
VENDREDI
  DECEMBRE 2020 |
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L'étourneau de Mozart est un étourneau sansonnet que Wolfgang Amadeus Mozart a possédé comme animal de compagnie pendant trois ans1. Il est connu par la mention d'une anecdote musicale concernant son achat, par le cérémonial qui a entouré son enterrement, et comme spécimen de l'affection particulière que le compositeur portait aux oiseaux
Apparition de l'oiseau dans la vie de Mozart
La première mention de l'étourneau apparaît dans une note que Mozart a écrite dans son livre de comptes lorsqu'il l'a acheté le 27 mai 1784
La musique que Mozart a notée en dessous du prix de l'oiseau est proche du thème initial du troisième mouvement de son Concerto pour piano no 17 en sol majeur, K. 453, terminé quelques semaines avant (le 12 avril). Il est possible que Mozart ait appris à l'oiseau à chanter cette mélodie dans la boutique où il l'a acheté.
Suivant la transcription de Mozart, l'étourneau a introduit un point d'orgue sur le dernier temps de la première mesure et a chanté un sol dièse au lieu d'un sol naturel dans la mesure suivante
Mozart ne s'est probablement pas trompé quand il a fait la transcription car les étourneaux ont des facilités pour imiter une voix ou une mélodie
Disparition de l'oiseau
L'étourneau a vécu dans la maison du compositeur comme animal de compagnie pendant trois ans et est mort le 4 juin 1787. Mozart a enterré l'oiseau dans le jardin avec tout un cérémonial (comme les biographes contemporains l'ont noté). Les notes prises par Georg Nikolaus von Nissen (le second mari de la femme de Mozart, Constance) pour écrire sa biographie du compositeur, décrivent la cérémonie ainsi :
« Quand l'oiseau est mort, il a organisé un cortège funèbre, dans lequel tous ceux qui pouvaient chanter devaient se joindre à lui, en étant voilés - il a fait une sorte de requiem et une épitaphe en vers. »
Le même événement est décrit par Franz Xaver Niemetschek (en), qui avait également interviewé Constance :
« Il a souvent écrit des vers, la plupart du temps, seulement d'un genre humoristique. Ce fut le cas, entre autres, à la mort d'un étourneau très aimé, pour lequel il avait installé une pierre tombale dans son jardin, et sur laquelle il avait écrit une inscription. Il aimait beaucoup les animaux et, en particulier les oiseaux.
Ici repose un cher innocent,
un oiseau étourneau.
Encore dans ses tendres années
Il a dû affronter
L'amère douleur de la mort.
Mon cœur saigne
Lorsque je pense à lui,
Oh lecteur! Verse
Aussi une petite larme pour lui.
Il n'était pas méchant,
Parfois un peu trop allègre
Et, parfois aussi de temps en temps,
Un cher et agaçant espiègle,
Mais pourtant pas un chenapan.
Je parie qu'il est déjà là haut
pour me remercier,
De ce service d'ami
Sans but lucratif.
Car comme à l'improviste
il a pris son envol,
Il n'a pas pensé à l'homme
Qui peut rimer si joliment.
4 juin 1787.
Dessin: Katherine Quinn
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JEUDI
  NOVEMBRE 2020 |
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Lundy, un jeune chihuahua d’à peine deux mois, souffre d’un grave handicap depuis sa naissance qui l’empêche de marcher. Le chiot a été recueilli par la Mia Foundation, un refuge de Rochester (New York) qui s’occupe principalement d’animaux nés avec des malformations congénitales.
Herman, un pigeon d’un certain âge, souffre quant à lui d’une maladie neurologique et ne peut plus voler. Il avait été retrouvé immobile sur le parking d’un concessionnaire automobile il y a plus d’un an, précise CNN.
Les deux animaux auraient dû être euthanasiés mais Sue Rogers, la responsable de la Mia Fondation, est intervenue et les a recueillis.
Quand Lundy rencontre Herman
“J’ai placé Herman sur un lit pour chien et j’ai commencé à prendre soin de Lundy. J’ai décidé de placer soigneusement Lundy dans le même lit pour chien à côté de lui. Ils ont commencé à interagir immédiatement d’une manière très mignonne”, raconte Sue Rogers.
Depuis, les deux boules de poils et de plumes sont inséparables. Herman a littéralement pris le chiot sous son aile. Comme on peut le voir sur une vidéo partagée par le refuge, une véritable complicité s’est développée entre les deux animaux, qui passent désormais le plus clair de leur temps à se blottir l’un contre l’autre et à s’amuser ensemble.
Source 7sur7.be
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VENDREDI
  OCTOBRE 2020 |
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Cet animal, présent en Europe depuis l'Antiquité, est en général très discret. Des salariés du Parc national des calanques de Marseille ont pu observer un spécimen récemment
Une genette a été observée en février dernier dans le Parc national des calanques à Marseille.
Les naturalistes s'en réjouissent, car ces observations sont plutôt rares. La genette est plutôt en déclin en France.
Tout est parti d’un tas de crottes. En février dernier, une équipe de botanistes du Parc national des calanques de Marseille repère des excréments qui ne ressemblent pas à ceux des renards, nombreux dans le Parc. « Comme ce sont des naturalistes aguerris, ils ont compris que c’était un crottier, un endroit où les genettes font leurs besoins », raconte Fabien Revest, inspecteur de l’environnement au Parc.
Il décide alors d’aller sur place, pendant la nuit, pour tenter d’observer cet animal. Une bestiole plutôt rare et surtout très discrète, qui se déplace habilement dans les arbres et sort uniquement après le coucher du soleil, pour chasser rongeurs et petits oiseaux. « La première nuit a été payante, sourit Fabien Revest. C’est une espèce qui a un odorat très développé et qui se sauve quand elle vous repère, mais avec une caméra nocturne, on a réussi à observer l’animal. » Et même à le filmer, pendant une vingtaine de secondes.
Cette vidéo réjouit Jean-Yves Bichaton, chef de service départemental à l’Office de la biodiversité. « C’est une bonne nouvelle car c’est une espèce qui est plutôt en déclin en France », note-t-il. De nombreuses genettes sont tuées tous les ans sur les routes de la région PACA. Les agents de l’Office de la biodiversité (ex-Office de la chasse et de la faune sauvage) observent ponctuellement des genettes, notamment en Camargue. « Mais ça reste un animal très discret », rappelle Jean-Yves Bichaton. Ce qui donne encore plus de valeur à la vidéo captée par les agents du Parc national des calanques…
Le lieu exact tenu secret
Il y aurait un peu moins de 10.000 genettes en France. Cette espèce, importée d’Afrique par les Romains, qui utilisaient les genettes comme animaux de compagnie, est protégée depuis les années 1970. Les agents du Parc national refusent d’ailleurs d’indiquer le lieu exact de leur observation, pour éviter que la genette ne soit braconnée – ou dérangée. Ils retourneront prochainement sur place à la recherche d’autres crottiers… et donc d’autres genettes qui rôderaient dans les calanques.
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JEUDI
  OCTOBRE 2020 |
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