
LUNDI
  SEPTEMBRE 2021 |
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..., selon Mark Zuckerberg
Le patron de Facebook a indiqué être fermement convaincu qu’un nouveau monde d'applications et de services était en train de s’ouvrir avec les réalités virtuelle et augmentée, lors du salon des jeunes pousses et de l’innovation VivaTech, à Paris.
Cela a commencé à décoller un peu plus vite que nous-même nous le pensions, a pointé Mark Zuckerberg, interviewé en direct en vidéoconférence par Maurice Lévy, le cofondateur de VivaTech.
Facebook, qui a mis récemment sur le marché son nouveau casque de réalité virtuelle Oculus Quest 2, emploie actuellement 10 000 personnes dans son département consacré à la réalité virtuelle et la réalité augmentée, selon ce qu’a expliqué Mark Zuckerberg.
Les applications pour les casques de réalité virtuelle comme Oculus et les appareils de la concurrence commencent à sortir de la branche des jeux vidéos, leur domaine d'épanouissement, selon ce qu’a avancé le patron de Facebook.
Mark Zuckerberg a cité en exemple les applications d'entraînement sportif : Vous avez un abonnement, vous prenez un casque et vous vous retrouvez dans un environnement incroyable à suivre un cours de boxe ou de danse.
Mark Zuckerberg a aussi décrit sa vision d'un métavers, un univers virtuel où il serait désormais possible d'acheter des biens virtuels.
Pensez à toutes les choses dans votre vie qui n'ont pas besoin d'être physiques et qui pourraient être remplacées par un hologramme dans un monde où vous portez des lunettes intelligentes, a mentionné le patron de Facebook.
Les télévisions n'auront plus besoin d'exister physiquement, cela peut juste être une application qui, (par le biais de ces lunettes), projette sur un mur (des images) qui peuvent être partagées avec vos proches, a-t-il poursuivi.
Plutôt que de devoir produire une télévision ou un autre type d'objet physique complexe – qui nécessite des usines, des matières premières – n'importe quel enfant, développeur ou développeuse dans le monde pourra réaliser ça avec un jeu d'outils de conception en 3D et du code, et être capable de vendre ses produits dans le monde entier, sans avoir à s'inquiéter de la logistique ou de l’expédition, a-t-il expliqué.
Pour Facebook, la réalité augmentée ou virtuelle n'est pas juste un moyen de créer une nouvelle expérience formidable, mais créer une vague économique qui pourrait créer des opportunités pour les gens dans le monde entier.
C'est quelque chose que nous allons voir se débloquer dans les prochains 5 à 10 ans, a-t-il ajouté.
Source: ici.radio-canada.ca |
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MARDI
  AVRIL 2021 |
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Le virtuel est à l’honneur au salon CES de Las Vegas, qui se tiendra entièrement en ligne cette année.
Par exemple, Reah Keem, un influenceur 100% digital, est le DJ chargé d’annoncer la nouveauté du fabricant coréen LG. Une façon de donner le ton et d’avoir un aperçu de ce à quoi ressembleront les futures enceintes.
Cela rappelle un peu ces personnages semi-réels, semi-virtuels à l’écran, néon, présentés l’année dernière par un autre Samsung coréen.
Cette année, Samsung garantit que ces «humains artificiels» arriveront sur leurs smartphones, par exemple en tant que conseillers bancaires, mais n’arriveront pas d’ici 2022. Sony a annoncé un avatar 3D pour la chanteuse Madison Beer. Les artistes sont numérisés comme des jeux vidéo et peuvent animer librement leurs avatars pour créer des concerts virtuels, par exemple, notamment lors de pandémies.
Au CES de cette année, diverses technologies conçues pour lutter contre les pandémies sont à l’honneur. Par exemple, une lampe LED UV-C pour désinfecter les claviers d’ordinateurs. Placée sur le dessus du clavier, cette petite lampe, signée par la marque Targus et récompensée par le “CES Award”, est censée s’allumer toutes les heures pendant 5 minutes, détruisant toutes bactéries et virus.
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VENDREDI
  MARS 2021 |
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MERCREDI
  NOVEMBRE 2020 |
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Le supercalculateur japonais Fugaku, développé par l'institut public de recherche Riken en partenariat avec le groupe informatique nippon Fujitsu, a décroché la palme du superordinateur le plus rapide au monde, a annoncé lundi l'institut dans un communiqué.
Fugaku est arrivé en tête du dernier classement dévoilé par le site spécialisé Top500, détrônant le supercalculateur américain Summit, développé par IBM et installé dans le laboratoire national de physique nucléaire de Oak Ridge (Tennessee).
Summit était arrivé premier lors des quatre derniers classements de ce site de référence, lesquels sont publiés deux fois l'an.
