Cocktail93




DIMANCHE

JUILLET
2020
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Depuis longtemps l'Homme s'interroge sur la question suivante : « Sommes-nous seuls dans l'Univers ? ». Ce qui entraîne la question de savoir s'il existe ou non d'autres planètes sur lesquelles pourraient se développer d'autres formes de vie. Christiaan Huygens est le premier astronome à envisager l'utilisation des instruments d'observation afin de détecter de telles planètes.
Au cours du XXe siècle, grâce aux progrès technologiques des télescopes, tels que les détecteurs à couplage de charge (CCD), le traitement d'image, ainsi que le télescope spatial Hubble, qui permettent des mesures plus précises du mouvement des étoiles, beaucoup d'astronomes pensent détecter des planètes extrasolaires. Dans les années 1980 et au début des années 1990, quelques annonces sont faites, reprises dans les média, puis, après vérifications (cela peut prendre des mois, des années), finalement démenties (c'est la force de la méthode scientifique). La communauté astronomique se désespère, et certains en concluent déjà que le système solaire ne serait peut-être qu'une singularité... Il faut attendre l'année 1995 pour que la découverte de la première exoplanète soit confirmée.
par MANTEAU  42

LUNDI

JUIN
2020
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  7

LIEN

VENDREDI

AVRIL
2020
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
La start-up Mojo dévoile des lentilles de contact capables de superposer des images de réalité augmentée directement sur les yeux. Ce n’est pas la première tentative dans ce domaine, mais selon un journaliste d’IEEE Spectrum qui a testé un prototype lors du dernier CES de Las Vegas, les résultats sont impressionnants. L’entreprise compte dans un premier temps proposer ces lentilles à des personnes malvoyantes en surlignant les objets qui entrent dans leurs champs de vision, avant de décliner de futures versions qui intégreront du texte ou de la reconnaissance faciale.
Pourquoi on en parle. De Black Mirror au film de Netflix Anon, l’idée de discrètes lentilles ajoutant diverses informations à la vision a nourri de nombreuses dystopies. Si l’on ignore les conséquences sociales d’une telle technologie, sa mise au point demeurait largement un fantasme depuis dix ans. Diverses lentilles augmentées de circuits électroniques avaient déjà été mises au point, mais c’était à des fins de diagnostic, par exemple du glaucome, ce que fait la start-up Sensimed, issue de l’EPFL. Mojo est ainsi la première entreprise à avoir miniaturisé un écran 14k ainsi qu’une antenne sans fil et des capteurs pour diffuser des images directement sur la rétine. Ne manque désormais plus que la batterie.
par Fabrice Delaye / heidi.news
par MANTEAU  11

LUNDI

MARS
2020
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
COVID ou pas, réapparaît avec chaque saison froide "la" solution pour combattre le rhume, à laquelle bien des gens aiment croire: prendre un verre d'alcool tuerait le microbe.
L'origine de la rumeur
L'éthanol, c'est-à-dire l'alcool contenu dans les boissons alcoolisées, a des propriétés désinfectantes reconnues. Il est notamment utilisé dans divers produits servant à nettoyer les surfaces et la peau. L'éthanol peut tuer des bactéries, des champignons microscopiques et des virus. Selon l'organisme américain de surveillance des maladies (CDC), son action antimicrobienne proviendrait de sa capacité à "dénaturer" les protéines. L'éthanol causerait aussi des dommages aux membranes cellulaires des microbes.
De là à croire qu'il pourrait aussi tuer les virus à l'intérieur de notre corps, il n'y a qu'un pas...
Une efficacité douteuse
Le premier problème est que, pour éliminer les microbes, l'alcool doit être présent dans une concentration de 60 à 90 %. En bas de 50 %, l'activité désinfectante de l'alcool diminue rapidement. Rappelons que, selon Éduc'Alcool, la concentration moyenne d'une bière est de 5 %, et celle d'un verre de spiritueux, de 40 %.
Le deuxième facteur à considérer est la durée d'exposition des microbes à l'alcool. Selon des études qui évaluaient l'efficacité de différents désinfectants pour les mains, ce genre de produit met environ 30 secondes pour tuer les rhinovirus ou l'influenza présents à la surface de la peau.
Toutefois, lorsqu'on consomme de l'alcool, celui-ci est dirigé en quelques secondes vers l'estomac et ne reste donc pas très longtemps en contact avec le pharynx, l'endroit où le système digestif et le système respiratoire se rencontrent. De plus, ces virus s'installent dans des régions des voies respiratoires qui ne sont pas accessibles aux boissons alcoolisées, notamment les muqueuses nasales, les sinus et le larynx.
L'alcool peut-il prévenir?
Quelques études ont tenté de démontrer que l'alcool pourrait prévenir les infections respiratoires, à défaut de les éliminer. Pour une recherche publiée en 1993 dans l'American Journal of Public Health, des sujets ont été infectés volontairement avec différents virus causant le rhume et les chercheurs ont noté que ceux qui buvaient davantage d'alcool développaient moins de symptômes. Mais bizarrement, c'était vrai seulement chez les non fumeurs: la méthodologie de l'étude incluait en fait beaucoup de variables, pour un minuscule groupe contrôle (26 personnes).
En 2002, une autre équipe a voulu savoir si c'était le cas des personnes exposées naturellement au rhume. Ils ont donc demandé à 4287 participants de remplir un questionnaire sur leur consommation d'alcool et de noter dans un calendrier la présence et l'intensité de leurs symptômes. La quantité totale d'alcool n'a pas été associée à une réduction des épisodes de rhume, quoique, bizarrement là aussi, les amateurs de vin rouge semblaient davantage protégés que les buveurs de bière.
Ces deux études associaient la prévalence des rhumes à la quantité d'alcool consommé, sans tenir compte de la fréquence de cette consommation. En 2012, des chercheurs japonais sont arrivés à la conclusion que la consommation fréquente d'alcool serait associée à une diminution des rhumes. Dans leur cas toutefois, leurs sujets consommaient plus de bière et de spiritueux que de vin.
Dans tous les cas, il faut rappeler que la plupart des médecins s'entendent sur le fait qu'une consommation élevée d'alcool peut avoir des effets négatifs sur la santé.
Verdict
L'alcool contenu dans les boissons alcoolisées ne peut pas tuer les microbes responsables du rhume ou de la grippe. Un débat se poursuit quant à la possibilité qu'il réduise le risque de développer des symptômes, mais les études sont peu nombreuses et même ceux qui défendent cette hypothèse admettent que le mécanisme est encore mal compris
Source: techno-science.net

