantôt aidée du mâle, selon les espèces, en le tapissant de menues racines, de tiges et de brindilles, puis d'un épais matelas de mousse et, enfin, d'une couche poils, de crins ou de laine, éventuellement de plumes5.
Études particulières
Les mésanges sont généralement monogames mais la polygynie existe au moins dans les habitats optimaux. Une étude en 1986 montre que ce mode de reproduction est à l'avantage des mâles, les copulations extraconjugales augmentant leur succès reproducteur sans qu'ils ne doivent intervenir dans l'élevage des jeunes6.
En 2001, des chercheurs ont étudié ce qui motivait le choix des mésanges de rester ou non dans un petit bois (préalablement débarrassé des mésanges qui y étaient pour éviter les effets de défense de territoire). Les auteurs de cette étude ont conclu que le type de structure paysagère entourant le bois, ou la taille du bois importaient assez peu, alors que la présence d'une canopée portée par de grands arbres était un facteur décisif7.
Source: wikipedia.org

par MANTEAU  23

              
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