
JEUDI
  MAI 2013 |
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Margaret Sullavan est une actrice américaine née le 16 mai 1909 à Norfolk, Virginie.
Née à Norfolk en Virginie, elle déménagea à Boston ou elle s'impliqua dans le club théâtral d'Harvard, dont faisait également partie Henry Fonda. Elle débute dans Close Up en 1929. . Elle joue dans The Devil in the Cheese, ses débuts sur la scène professionnelle. Finalement elle est repérée par Lee Shubert pour sa première pièce à Broadway, A Modern Virgin (1931).
Elle épouse Henry Fonda le 25 décembre 1931. Le mariage ne dure qu'un an, même si Sullavan et "Hank" sont restés des amis leur vie durant.
Margaret part ensuite à Hollywood le 16 mai 1933, à son 22e anniversaire. Elle débute dans Only Yesterday. En 1938, elle est nommée à l'Oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans Trois camarades. Elle partage quatre fois l'affiche avec James Stewart (avec lequel elle et Henry Fonda avaient créé une société anonyme avant d'être célèbres) : Next Time We Love (1936), L'Ange impur (The Shopworn Angel) (1938), La Tempête qui tue et The Shop Around the Corner ( 1940)
Margaret souffrait de dépression et d'une défaillance auditive congénitale de l'oreille gauche, l'otospongiose, qui empira avec l'âge la rendant de plus en plus sourde.
Le 1er janvier 1960, elle est trouvée morte dans une chambre d'hotel à New Haven (Connecticut), d'une overdose de barbituriques. Elle avait 50 ans.
L'une de ses filles, Bridget Hayward, meurt neuf mois plus tard d'une overdose.
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MERCREDI
  MAI 2013 |
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Arletty est née le 15 mai 1898 à Courbevoie (Seine, aujourd'hui Hauts-de-Seine) et décédée le 23 juillet 1992 à Paris. Elle est inhumée au cimetière de Courbevoie.
Connue pour sa gouaille dans la vie comme dans ses rôles - notamment sa fameuse réplique : “Atmosphère, atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?” Lancée à Louis Jouvet dans 'Hôtel du Nord' de Marcel Carné et Henri Jeanson, en 1938 -, Arletty tient son caractère d'une enfance modeste en banlieue parisienne.
Fille d'une blanchisseuse et d'un chef de dépôt de tramway, Léonie Bathiat, de son vrai nom, doit quitter sa ville natale à la mort de son père. A la suite du drame, elle épouse un banquier qui l'emmène vivre à Garches où elle découvre le théâtre, la mode et les moeurs de la haute société parisienne.
Engagée comme mannequin pour la maison de couture Poiret sous le nom d'Arlette, elle devient Arletty sur les planches du Théâtre des Capucines. Très vite, elle apparaît sur les plateaux de cinéma, dirigée par Victor Boucher dans 'La Douceur d'aimer' puis par Jean Choux qui lui donne son premier grand rôle en 1931 dans 'Un chien qui rapporte'. Icône du Paris populaire grâce à Marcel Carné, la comédienne joue dans 'Les Enfants du paradis', écrit par Jacques Prévert en 1943.
Le personnage de Garance constitue le point culminant de sa carrière d'actrice et son rôle le plus marquant. Fidèle à ses réalisateurs, elle jouera de nombreuses fois pour Carné, Prévert, ou encore Sacha Guitry.
Après la guerre, Arletty revient au théâtre où elle rencontre Louis de Funès dans la pièce 'Un tramway nommé désir' de Tennessee Williams, ainsi que Jean-Claude Brialy et Jean Babilé. Mais l'actrice perd progressivement la vue et doit abandonner les plateaux alors qu'elle joue pour Jean Cocteau. Elle prête alors seulement sa voix à plusieurs reportages de 1967 à 1985 et disparaît en 1992, laissant derrière elle une carrière d'actrice impressionnante, qui aura marqué les mémoires et l'histoire du cinéma français.
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VENDREDI
  AVRIL 2013 |
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Constance Talmadge (19 avril 1897 - 23 novembre 1973) était une actrice du cinéma muet, née à Brooklyn, New York, États-Unis.
Elle était la sœur des actrices Norma Talmadge et Natalie Talmadge. Elle apparaît notamment dans Intolérance (1916) de D.W. Griffith dans les rôles de Marguerite de Valois et de la Montagnarde.
Son année de naissance réelle a été souvent remise en cause, Talmadge est en tout cas née dans une famille pauvre. Son père, Fred, était un alcoolique et les a laissés quand elle était encore très jeune. Leur mère, Peg, gagnait sa vie en faisant la lessive. Quand un ami a recommandé que Peg utiliser Norma comme un modèle pour des publicités Peg a accepté. Dès lors tous les trois soeurs ont démarré une carrière d'actrice.
Le premier film de Constance fut En Tenue de mariée (1914)
Constance Talmadge racontait:
"J'aime faire rire les gens. D'abord parce que ce type de travail est facile et naturel pour moi. Je ne suis pas quelqu'un d' émotif. Ma sœur pouvait pleurer de vraies larmes sur deux coussins du canapé en peluche dans une longue robe et bonnet de dentelle blanche, pour ressembler à un bébé mort et elle le faisait de façon si convaincante que 900 personnes à l'avant scène pleuraient avec elle. C'est vrai art, mais mon genre de talent m'aurait conduire si j'avais du faire la même chose à faire hurler de rire les 900 mêmes personnes!"
