
DIMANCHE
  NOVEMBRE 2023 |
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Le Lieutenant Commandant George Pearson Glen Kidston est né le 23 janvier 1899
Pilote automobile et aviateur britannique, il fut l'un de ce qu'on a appelé les Bentley Boys.
Durant le premier conflit mondial, il sert dans la Royal Navy.
Le 22 septembre 1914, il est torpillé à deux reprises à bord des navires HMS Aboukir puis Hogue, coulés coup sur coup par le commandant d'U-9 Otto Weddigen.
Il participe ensuite à la bataille du Jutland, et devient ultérieurement commandant sous-marinier.
Il aide également à la mise au point du HMS X1, et fin 1926 il assume les responsabilités de Lieutenant Commander à bord du Beardmore H24, un bâtiment de classe H.
En 1929 il termine second de la Éireann Cup à Phoenix Park sur Bentley lors du Grand Prix d'Irlande, (vainqueur Boris Ivanowski, troisième Sir Henry Birkin également sur Bentley).
Durant cette période il court avec une Bugatti personnelle pour la première fois de la marque une épreuve en Grande-Bretagne.
Il finit encore deuxième lors des 24 Heures du Mans, associé à Jack Lawson Dunfee sur une Bentley 4½ Litre.
À la fin de l'année il échappe une nouvelle fois de peu à la mort, lors d'un accident d'avion près de Croydon; souffrant de brûlure étendues il est hospitalisé.
En 1930, il remporte les 24 Heures du Mans avec Woolf Barnato, au volant d'une Bentley Speed Six (quatre voitures de la marque aux quatre premières places).
Auparavant en janvier, il participe au Rallye Monte-Carlo sur Bentley 4.5 litre Gurney Nutting FH Coupe (abandon).
Glen Kidston s'illustre alors comme aviateur, reliant notamment Londres au Cap en 6 jours et 10 heures à bord de son propre monoplan Lockheed Vega le 6 avril 1931, soit 12 900 kilomètres à une vitesse moyenne record de 211km/h.
Le 5 mai 1931, il perd la vie dans un accident d'avion à Mauba en Afrique du Sud, avec son compagnon de route l'aviateur sud-africain Gladston à bord d'un de Havilland DH.80A Puss Moth disloqué en vol en traversant une tempête de sable au-dessus des montagnes du Drakensberg.
Une stèle locale faite d'une hélice en aluminium sertie dans le marbre commémore la tragédie pour les aviateurs de passage.
Barbara Cartland -qui le connut intimement- prénomma son fils Glen en son honneur.
Il est enterré au cimetière de St. Peter's (Glasbury-upon-Wye).
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MARDI
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Bonjour à tous! Comme chaque année le 14 Novembre est une date spéciale sur Cocktail93, l'occasion de fèter une des stars de notre site: Louise Brooks
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Le site n'est pas que sur Louise: sur les années 30 en général, le jazz, le cinéma, l'architecture, les journaux de l'époque
Comme partout sur internet, je n'ai pas les droits donc ces données seront un jour bloqué par Google ou un autre et donc perdus à jamais car les seules personnes qui sont à meme de "conserver" notre patrimoine, national ou mondial, sont des gens comme vous et moi
Pour les autres, si ça ne rapporte pas de pognon, pas la peine de le conserver
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 MARDI
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VENDREDI
  OCTOBRE 2023 |
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Erich Maria Remarque, né Erich Paul Remark, né le 22 juin 1898 à Osnabrück, mort le 25 septembre 1970 à Locarno, Suisse, est un écrivain allemand.
Son livre À l'Ouest, rien de nouveau (Im Westen nichts Neues), roman pacifiste sur la Première Guerre mondiale, connut, dès sa parution en 1929, un succès mondial retentissant
Il reste un ouvrage-phare sur le premier conflit mondial.
Ce livre fut brûlé lors des autodafés nazis dès 1933. Remarque s'exila en Suisse, puis aux États-Unis et y obtint sa naturalisation en 1947.