par MANTEAU  3

LIEN

SAMEDI

MARS
2020
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Les derniers Homo erectus se seraient éteints il y a environ 110 000 ans sur l'île de Java en Indonésie, selon une étude publiée mercredi dans la revue Nature (Nouvelle fenêtre) (en anglais).
Pour la première fois, nous avons établi de manière convaincante le moment exact de l'extinction de l'Homo erectus, l'un de nos plus importants ancêtres. Kira Westaway, Université de Macquarie
Des restes fossilisés d'Homo erectus, 12 calottes crâniennes et 2 os des jambes, avaient été découverts dans les années 1930 sur le site de Ngandong, sur les rives du fleuve Solo dans l'île de Java, en Indonésie, mais n'avaient pas encore pu être précisément datés.
L'Homo erectus aurait vécu durant environ 1,5 million d'années. Il a été le premier de nos lointains cousins à émigrer hors de l'Afrique il y a 1,8 million d'années.
"L'Homo erectus de Ngandong possède le plus grand cerveau et le plus haut front de tous les Homo erectus connus, signe d'un changement évolutif important. Dater ce changement est crucial pour notre interprétation et notre compréhension de nos cousins éloignés", détaille Kira Westaway.
En recoupant plusieurs techniques de datation, les chercheurs ont pu établir que les ossements avaient entre 117 000 et 108 000 ans.
"Ceci confirme que Ngandong est le site d'Homo erectus le plus récent qu'on ait trouvé dans le monde", précise Russell Ciochon de l'Université de l'Iowa aux États-Unis, coauteur de l'étude.
Cette datation permet aux chercheurs d'explorer les causes de l'extinction de l'Homo erectus : le fait que ces dates coïncident avec le "début de l'ère interglaciaire fournit le premier indice potentiel".
Par contre, elle élimine toute responsabilité de l'Homo sapiens qui serait arrivé dans cette zone après l'extinction de l'Homo erectus.
Ces résultats montrent clairement que les affirmations antérieures ... selon lesquelles Homo erectus et les humains modernes se seraient croisés dans cette région sont erronées. Kira Westaway
Mais ils ont pu croiser l'homme de Denisova, un mystérieux cousin éteint, identifié en 2010. "Nous soupçonnons que cette espèce est descendue jusqu'en Asie du Sud-Est et a pu interagir avec l'Homo erectus de Ngandong", explique la chercheuse, ajoutant que "cela reste à prouver".
Source: ici.radio-canada.ca

par MANTEAU  9

VENDREDI

JANVIER
2020
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  32

LIEN

Pour chaque post, cliquer sur la photo centrale pour accéder au diaporama, ou cliquer sur les miniatures pour les voir en photo centrale