La vitesse de Fugaku (un autre nom du Mont Fuji en japonais) est environ 2,8 fois supérieure à celle de Summit, soit 415,53 pétaflops contre 148,6 pétaflops.
Un pétaflop correspond à un million de milliards d'opérations à la seconde.
Fugaku ne devrait être mis en service à 100% qu'à partir de 2021, mais il a déjà commencé à être utilisé dans le cadre des recherches sur le Covid-19, notamment en modélisant la manière dont les gouttelettes issues de la respiration peuvent se disséminer dans un bureau ou un train bondé lorsque les fenêtres sont ouvertes.
Il devrait aussi être appelé à terme à contribuer à la recherche de nouveaux médicaments, de nouvelles solutions énergétiques et industrielles, à la simulation de catastrophes naturelles ou encore à la recherche fondamentale sur l'univers, selon l'institut Riken.
Outre le Top500, Fugaku s'est aussi installé en tête des classements Graph500, HPCG et HPL-AI: c'est la première fois qu'un supercalculateur prend simultanément la première place de ces quatre classements, selon l'institut Riken.
Guerre États-Unis/Chine
Les supercalculateurs sont un élément essentiel de la recherche dans des domaines aussi variés que l'intelligence artificielle ou l'informatique quantique, du fait de leur formidable puissance de calcul.
Ils font l'objet d'une compétition acharnée entre les grandes puissances économiques mondiales, surtout entre les États-Unis et la Chine qui disposent à eux seuls de 70% des supercalculateurs présents au Top500.
Aussi la première place de Fugaku, la première pour un supercalculateur japonais depuis 2011, risque de ne pas durer. Trois supercalculateurs américains visant une puissance de calcul mesurée en exaflops, soit plusieurs milliards de milliards d'opérations à la seconde, devraient être lancés dans les prochaines années.
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DIMANCHE
  JUILLET 2020 |
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Depuis longtemps l'Homme s'interroge sur la question suivante : « Sommes-nous seuls dans l'Univers ? ». Ce qui entraîne la question de savoir s'il existe ou non d'autres planètes sur lesquelles pourraient se développer d'autres formes de vie. Christiaan Huygens est le premier astronome à envisager l'utilisation des instruments d'observation afin de détecter de telles planètes.
Au cours du XXe siècle, grâce aux progrès technologiques des télescopes, tels que les détecteurs à couplage de charge (CCD), le traitement d'image, ainsi que le télescope spatial Hubble, qui permettent des mesures plus précises du mouvement des étoiles, beaucoup d'astronomes pensent détecter des planètes extrasolaires. Dans les années 1980 et au début des années 1990, quelques annonces sont faites, reprises dans les média, puis, après vérifications (cela peut prendre des mois, des années), finalement démenties (c'est la force de la méthode scientifique). La communauté astronomique se désespère, et certains en concluent déjà que le système solaire ne serait peut-être qu'une singularité... Il faut attendre l'année 1995 pour que la découverte de la première exoplanète soit confirmée.
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LUNDI
  JUIN 2020 |
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LUNDI
  MARS 2020 |
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COVID ou pas, réapparaît avec chaque saison froide "la" solution pour combattre le rhume, à laquelle bien des gens aiment croire: prendre un verre d'alcool tuerait le microbe.
L'origine de la rumeur
L'éthanol, c'est-à-dire l'alcool contenu dans les boissons alcoolisées, a des propriétés désinfectantes reconnues. Il est notamment utilisé dans divers produits servant à nettoyer les surfaces et la peau. L'éthanol peut tuer des bactéries, des champignons microscopiques et des virus. Selon l'organisme américain de surveillance des maladies (CDC), son action antimicrobienne proviendrait de sa capacité à "dénaturer" les protéines. L'éthanol causerait aussi des dommages aux membranes cellulaires des microbes.
De là à croire qu'il pourrait aussi tuer les virus à l'intérieur de notre corps, il n'y a qu'un pas...
Une efficacité douteuse
Le premier problème est que, pour éliminer les microbes, l'alcool doit être présent dans une concentration de 60 à 90 %. En bas de 50 %, l'activité désinfectante de l'alcool diminue rapidement. Rappelons que, selon Éduc'Alcool, la concentration moyenne d'une bière est de 5 %, et celle d'un verre de spiritueux, de 40 %.
Le deuxième facteur à considérer est la durée d'exposition des microbes à l'alcool. Selon des études qui évaluaient l'efficacité de différents désinfectants pour les mains, ce genre de produit met environ 30 secondes pour tuer les rhinovirus ou l'influenza présents à la surface de la peau.