Jeunesse
Erich Paul Remark est né le 22 juin 1898 à Osnabrück en Allemagne, de Peter Franz Remark, (relieur) et de Anna Maria (née Stallknecht).
À la fin de ses années de la Volksschule (école obligatoire) (1904-1912), il fréquente le séminaire catholique de formation des maîtres.
Après avoir passé ses examens dans l'urgence, il est incorporé dans l'armée en 1916 et envoyé sur le front de l'Ouest en juin 1917, où il est blessé dès la fin juillet par des éclats de grenade, au cou et aux membres.
Bien que dans son célèbre roman, À l'Ouest, rien de nouveau, le héros Paul Bäumer soit un engagé volontaire, Remarque est mobilisé et non pas volontaire.
À la fin de la guerre, en 1918, il se retrouve à l'hôpital militaire de Duisbourg.
Remarque passe son habilitation à l'enseignement et le 1er août 1919, mais cette carrière s'achève le 20 novembre 1920.
Son premier roman de jeunesse, La Baraque de rêve (Die Traumbude), est un échec.
Il s'essaie alors à divers emplois à Osnabrück, comme comptable, vendeur de pierres tombales, professeur de piano, organiste, libraire.
Journalisme et aventure amoureuse
Il devient journaliste à la Osnabrücker Tages-Zeitung, l'Echo-Continental (Journal de l'entreprise du même nom), Hanovre (1922) et Sport im Bild, Berlin (1924).
Il utilise son nom de plume complet, Erich Maria Remarque, dès 1925.
Le 14 octobre 1925, il épouse Ilse JuttaJeanne Zambona (née le 15 août 1901 à Hildesheim et décédée en 1975).
Il s'habille alors avec élégance, porte monocle et rêve de s'intégrer dans la société bourgeoise.
En 1926, il achète le titre de Baron de Buchenwald pour 500 Reichsmarks à un noble ruiné, Hugo von Buchenwald, qui l'adopte afin de lui transmettre le titre.
À l'Ouest, rien de nouveau
Le 1er février 1927, il quitte l'Église catholique et sa femme Ilse Jutta Zambona.
Vers la fin de l'année, il commence l'écriture d’À l'Ouest, rien de nouveau (en allemand Im Westen nichts Neues).
En mars 1928, l'éditeur S. Fischer refuse de publier le roman, mais en août, Ullstein l'accepte et signe un contrat avec Remarque qui est alors responsable du contenu éditorial de Sport im Bild qu'il quittera le 15 novembre.
Le 29 janvier 1929, Remarque vit à Davos jusqu'en avril ; c'est alors que la presse nationaliste allemande prétend qu'il est juif et que son vrai nom est Kramer (anagramme de Remark).
Le Polonais Sigismond Cybichowski suggère le nom de Remarque pour le prix Nobel de littérature.
Cette même année, il entreprend l'écriture d'Après (Der Weg zurück).
1930 commence par son divorce avec Ilse Jutta Zambona, puis en mars est publié L'Ennemi (Der Feind).
Le 29 avril, c'est la première aux États-Unis de l'adaptation cinématographique d'À l'Ouest, rien de nouveau de Lewis Milestone.
Le film sort le 4 décembre en Allemagne, des émeutes dans les cinémas sont organisées par Joseph Goebbels et les sympathisants du parti nazi.
Le 11 décembre, le film est interdit en Allemagne par le Film-Oberprüfstelle, le comité de censure cinématographique de l'époque.
Lewis Milestone est récompensé par 2 oscars (celui du meilleur réalisateur et du meilleure film) la même année.
En 1931, le professeur Sigismond Cybichowski suggère son nom et celui de Nicholas Butler pour le Prix Nobel de la paix.
Cette année-là, il pétitionne contre l'interdiction du film À l'Ouest, rien de nouveau et il achète la maison Casa Monte Tabor à Porto Ronco en Suisse.