LIENS

RANK
  Les posts plus lus dans la rubrique

 Hot Cyborgs 172 , le 24/03/2012
 Le train Maglev se rapproche des 600 km/h! 154 , le 20/05/2017
 Les mecha: tous des méchants? 115 , le 09/04/2012
 Le futur des Robots - 4 87 , le 18/01/2013
 Les cités de demain - 1 83 , le 05/11/2013
 Vindskip : un navire écologique 80 , le 19/08/2014
 Robots: demain, les guerres ne seront plus jamais les mêmes 67 , le 07/10/2017
 Projet d'un dirigeable atomique britannique en 1966 67 , le 04/07/2011
 Pensées du XXIe siecle 66 , le 13/05/2012
 Les cités de demain - 12 61 , le 17/12/2013
 Le Steampunk 59 , le 05/01/2014
 They come! - 8 et fin 56 , le 15/03/2013
 L'ile d'AZ 56 , le 23/09/2010
 Les futuristes peuvent ils façonner l'avenir? #2 52 , le 24/06/2013
 Transports du futur 52 , le 27/09/2010
JEUDI

JUILLET
2019
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  31

LIEN

MARDI

JUIN
2019
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Il arrive régulièrement que les sociétés proposent des mises à jour pour accéder à de nouvelles fonctionnalités ou corriger un dysfonctionnement. Elles demandent parfois une certaines expertise et les firmes craignent de les imposer, via une connection, de peur qu'une erreur impacte, d'un coup, des millions d'utilisateurs. Les experts recommandent donc des mises à jour progressives et pratiques.
Tout est provisoire
Il y a seulement dix ans, acheter un ordinateur nous garantissait une utilisation de longue durée. En cas de problème, la faute résidait la plupart du temps dans le chef du propriétaire. Aujourd'hui, de plus en plus d'appareils ont une durée d'obsolescence programmée et, surtout, une mise à jour peut faire perdre à un appareil l'ensemble de ses fonctionnalités. Votre investissement est réduit à néant en à peine quelques années.
Les objets connectés sont partout
On compte déjà plus de 23 milliards d'objets connectés dans le monde. Si l'on sait s'en passer toute une journée, ils gagnent de plus en plus de terrain en contrôlant tous les aspects de nos vies, du chauffage de nos maisons aux appareils utilisés dans les hopitaux. Des erreurs informatiques auront de plus en plus d'impacts dans nos vies futures.
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  13

SAMEDI

JUIN
2019
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Il pourrait y avoir une neuvième planète au sein de notre système solaire. Mais l'hypothèse demeure presque invérifiable tant que l'astre (qui n'a pas encore de nom) n'a pas été observé par télescope.
La nouvelle étonne et exalte la communauté des astronomes : deux chercheurs du California Institute of Technology affirment avoir découvert une neuvième planète dans notre système solaire. Mais cette découverte est bien particulière puisqu'elle est en réalité le fruit de simulations numériques. Personne n'a jamais vu l'astre, pas même les deux astronomes qui ont publié leur étude dans The Astronomical Journal ce 20 janvier. Les deux hommes pensent toutefois que le télescope de l'observatoir W.M. Keck, situé à Hawaï est en mesure de la repérer.
Mais cela prendre un peu de temps, compte tenu de l'orbite de cette nouvelle planète : d'après les calculs exposés, la trajectoire de l'astre se situe bien au-delà de Neptune et sa révolution (le temps nécessaire pour opérer un tour complet autour du soleil) est estimée entre 10 000 à 20 000 ans. La neuvième planète serait par ailleurs dix fois plus lourde et plus grande que la planète Terre. La découverte des scientifiques repose sur des anomalies constatées dans la ceinture de Kuiper, une région de l'espace dans laquelle des objets transneptuniens - découverts il y a quelques années - ont des trajectoires étonnantes. Le déplacement d'une planète près de ces corps expliqueraient les orbites elliptiques déformées.
Source: www.linternaute.com/

par MANTEAU  15

VENDREDI

JUIN
2019
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Les utilisateurs du chatbox Alexa, vendu par Amazon, ont déjà eu la frayeur d'entendre leur assistant virtuel se mettre à rire tout seul. Ce dysfonctionnement n'est qu'un début.
En laissant entrer les objets connectés dans nos maisons et notre quotidien, notre vulnérabilité augmente. Dans l'état actuel des choses, ces objets sont encore défaillants et leurs erreurs nous prouvent que nous sommes encore loin d'un futur connecté parfait.
Un rire inhumain et des lunettes inutilisables
Les assistants Amazon émettent de temps à autres des éclats de rires inhumains, sans aucune demande en ce sens de leurs propriétaires. Ces rires robotiques ont provoqué tantôt l'amusement, tantôt la peur. Les lunettes de réalité virtuelle produites par Oculus VR sont devenues inutilisables, des journées entières. Les programmeurs avaient, en effet, oublié d'écrire certaines lignes de code, pourtant essentielles à la reconnaissance des lunettes par un ordinateur.
Conformément aux codes de notre époque, les utilisateurs ont partagé leur mécontentement sur les réseaux sociaux. et les firmes ont pu leur apporter une réponse en moins d'une journée. Internet a l'avantage de nous apporter plus de réactivité.
A suivre...
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  11

