
VENDREDI
  AVRIL 2013 |
| VINTAGE GLAMOUR
| |
Constance Talmadge (19 avril 1897 - 23 novembre 1973) était une actrice du cinéma muet, née à Brooklyn, New York, États-Unis.
Elle était la sœur des actrices Norma Talmadge et Natalie Talmadge. Elle apparaît notamment dans Intolérance (1916) de D.W. Griffith dans les rôles de Marguerite de Valois et de la Montagnarde.
Son année de naissance réelle a été souvent remise en cause, Talmadge est en tout cas née dans une famille pauvre. Son père, Fred, était un alcoolique et les a laissés quand elle était encore très jeune. Leur mère, Peg, gagnait sa vie en faisant la lessive. Quand un ami a recommandé que Peg utiliser Norma comme un modèle pour des publicités Peg a accepté. Dès lors tous les trois soeurs ont démarré une carrière d'actrice.
Le premier film de Constance fut En Tenue de mariée (1914)
Constance Talmadge racontait:
"J'aime faire rire les gens. D'abord parce que ce type de travail est facile et naturel pour moi. Je ne suis pas quelqu'un d' émotif. Ma sœur pouvait pleurer de vraies larmes sur deux coussins du canapé en peluche dans une longue robe et bonnet de dentelle blanche, pour ressembler à un bébé mort et elle le faisait de façon si convaincante que 900 personnes à l'avant scène pleuraient avec elle. C'est vrai art, mais mon genre de talent m'aurait conduire si j'avais du faire la même chose à faire hurler de rire les 900 mêmes personnes!"
|
|
|
JEUDI
  AVRIL 2013 |
| VINTAGE GLAMOUR
| |
Pierre Fresnay, de son vrai nom Pierre Jules Louis Laudenbach, est né le 4 avril 1897 à Paris 5e et mort le 9 janvier 1975 à l’hôpital américain de Paris, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
Fils de Jean Henri Laudenbach, professeur de philosophie, et de Désirée Claire Dietz (1870-1960), Pierre Fresnay monte sur scène pour la première fois à quatorze ans. Dès 1915, il décroche un premier grand rôle au théâtre dans Le Jeu de l’amour et du hasard. La même année, il débute au cinéma muet avec France d’abord, d’Henri Pouctal.
Pierre Fresnay passe ensuite au cinéma parlant et interprète son premier grand rôle en 1931 dans Marius, premier volet de la trilogie marseillaise de Marcel Pagnol transposée à l’écran par Alexandre Korda. Il interprète ensuite Fanny (1932) et César (1936).
En 1934, il joue Armand Duval au côté d’Yvonne Printemps, qui est sa compagne, dans La Dame aux camélias, de Fernand Rivers. Sa diction incisive lui confère des rôles d’hommes de commandement : officier dans La Grande Illusion de Jean Renoir (1937) en inspecteur dans deux adaptations des romans de Stanislas-André Steeman, Le Dernier des six (1941) et L'assassin habite au 21 (1942) en journaliste (La Bataille silencieuse, Pierre Billon, 1934)
Mais il joue également un bagnard dans Chéri-Bibi, un homme d’église dans Dieu a besoin des hommes (1949) et Le Défroqué (1954) et dans Il est minuit, Docteur Schweitzer (1952) et même en saint Vincent de Paul dans Monsieur Vincent (1947). À la fin de sa carrière cinématographique, il passera au registre comique, dans Les Affreux (1959) et dans Les Vieux de la vieille (1960).
|
|
|
MERCREDI
  FEVRIER 2013 |
| VINTAGE GLAMOUR
| |
Merle Oberon (née Estelle Merle O'Brien Thompson le 19 février 1911 à Bombay et décédée le 23 novembre 1979 à Los Angeles) était une actrice britannique d'origine galloise et indienne. Elle fut nommée en 1935 pour l'oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans L'Ange des ténèbres de Sidney Franklin.
Enfance difficle
Née à Bombay (aujourd’hui Mumbai), en Inde, sa mère, Charlotte, était une infirmière anglo-sri-lankaise, et son père, Arthur, un ingénieur ferroviaire britannique.