Exil
En 1933, après quelques démêlés judiciaires orchestrés par les nazis en 1932, Remarque quitte l'Allemagne.
À Berlin, les livres de Remarque sont brûlés sur la place publique comme ceux d'Adrienne Thomas et d'Heinrich Heine.
Émigrant aux États-Unis
Fin août 1939, il part pour les États-Unis, à bord du Queen Mary puis se rend à Los Angeles, où il est à nouveau en compagnie de Marlene Dietrich
Il se lie d'amitié avec Elisabeth Bergner, Paul Czinner, Orson Welles, Igor Stravinsky, Arthur Rubinstein, Bertolt Brecht et bien d'autres grands de l'industrie cinématographique ainsi que des émigrants allemands.
En 1940, il rencontre pour la première fois Paulette Goddard et Greta Garbo alors qu'il se brouille avec Marlene Dietrich.
Dès lors, Remarque travaillera intensément pour le cinéma.
Retour en Europe
Le 25 février 1958, il épouse l'actrice américaine Paulette Goddard à Branford (Connecticut).
Dès le début des années 1960, il rentre en Europe et ne retourne aux États-Unis qu'épisodiquement.
Il voyage beaucoup, écrit et est interviewé par nombre de journalistes.
Il meurt le 25 septembre 1970 à Locarno, et repose dans le cimetière de Ronco sopra Ascona.
Sa veuve, Paulette Goddard, qui lui survit de vingt ans, édite le dernier roman d’Erich, Shadows in Paradise, en 1971.
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JEUDI
  OCTOBRE 2023 |
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Tamara Tempicka (prononciation polonaise : Ouèmpitska), connue en France sous le nom Tamara de Lempicka, née Maria Górska le 16 mai 1898 à Varsovie (Pologne, alors dans l'Empire russe) et morte le 18 mars 1980 à Cuernavaca (Mexique), est une peintre polonaise représentative du mouvement Art déco.
Biographie
Fille de Boris Górski, un juif russe, et d'une mère polonaise, son enfance se passe dans un milieu aisé et cultivé entre Saint-Pétersbourg, Varsovie et Lausanne.
En 1914, elle est retenue par la guerre à Saint-Pétersbourg où elle s'inscrit à l'Académie des Beaux-Arts.
Elle épouse en 1916 Tadeusz Łempicki (1888-1951), un jeune avocat polonais.
La révolution d'Octobre bouleverse sa vie et, après un détour par Copenhague, elle gagne Paris où elle est recueillie par ses cousins qui l'ont précédée dans l'exil.
Tamara commence alors avec beaucoup de ténacité une carrière de peintre.
En 1920, à l'académie Ranson, elle reçoit l'enseignement de Maurice Denis et à l'académie de la Grande Chaumière celle d'André Lhote.
C'est là qu'elle forge petit à petit son style qui, dans une synthèse inattendue de l'art maniériste de la Renaissance et du néo-cubisme, va correspondre parfaitement à la mode de son époque.
Sa première exposition personnelle a lieu à Milan en 1925 et c'est là qu'elle fait la connaissance de Gabriele D'Annunzio et de son entourage, aussi aristocratique qu'excentrique.
De retour en France, elle participe pleinement à la vie artistique et mondaine parisienne où elle rencontre de nouveaux modèles : André Gide, Suzy Solidor, de riches industriels, des princes russes émigrés, etc.
En 1928, elle installe sa maison-atelier au no 7 de la rue Méchain, dans le 14e arrondissement de Paris, conçue par l'architecte Robert Mallet-Steven.
En 1929, appelée par Rufus Bush, un riche Américain qui lui a commandé le portrait de sa fiancée, Tamara de Lempicka fait son premier voyage à New York.
Outre le portrait de commande, elle exécutera sur place plusieurs tableaux, dont des études de gratte-ciel.
Elle divorce en 1928 pour se remarier, en 1933, avec le baron Raoul Kuffner (1886-1961).