Toutefois, lorsqu'on consomme de l'alcool, celui-ci est dirigé en quelques secondes vers l'estomac et ne reste donc pas très longtemps en contact avec le pharynx, l'endroit où le système digestif et le système respiratoire se rencontrent. De plus, ces virus s'installent dans des régions des voies respiratoires qui ne sont pas accessibles aux boissons alcoolisées, notamment les muqueuses nasales, les sinus et le larynx.
L'alcool peut-il prévenir?
Quelques études ont tenté de démontrer que l'alcool pourrait prévenir les infections respiratoires, à défaut de les éliminer. Pour une recherche publiée en 1993 dans l'American Journal of Public Health, des sujets ont été infectés volontairement avec différents virus causant le rhume et les chercheurs ont noté que ceux qui buvaient davantage d'alcool développaient moins de symptômes. Mais bizarrement, c'était vrai seulement chez les non fumeurs: la méthodologie de l'étude incluait en fait beaucoup de variables, pour un minuscule groupe contrôle (26 personnes).
En 2002, une autre équipe a voulu savoir si c'était le cas des personnes exposées naturellement au rhume. Ils ont donc demandé à 4287 participants de remplir un questionnaire sur leur consommation d'alcool et de noter dans un calendrier la présence et l'intensité de leurs symptômes. La quantité totale d'alcool n'a pas été associée à une réduction des épisodes de rhume, quoique, bizarrement là aussi, les amateurs de vin rouge semblaient davantage protégés que les buveurs de bière.
Ces deux études associaient la prévalence des rhumes à la quantité d'alcool consommé, sans tenir compte de la fréquence de cette consommation. En 2012, des chercheurs japonais sont arrivés à la conclusion que la consommation fréquente d'alcool serait associée à une diminution des rhumes. Dans leur cas toutefois, leurs sujets consommaient plus de bière et de spiritueux que de vin.
Dans tous les cas, il faut rappeler que la plupart des médecins s'entendent sur le fait qu'une consommation élevée d'alcool peut avoir des effets négatifs sur la santé.
Verdict
L'alcool contenu dans les boissons alcoolisées ne peut pas tuer les microbes responsables du rhume ou de la grippe. Un débat se poursuit quant à la possibilité qu'il réduise le risque de développer des symptômes, mais les études sont peu nombreuses et même ceux qui défendent cette hypothèse admettent que le mécanisme est encore mal compris
Source: techno-science.net |
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SAMEDI
  MARS 2020 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Les derniers Homo erectus se seraient éteints il y a environ 110 000 ans sur l'île de Java en Indonésie, selon une étude publiée mercredi dans la revue Nature (Nouvelle fenêtre) (en anglais).
Pour la première fois, nous avons établi de manière convaincante le moment exact de l'extinction de l'Homo erectus, l'un de nos plus importants ancêtres. Kira Westaway, Université de Macquarie
Des restes fossilisés d'Homo erectus, 12 calottes crâniennes et 2 os des jambes, avaient été découverts dans les années 1930 sur le site de Ngandong, sur les rives du fleuve Solo dans l'île de Java, en Indonésie, mais n'avaient pas encore pu être précisément datés.
L'Homo erectus aurait vécu durant environ 1,5 million d'années. Il a été le premier de nos lointains cousins à émigrer hors de l'Afrique il y a 1,8 million d'années.
"L'Homo erectus de Ngandong possède le plus grand cerveau et le plus haut front de tous les Homo erectus connus, signe d'un changement évolutif important. Dater ce changement est crucial pour notre interprétation et notre compréhension de nos cousins éloignés", détaille Kira Westaway.
En recoupant plusieurs techniques de datation, les chercheurs ont pu établir que les ossements avaient entre 117 000 et 108 000 ans.
"Ceci confirme que Ngandong est le site d'Homo erectus le plus récent qu'on ait trouvé dans le monde", précise Russell Ciochon de l'Université de l'Iowa aux États-Unis, coauteur de l'étude.
Cette datation permet aux chercheurs d'explorer les causes de l'extinction de l'Homo erectus : le fait que ces dates coïncident avec le "début de l'ère interglaciaire fournit le premier indice potentiel".
Par contre, elle élimine toute responsabilité de l'Homo sapiens qui serait arrivé dans cette zone après l'extinction de l'Homo erectus.
Ces résultats montrent clairement que les affirmations antérieures ... selon lesquelles Homo erectus et les humains modernes se seraient croisés dans cette région sont erronées. Kira Westaway
Mais ils ont pu croiser l'homme de Denisova, un mystérieux cousin éteint, identifié en 2010. "Nous soupçonnons que cette espèce est descendue jusqu'en Asie du Sud-Est et a pu interagir avec l'Homo erectus de Ngandong", explique la chercheuse, ajoutant que "cela reste à prouver".
Source: ici.radio-canada.ca |
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