Sa mère avait abandonné une première fille, Constance, qui était la vraie mère de Merle et juré qu’elle ne serait plus fille-mère. Elle insista donc pour qu’Arthur l’épouse, même s’il n’est pas certain que le mariage ait vraiment eu lieu. En 1914, dans les débuts de la Première Guerre mondiale, alors que Merle est âgée de trois ans, son père meurt au front d’une pneumonie. La mère et la fille mènent alors pendant quelques années une existence précaire à Bombay. En 1917, elles déménagent à Calcutta, où Merle devient boursière du collège privé La Martinière. Sans cesse sujette à des provocations concernant ses origines, elle finit par le quitter pour suivre des cours à domicile.
L'actrice exotique aux yeux en amande actrice cache son passé
Elle fait ses débuts sur les planches avec la Calcutta Amateur Dramatic Society. Elle est sous le charme du cinéma, fréquente les boites de nuit et des hommes plus âgés. Elle y fait la rencontre d’un acteur qui lui promet une introduction auprès de Rex Ingram aux Studios de la Victorine. Merle saisit l’occasion et décide de le suivre en France. Mais quand l’homme découvre sa mère et ses origines métisses, il met fin à leur relation. Merle et sa mère effectuent néanmoins le voyage prévu vers la France. Arrivées à Nice, elles découvrent que l’homme a tenu parole, et Merle est présentée à Rex Ingram qui l’emploie comme figurante.
En 1928, elles quittent la France pour l’Angleterre. Merle y est hôtesse de bar et décroche quelques rôles sous le nom de Queenie O'Brien, figurante sur les films de Victor Saville et sur un autre de Korda. Elle retrouve celui-ci pour son deuxième film crédité (Wedding Rehearsal).
Son premier grand rôle est celui d’Anne Boleyn dans La Vie privée d'Henry VIII (1933) avec Charles Laughton. Elle sera ensuite Cathy dans Les Hauts de Hurlevent (en 1939)
|
|
|
|


Les posts plus lus dans la rubrique Jean Gabin 4974 , le 17/05/2014 Louise Brooks 2586 , le 14/11/2012 Marlene Dietrich 2192 , le 27/12/2013 Sessue Hayakawa 1850 , le 10/06/2013 Yvonne Printemps 1702 , le 30/07/2014 01/11/2010 1670 , le 01/11/2010 Ida Rubinstein 1622 , le 05/10/2014 Rose Stradner 1583 , le 31/07/2013 Noels d'autrefois 1461 , le 05/01/2012 Elvire Popesco 1383 , le 10/05/2015 Fred Astaire 1353 , le 31/03/2014 22/07/2011 1315 , le 22/07/2011 19/04/2011 1218 , le 19/04/2011 20/09/2011 1206 , le 20/09/2011 03/01/2012 1193 , le 03/01/2012
LUNDI
  FEVRIER 2013 |
| VINTAGE GLAMOUR
| |
De son vrai nom, Alma Genevieve Reubens, la jeune femme est découverte lorsqu'elle remplace à 19 ans une actrice malade dans une comédie musicale1 et tourne dès 1916 dans un des rôles principaux de Reggie Mixes In. La même année, elle obtient un succès auprès de la critique dans The Half-Breed avec Douglas Fairbanks.
Elle tourne ensuite dans plusieurs films à succès les années suivantes mais, à partir de 1925, ses problèmes de dépendance à l'héroïne la font disparaître peu à peu des écrans. À la fin des années 1920, elle joue sur scène à Hollywood, puis à New-York. Revenue en Californie, affaiblie par la drogue, elle meurt de pneumonie en 1931.
|
|
|
|
|
|
Alma Rubens, née le 19 février 1897 à San Francisco et morte le 22 janvier 1931 à Los Angeles, était une actrice américaine de l'époque du cinéma muet.
| |
|
|
|
MERCREDI
  JANVIER 2013 |
| VINTAGE GLAMOUR
| |
Née Vilma Konsics Bánky le 9 janvier 1898 à Nagydorog, alors en Autriche-Hongrie, l'actrice fait ses premiers pas au cinéma en 1919 dans une production allemande "Im letzten Augenblick" de Carl Boese.