Fuyant les menaces de guerre, elle s'installe aux États-Unis en 1929 où elle fait trois expositions à New York et à San Francisco chez Paul Rheinardt et chez Julien Levy.
Après-guerre, son œuvre tombe dans un profond oubli jusqu'à ce que la redécouverte de l'Art déco, dans les années 1970, fasse ressurgir son nom.
Tamara de Lempicka est bisexuelle et l'assume publiquement.
Ses œuvres
Avec une stylisation néo-cubiste, ses œuvres, principalement des portraits, se caractérisent par un modelé accentué, des couleurs vives mais dans une gamme restreinte, mises en valeur par des fonds gris ou noirs.
La composition très resserrée s'inspire du cadrage cinématographique.
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MERCREDI
  SEPTEMBRE 2023 |
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Leatrice Joy (7 novembre 1893 - 13 mai 1985) est une actrice américaine surtout active à l'époque du cinéma muet.
Enfance et débuts
Leatrice Joy Zeidler est née à La Nouvelle-Orléans.
Elle adopta le nom de scène de Leatrice Joy pour ses débuts au théâtre.
Elle fit ses débuts au cinéma en 1915, pour la Nola Film Company, une petite compagnie basée à La Nouvelle-Orléans.
En 1917, elle s'installa à Hollywood, alors nouveau centre cinématographique, et commença à jouer dans des courts-métrages comiques avec Billy West et Oliver Hardy.
Elle fut prise sous contrat par les studios de Samuel Goldwyn, pour qui elle joua d'abord avec Mary Pickford en 1917 dans The Pride of the Clan.
Dès 1920, sa carrière avait décollé et elle était devenue une actrice très populaire, jouant les premiers rôles face à Wallace Beery, Conrad Nagel, Nita Naldi et Irene Rich.
Elle jouait souvent des rôles de femme forte et indépendante, bien en phase avec l'atmosphère libérée des Roaring Twenties (les "rugissantes années 1920"), qui étaient appréciés du public, particulièrement féminin.
Ses cheveux coupés courts et son personnage un peu "garçon manqué" (elle joua plusieurs femmes qu'on prenait par erreur pour des jeunes gens) devinrent à la mode.
Pour cette raison, Cecil B. DeMille chercha à l'engager et lui fit signer un contrat avec Paramount Pictures en 1922.
Immédiatement, il la mit en scène avec Conrad Nagel dans Le Détour (Saturday Night), qui remporta un grand succès, puis avec Thomas Meighan dans le mélodrame Le Réquisitoire (Manslaughter).
Elle joua dans de nombreux autres succès de la Paramount et fut l'objet d'importantes campagnes publicitaires en tant que protégée de Cecil B. DeMille.
Films parlants et retraite
En 1925, contre l'avis des studios, Joy quitta Paramount et suivit DeMille à la nouvelle Producers Distributing Corporation.
Elle y participa à quelques succès mineurs, notamment au dernier film muet de Lois Weber The Angel of Broadway en 1927.
Un désaccord professionnel conduisit à sa rupture avec DeMille en 1928, et elle signa avec la Metro-Goldwyn-Mayer.
Elle fut la tête d'affiche du second film partiellement parlant de la MGM, The Bellamy Trial en 1928, face à Betty Bronson et Margaret Livingston.
Sa carrière commença à battre de l'aile avec l'essor du parlant.
La raison en serait en partie son fort accent du sud, considéré comme peu distingué par rapport à la diction raffinée de la côte est des nouvelles actrices.
En 1929, elle se retrouva sans contrat.
Au début des années 1930, Joy était en semi-retraite du cinéma, mais elle fit plus tard des apparitions dans quelques films au succès mineur, par exemple en 1951 dans Nid d'amour (Love Nest), où figurait la jeune Marilyn Monroe.
Elle mit un terme à sa carrière en 1954.