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JEUDI
  AVRIL 2013 |
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Pierre Fresnay, de son vrai nom Pierre Jules Louis Laudenbach, est né le 4 avril 1897 à Paris 5e et mort le 9 janvier 1975 à l’hôpital américain de Paris, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
Fils de Jean Henri Laudenbach, professeur de philosophie, et de Désirée Claire Dietz (1870-1960), Pierre Fresnay monte sur scène pour la première fois à quatorze ans. Dès 1915, il décroche un premier grand rôle au théâtre dans Le Jeu de l’amour et du hasard. La même année, il débute au cinéma muet avec France d’abord, d’Henri Pouctal.
Pierre Fresnay passe ensuite au cinéma parlant et interprète son premier grand rôle en 1931 dans Marius, premier volet de la trilogie marseillaise de Marcel Pagnol transposée à l’écran par Alexandre Korda. Il interprète ensuite Fanny (1932) et César (1936).
En 1934, il joue Armand Duval au côté d’Yvonne Printemps, qui est sa compagne, dans La Dame aux camélias, de Fernand Rivers. Sa diction incisive lui confère des rôles d’hommes de commandement : officier dans La Grande Illusion de Jean Renoir (1937) en inspecteur dans deux adaptations des romans de Stanislas-André Steeman, Le Dernier des six (1941) et L'assassin habite au 21 (1942) en journaliste (La Bataille silencieuse, Pierre Billon, 1934)
Mais il joue également un bagnard dans Chéri-Bibi, un homme d’église dans Dieu a besoin des hommes (1949) et Le Défroqué (1954) et dans Il est minuit, Docteur Schweitzer (1952) et même en saint Vincent de Paul dans Monsieur Vincent (1947). À la fin de sa carrière cinématographique, il passera au registre comique, dans Les Affreux (1959) et dans Les Vieux de la vieille (1960).
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MERCREDI
  FEVRIER 2013 |
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Merle Oberon (née Estelle Merle O'Brien Thompson le 19 février 1911 à Bombay et décédée le 23 novembre 1979 à Los Angeles) était une actrice britannique d'origine galloise et indienne. Elle fut nommée en 1935 pour l'oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans L'Ange des ténèbres de Sidney Franklin.
Enfance difficle
Née à Bombay (aujourd’hui Mumbai), en Inde, sa mère, Charlotte, était une infirmière anglo-sri-lankaise, et son père, Arthur, un ingénieur ferroviaire britannique.
Sa mère avait abandonné une première fille, Constance, qui était la vraie mère de Merle et juré qu’elle ne serait plus fille-mère. Elle insista donc pour qu’Arthur l’épouse, même s’il n’est pas certain que le mariage ait vraiment eu lieu. En 1914, dans les débuts de la Première Guerre mondiale, alors que Merle est âgée de trois ans, son père meurt au front d’une pneumonie. La mère et la fille mènent alors pendant quelques années une existence précaire à Bombay. En 1917, elles déménagent à Calcutta, où Merle devient boursière du collège privé La Martinière. Sans cesse sujette à des provocations concernant ses origines, elle finit par le quitter pour suivre des cours à domicile.
L'actrice exotique aux yeux en amande actrice cache son passé
Elle fait ses débuts sur les planches avec la Calcutta Amateur Dramatic Society. Elle est sous le charme du cinéma, fréquente les boites de nuit et des hommes plus âgés. Elle y fait la rencontre d’un acteur qui lui promet une introduction auprès de Rex Ingram aux Studios de la Victorine. Merle saisit l’occasion et décide de le suivre en France. Mais quand l’homme découvre sa mère et ses origines métisses, il met fin à leur relation. Merle et sa mère effectuent néanmoins le voyage prévu vers la France. Arrivées à Nice, elles découvrent que l’homme a tenu parole, et Merle est présentée à Rex Ingram qui l’emploie comme figurante.
En 1928, elles quittent la France pour l’Angleterre. Merle y est hôtesse de bar et décroche quelques rôles sous le nom de Queenie O'Brien, figurante sur les films de Victor Saville et sur un autre de Korda. Elle retrouve celui-ci pour son deuxième film crédité (Wedding Rehearsal).
Son premier grand rôle est celui d’Anne Boleyn dans La Vie privée d'Henry VIII (1933) avec Charles Laughton. Elle sera ensuite Cathy dans Les Hauts de Hurlevent (en 1939)
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LUNDI
  FEVRIER 2013 |
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De son vrai nom, Alma Genevieve Reubens, la jeune femme est découverte lorsqu'elle remplace à 19 ans une actrice malade dans une comédie musicale1 et tourne dès 1916 dans un des rôles principaux de Reggie Mixes In. La même année, elle obtient un succès auprès de la critique dans The Half-Breed avec Douglas Fairbanks.
Elle tourne ensuite dans plusieurs films à succès les années suivantes mais, à partir de 1925, ses problèmes de dépendance à l'héroïne la font disparaître peu à peu des écrans. À la fin des années 1920, elle joue sur scène à Hollywood, puis à New-York. Revenue en Californie, affaiblie par la drogue, elle meurt de pneumonie en 1931.
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Alma Rubens, née le 19 février 1897 à San Francisco et morte le 22 janvier 1931 à Los Angeles, était une actrice américaine de l'époque du cinéma muet.
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