Quand Samuel Goldwyn, de passage à Budapest en 1925, remarque cette jolie blonde aux yeux violets, la carrière de Vilma Bánky est déjà bien lancée en Europe. Elle a tourné dans des productions hongroises, allemandes, autrichiennes et françaises. Elle obtient un contrat de cinq ans avec la toute nouvelle Metro-Goldwyn-Mayer et part s'installer à Hollywood.
Elle tourne alors dans L'Ange des Ténèbres (1925) de George Fitzmaurice aux côtés de Ronald Colman qui sera par la suite son partenaire dans quatre autres films.
Le couple Bánky-Colman fonctionne si bien à l'écran que Goldwyn invente une liaison à la ville pour ses deux stars.
Mais l'actrice annonce bientôt publiquement ses fiançailles puis son mariage avec l'acteur Rod La Rocque qu'elle épouse en juin 1927.
Ce mariage est l'occasion d'une fête somptueuse mise en scène par la Metro Goldwyn Mayer, fête qui est restée dans toutes les mémoires de cette époque à Hollywood. Elle restera son épouse durant quarante-deux ans jusqu'à la mort de celui-ci en 1969.
L'année 1928 marque un tournant dans la carrière de la « Rhapsodie hongroise », comme on la surnomme à Hollywood.
Après le succès de Two Lovers de Fred Niblo - véritable mélo où le duo fait merveille - les choses se compliquent avec l'avènement du cinéma parlant. C'est un vrai problème pour Vilma qui parle anglais avec un fort accent hongrois. Goldwyn la somme de parler correctement ou de partir.
Alfred Santell parvient dans This is Heaven (1929) a contourner la difficulté en faisant jouer à l'actrice le rôle d'une employée de restaurant immigrée hongroise. Cependant, la carrière de Vilma s'essouffle rapidement. Elle part tourner en Allemagne The Rebel (1932) qui sera son dernier film.
Elle meurt à Los Angeles en 1991 à l'âge de 93 ans. Elle est incinérée et ses cendres sont dispersées en mer. Son décès n'a été publiquement révélé qu'en 1992.
|
|
|
MERCREDI
  NOVEMBRE 2012 |
| VINTAGE GLAMOUR
| |
Louise Brooks , née Mary Louise Brooks le 14 novembre 1906 à Cherryvale (en) (Kansas) est morte le 8 août 1985 à Rochester (État de New York).
Louise Brooks est connue pour ses rôles dans les films muets des années 1920 aux États-Unis mais aussi, pour trois de ses films européens en 1929 et 1930, Loulou, Le Journal d'une fille perdue et Prix de beauté.
Darkwoods vous présente ici un lien concernée à elle ainsi qu'aux années 1920-1930:
http://www.louisebrooks.ws
Un lien très précieux sur elle, mais américain:
http://www.pandorasbox.com
Née au Kansas , ses parents sont quelque peu « absents », bien qu'ils lui donnent le goût des livres et de la musique — (sa mère était une pianiste de talent jouant Debussy et Satie)
Encore adolescente, elle débute sa carrière d'artiste comme danseuse dans la compagnie de danse moderne " Denishawn", où se trouvent également Martha Graham, Ruth Saint Denis et Ted Shawn. Après son départ en raison d'une brouille due à son caractère trop obstiné, elle se tourne vers des amis influents et obtient bientôt un rôle de danseuse dans les Ziegfeld Follies à Broadway, où elle se fait immédiatement remarquer par les studios américains (à l'époque basés à New York).
Elle signe chez Paramount Pictures où elle passera la plus grande partie de sa carrière. En 1925, elle obtient un rôle dans le film muet The Street of Forgotten Men. Bientôt, elle obtient les premiers rôles dans un certain nombre de comédies légères, jouant notamment aux côtés d'Adolphe Menjou et W. C. Fields. Elle se fait remarquer en Europe grâce à son rôle pivot d'une vamp dans le film muet de Howard Hawks, Une fille dans chaque port (1928).
Elle trouve un de ses grands rôles américains dans l'un des derniers films muets, Les Mendiants de la vie (1928), jouant le rôle d'une fille de la campagne en fuite, avec Richard Arlen et Wallace Beery qui interprètent des clochards qu'elle croise en route.
À cette période de sa vie, elle est au firmament. Elle est régulièrement invitée par le milliardaire William Randolph Hearst, dans sa propriété de Hearst Castle. Sa coiffure si unique représente celle des « flappers », les « garçonnes »... qu'ont retrouve dans le monde entier.