En 1980, elle apparut dans la série télévisée documentaire Hollywood: A Celebration of the American Silent Film, où elle parla de sa relation avec l'acteur John Gilbert.
Vie personnelle
Leatrice Joy épousa John Gilbert en 1922.
Ils eurent une fille, Leatrice Gilbert Fountain, mais divorcèrent en 1924, Gilbert étant un coureur de jupons.
Joy épousa William S. Hook en 1931.
À la fin de sa vie, elle se retira à Greenwich (Connecticut).
Elle mourut en 1985 d'anémie aiguë à Riverdale (New York) et fut inhumée au cimetière de l'église épiscopale du Saint Sauveur (Saint Savior Episcopal Churchyard) à Old Greenwich, dans le Connecticut.
Elle fut honorée d'une étoile sur le Hollywood Walk of Fame, au 6517 de Hollywood Blvd.
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LUNDI
  AOUT 2023 |
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Madeline (Madeleine) (New York, 15 novembre 1900 – New York, 15 janvier 1989) et sa jumelle Marion Fairbanks (New York, 15 novembre 1900 - Géorgie, 20 septembre 1973) étaient deux actrices de théâtre et cinéma muet.
Jeunesse
Leur mère était l'actrice Jennie M. Fairbanks, et leur père était le fils de Nathaniel Fairbanks, un soldat de la Guerre de Sécession et descendant de Jonathan Fairbanks, un héros de la Révolution. Elles avaient un grand frère, Robert. Elles furent éduquées avec des professeurs particuliers.
Carrière
Elles commencent avec de nombreux œuvres théâtrales et la compagnie Biograph les engage vers 1910, puis elle travaille pour Thanhouser Film Corporation de 1912 à 1916. En 1923, Madeline commence à faire des œuvres dramatiques et Marion continue en solitaire avec des musicaux jusqu'à ce qu'elles se rejoignent à nouveau en 1924, avec l'œuvre théâtrale de George White, Scandals, et en 1926 avec la comédie musicale de George et Ira Gershwin Oh, Kay !
Dernières années
Marion travaille plus tard pour la compagnie new-yorkaise Waldorf Theater vers 1932 et selon quelques sources, elle dirige ensuite une franchise cosmétique. Elle n'a pas d'enfants et devient alcoolique.
Madeline se marie avec Leonard Sherman en 1937 et ils se séparent en 1947. Elle habite à New York, jusqu'à sa mort d'un problème pulmonaire en 1989.
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DIMANCHE
  AOUT 2023 |
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Drucilla Anna Strain est la fille de Robert Strain (1893-1950) et d'Anna Fallon (1894-1981)
Elle a été photographiée par Alfred Cheney Johnston qui a travaillé pour Florenz Ziegfeld pendant plus de 15 ans, prenant principalement des photographies publicitaires et promotionnelles des interprètes des Ziegfeld Follies
Carrière
Drucilla Strain débute à Broadway dans la comédie musicale Follow Thru au Chanin's 46th Street Theatre en 1929, puis joue dans The New Yorkers en 1930, dans Ballyhoo of 1932
Elle apparaitra par la suite dans
-Anythings Goes de Cole Porter en 1934
-On Your Toes en 1936
-Boys and Girls Together en 1940
-The Lady Comes Across en 1942
-Jackpot en 1944
-Dancing in the Streets en 1943, à Boston; dans le spectacle de magie et de variété, The Mercury Wonder Show , produit par Orson Welles au Mercury Theatre de New York en 1943, comme divertissement pour les soldats américains
-A Broadway, dans Hollywood Pinafore en 19457
-dans Nellie Bly et dans Around the World in Eighty Days en 1946
Drucilla est née le 24 février 1913 à New York, État de New York, États-Unis et est décédée en 1994
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LUNDI
  JUILLET 2023 |
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Jean René Lacoste (dit Le Crocodile, ou L'Alligator), né le 2 juillet 1904 à Paris et décédé à Saint-Jean-de-Luz au Pays basque le 12 octobre 1996, est un champion de tennis français.