DIMANCHE

JUIN
2019
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Oui, ce n’est pas un fantasme. Les robots à la maison arrivent sur la pointe des pieds, ce sera encore long, mais les robots dans les entrepôts et surtout dans les usines débarquent en masse.
Une start-up japonaise a présenté cette semaine à Tokyo le premier robot capable de vider votre lave-vaisselle et de ranger le salon ou la chambre de vos enfants. Il a sa pince, ses petites roues, ses caméras et surtout son intelligence artificielle. Bon, s’il y a déjà des robots-aspirateurs et des robots-tondeuses, il faut reconnaître que le marché est assez anecdotique. Parce que c’est très compliqué, ils progresseront comme les voitures autonomes.
En revanche, le marché des robots de services, dans les hôpitaux (pour assister les médecins) et surtout la grande distribution explose littéralement. Ce n’est pas le cas seulement chez Amazon. Le groupe Casino est par exemple en train de construire un énorme entrepôt totalement robotisé à Fleury-Mérogis, en région parisienne, qui permettra de livrer les clients de son enseigne Monoprix en préparant les commandes en quelques minutes au lieu de trois quarts d’heure aujourd’hui.
Dans le domaine industriel, cela va encore plus vite. Des données publiées hier indiquent que 500.000 robots devraient se vendre en 2019, trois fois que cinq ans plus tôt. Pour qui ? Pour l’industrie automobile (sur les chaînes de montage) et l’industrie électronique principalement. Où sont-ils ? L’Asie est de loin le premier marché mondial, avec la Corée du Sud et le Vietnam en tête.
Ce qui est intéressant : ce ne sont pas des pays où on ne manque de bras, et de bras pas cher, donc on voit que ce n’est pas le sujet principal, qui est la précision et la rapidité.
Et la France dans tout ça ?
Aie. La France héberge -si on ose- 4.900 robots industriels, contre 7.700 en Italie, 21.000 en Allemagne et 138.000 en Chine. Par salarié, elle est derrière la Belgique, l’Espagne etc. Pourquoi moins d’investissements dans les robots ici qu’ailleurs ? Plusieurs hypothèses.
Davantage de délocalisations industrielles hors de France, la crainte des polémiques sur la disparition des emplois ou tout simplement le fait que la France ne compte pas assez d’entreprises de taille moyenne, les plus intéressées par la robotisation.
Au total, vous aurez peut-être, Nicolas, votre robot pour trier vos livres et ranger votre bureau ici avant que les usines françaises soient largement équipées. Cela étant, c’est peut-être le plus urgent !
par Dominique Seux
Vendredi 19 octobre 2018, sur FranceInfo>
par MANTEAU  19

MERCREDI

MAI
2019
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Le retour d'astronautes américains sur la Lune, désormais annoncé pour 2024, vise à préparer l'arrivée du premier humain sur Mars en 2033, a redit mardi l'administrateur de l'agence spatiale américaine, Jim Bridenstine.
"Nous voulons réussir à atterrir sur Mars en 2033", a déclaré le patron de la Nasa lors d'une audition au Congrès américain. "Nous pouvons avancer l'atterrissage sur Mars en avançant l'atterrissage sur la Lune. La Lune est le banc d'essai", a poursuivi l'ancien parlementaire républicain, nommé par Donald Trump.
La Nasa est plongée dans l'urgence depuis la semaine dernière, quand le président américain, par la voix du vice-président Mike Pence, a raboté de quatre ans le calendrier du retour sur la Lune, de 2028 à 2024, ce qui serait la dernière année d'un second mandat de M. Trump.
Beaucoup d'experts et d'élus du Congrès doutent de la capacité de la Nasa à tenir cette nouvelle date butoir, en raison des retards du développement de la fusée qui doit servir pour les missions lunaires, le Space Launch System ou "SLS", construite par Boeing.
Une mission pour Mars durera au moins deux ans, en raison de la distance, le trajet aller simple prenant à lui seul six mois, au lieu de trois jours pour la Lune.
L'aller et le retour vers Mars ne peuvent se faire que lorsque la planète rouge se situe du même côté du Soleil que la Terre, soit tous les 26 mois environ, ce qui tombera en 2031, 2033, etc.
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  17

              
434     Page précédente
Page Suivante
414