Peu après le tournage du film, Louise se brouille avec les studios Paramount (surtout B.P. Schulberg qui lui ai refusé une augmentation). Ceci lui bloque les portes désormais du tout Hollywood. Ce problème de passage du muet au parlant n'est pas sans rappeler celui de Chaplin, dont elle fut l'amante éphémère en 1925
Elle part en Europe tourner sous la direction de G.W. Pabst, le célèbre réalisateur expressionniste allemand
Dans Loulou (1929), son rôle de Loulou est celui d' une jeune femme misérable aux prises avec les hommes en général (et meme Jack l'éventreur...).
Louise joue ensuite deux films, allemand d'abord Le Journal d'une fille perdue (1929) et français Prix de beauté (1930)
Louise est considérée comme l'une des premières actrices « naturelles » du cinéma, son jeu étant subtil et nuancé par rapport à de nombreux acteurs du cinéma muet. Le gros plan était en vogue chez les réalisateurs, et le visage de Louise s'y prêtait parfaitement.
Louise a toujours été égocentrique, parfois d'un caractère difficile, et elle n'hésitait pas à user de sa verve acidulée lorsque l'occasion s'en présentait. De son propre aveu, c'était une femme libérée, encline aux expériences.
Elle était également dépensière, mais gentille et généreuse envers ses amis, presque à l'excès. Lorsqu'elle retourne à Hollywood, elle est sur la liste noire et ne peut reconquérir son succès d'antan. Des rumeurs propagées par les studios laissent entendre que sa voix n'est pas adaptée aux films parlants, ce qui est faux.
En 1938, après avoir été humiliée de se retrouver dans des films de série B où les studios l'avaient casée pour lui faire regretter son dédain d'antan, elle se retire du show business, et retourne à Wichita (Kansas), la ville de son enfance.
Elle est décédée en Aout 1985 a l'age de 78 ans a Rochester, Etat de New York
|
|
|
MERCREDI
  NOVEMBRE 2012 |
| VINTAGE GLAMOUR
| |
Marie Prevost est une actrice canadienne née le 8 novembre 1898 à Sarnia (Canada) et décédée le 21 janvier 1937 à Hollywood (Californie).
Née Mary Bickford Dunn à Sarnia, Ontario, elle est encore enfant lorsque la famille s'installa à Denver, Colorado puis à Los Angeles, Californie.
Alors secrétaire, elle postula et obtint un petit rôle dans le studio dirigé par Mack Sennett. Sennett, qui venait d'une petite ville située près de Montréal, en fit une exotique "French girl", ajoutant Dunn à sa collection de "bathing beauties" sous le nom de scène de Marie Prevost.
En 1919, elle épouse en secret Sonny Gerke qui la quitte après six mois de mariage. Gerke, dont la mère avait interdit de fréquenter Prevost car elle était une actrice, craignait de lui apprendre son mariage et ne pouvait divorcer sans réveler son union secrète. De son côté, Prevost craignait la mauvaise publicité d'un divorce et resta secrétement mariée à Gerke jusqu'à 1923.
Bien que sa carrière est florissante, Prévost est dévastée quand sa mère est tuée dans un accident de voiture en 1926. Soi-disant, c'est à ce moment-là qu'elle se mit à boire. Elle a également un rôle dans le film dans Cecil B. DeMille "Godless Girl" (1929), mais il fait un flop au box-office. La venue du film parlant marque la fin de sa célébrité comme pour de nombreuses autres stars du box office, bien que Marie avait une voix parfaitement bien. Elle n'était plus "l'étoile" et fut bientôt reléguée au seconds rôles, soit comique soit comme femme du monde. Elle est apparue dans 23 films de 1930 à 1936, de nombreuses fois avec quelques-unes des plus grandes stars de la décennie - Joan Crawford, Clark Gable, Jean Harlow, etc
Alors ses finances ont commencé à disparaître et, en 1934 elle a dû vendre sa maison à Malibu. Elle buvait beaucoup, mais mangeait peu. Elle est morte d'alcoolisme et de malnutrition 21 janvier 1937, à l'âge de 38 ans.
|
|
|
|