Il fut également le fondateur de la marque Lacoste
Biographie
Son père Jean-Jules, né le 28 novembre 1861 à Bourg sur Gironde, dirigeant de la firme automobile Hispano-Suiza, Chevalier (1917) puis officier (1925) et commandeur (1932) de la Légion d'Honneur fut finaliste du premier championnat de France d'aviron à Mâcon en 1890.
Sa mère était Marie Madeleine Larrieu Let, née le 28 janvier 1874 à Aiffres et décédée le 8 avril 1946 à Asnières.
Son surnom "Le crocodile" lui a été attribué par la presse américaine, à la suite d'un pari qu'il avait fait en 1926 avec le capitaine de l'équipe de Coupe Davis, qui lui avait promis une valise en peau de crocodile s'il remportait une victoire importante.
L'un des « Quatre Mousquetaires » du tennis français qui remportèrent la Coupe Davis pour la France de 1927 à 1932, René Lacoste est le premier à avoir réussi, bien avant Yannick Noah, aussi bien sa carrière de joueur que sa reconversion professionnelle… pas en tant que chanteur mais comme designer : ses chemises Lacoste sont presque devenues un nom commun dans le monde de la mode et du prêt-à-porter.
Il était à sa mort, le 12 octobre 1996, le dernier des « Quatre », Jean Borotra étant décédé en 1994, Henri Cochet en 1987 et Jacques Brugnon en 1978.
Il eut le temps de voir la victoire de Yannick Noah à Roland-Garros en 1983 après une attente de 37 ans et surtout, la victoire française face à l'équipe de Pete Sampras lors de la coupe Davis 1991 après 59 ans d'attente.
Il décède 1 mois avant la victoire française de la coupe Davis 1996.
René Lacoste était également un inventeur.
Parmi ses inventions, on compte notamment, en 1963, la première raquette de tennis en acier : une révolution dans le domaine du tennis qui a mis en cause la suprématie de la raquette en bois et ouvert la voie aux modèles d'aujourd'hui.
Cette raquette a gagné 46 titres de tournois du Grand Chelem de 1966 à 1978, distribuée aux États-Unis par Wilson, elle a été utilisée notamment par Jimmy Connors et Billie Jean King.
Il a été nommé officier de la Légion d'honneur en 1977, et président d'honneur de la FFT.
Il est également membre du International Tennis Hall of Fame depuis 1976.
René Lacoste meurt d'un cancer le 12 octobre 1996.
Vie privée
Il se marie le 30 juin 1930 à la golfeuse Simone Thion de la Chaume née le 24/11/1908 et décédée le 04/09/2001 à Saint-Jean-de-Luz, avec laquelle il aura quatre enfants:
Palmarès
Coupe Davis (entre 1923 et 1928 : 51 matchs disputés dont 40 victoires) :
-26 sélections
-Vainqueur en 1927 (il remporte alors ses 2 simples) et 1928
-Simple : 32 victoires - 8 défaites
-Double : 8 victoires - 3 défaites
Internationaux de France
-Simple : vainqueur en 1925, 1927 et 1929 ; finaliste en 1926 et 1928
-Double : vainqueur en 1925 et 1929 ; finaliste en 1927
Tournoi de Wimbledon :
-Simple : vainqueur en 1925 et 1928 ; finaliste en 1924
-Double : vainqueur en 1925
US Open :
-Simple : vainqueur en 1926 et 1927
-Double mixte : finaliste en 1926 et 1927
Championnat de France international de tennis (ces titres ne sont pas considérés comme titres du Grand Chelem car ce championnat n'était pas ouvert à tous les étrangers jusqu'en 1924 inclus)
-Simple : finaliste en 1924
-Double : vainqueur en 1924 (avec Jean Borotra)
Soit 10 titres du Grand Chelem, dont 7 titres en simple.
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