Cocktail93




DIMANCHE

FEVRIER
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Fantasme ou réel scénario ?

Pour certains, la réponse est oui. Le phénomène reste encore rare et largement risible, mais de plus en plus de personnes, désespérées à l'idée de ne jamais trouver l'âme sœur, choisissent de se tourner vers les robots ou les poupées. C'est le cas de David Mills, un quinquagénaire deux fois divorcé qui s'est confié auprès du magazine américain Men's Health sur la relation qu'il entretient désormais avec une dénommée Taffy, une poupée en silicone.


Les producteurs de ces poupées voient d'ailleurs l'arrivée des robots sexuels comme une bonne nouvelle. Pour Matt McMullen, l'un des pionniers de la poupée sexuelle avec sa marque Real Doll, "personne ne devrait juger ces personnes ; si cette poupée te rend heureux, c'est tout ce qui compte". Il voit d'ailleurs ces robots sexuels comme un moyen pour les couples séparés géographiquement d'avoir des relations sexuelles au travers de ces corps faits de composés électriques et de silicone.


Pour le moment, les robots sexuels restent réservés à une clientèle très aisée, puisque leurs prix sont aux alentours de 9 000 euros, rapporte le site Inverse. Leur prix devrait sans doute chuter dans les années à venir. Ce sera en tout cas l'une des conditions pour que la prédiction du futurologue Ian Pearson, selon laquelle la plupart d'entre nous posséderons des robots sexuels en 2050, soit avérée.


Source: atlantico.fr

par MANTEAU  6

SAMEDI

FEVRIER
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Est-ce le signe d'une civilisation extraterrestre ? Un télescope russe, qui scrutait la voûte céleste en quête de signes d'intelligence extraterrestre, a détecté un "puissant signal" radio, en 2015. La découverte, rendue publique pour la première fois vendredi 27 août par le site spécialisé Centauri Dreams (en anglais), suscite un grand intérêt dans la communauté scientifique.
Ce signal, dont les caractéristiques pourraient laisser penser à une transmission d'une intelligence extraterrestre, pourrait tout aussi bien être une interférence radio ou le résultat d'un phénomène naturel.
Un signal de nature inconnue
"Personne ne prétend qu'il s'agit d'une transmission d'une civilisation extraterrestre, mais cela vaut certainement la peine de l'étudier davantage", écrit Paul Gilster, créateur de ce site qui couvre les recherches scientifiques portant sur l'exploration de l'espace lointain.
Le signal provient d'une étoile similaire au Soleil qui se trouve dans la constellation d'Hercules (HD164595) à environ 95 années-lumière de la Terre. Les scientifiques savent que cette étoile compte au moins une planète. Mais l'Académie russe des sciences est claire. Pour elle, il est trop tôt pour déterminer la nature et la provenance de ce signal.
Selon les chercheurs, si ce signal radio provenait d'une antenne qui rayonne dans toutes les directions, il s'agirait alors d'une civilisation beaucoup plus avancée que la nôtre, dite "Kardashev de type II", selon ces scientifiques. Si le signal provient d'une bande d'émissions étroite orientée vers notre système solaire, cela pourrait être une civilisation plus proche des humains. Cette découverte devrait faire l'objet d'une discussion au 67e Congrès Astronomique International, qui doit se tenir à Guadalajara (Mexique), le 27 septembre.
Certains astronomes sceptiques
Selon Nick Suntzeff, un astronome de l'Université A&M du Texas, cité par la revue spécialisée Ars Technica, ce signal de 11 gigahertz se situe dans les fréquences utilisées par les militaires. "Si j'étais à la place de ces astronomes, je continuerais les observations, mais sans trop d'illusion étant donné la forte possibilité qu'il s'agisse de quelque chose de militaire", a-t-il détaillé.
Cette détection est comparée à celle du signal "Wow", capté en août 1977 par un radiotélescope américain, ou plus récemment à l'observation controversée de l'étoile Tabby, autour de laquelle des astronomes pensaient avoir observé des structures géantes construites par une civilisation avancée.
par MANTEAU  14

VENDREDI

FEVRIER
2017
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Les robots sont sujets à de nombreux fantasmes. Alors que les progrès de la robotique se multiplient de jour en jour, certains les imaginent humanoïdes, dotés d'une intelligence supérieure et prêts à dominer le monde ; d'autres se les représentent comme des compagnons de vie serviables et doués de sensibilité et d'empathie. Mais nous n'en sommes pas encore là. Bien que certains robots soient déclinés sous une apparence humanoïde et que le machine learning – qui permet à un robot d'apprendre de ses expériences et de diversifier ses connaissances – les rend toujours plus intelligents, leur capacité de réflexion reste encore à des lieues de la nôtre, et il reste aisé pour un humain de savoir s'il a affaire à un robot ou non.


Sexe à volonté


Les robots demeurent pour le moment des machines sans libre arbitre, obéissant au moindre de nos caprices. Nous leur projetons tous nos désirs et faisons en sorte qu'elles puissent les combler. Nous leur confions les tâches dont nous ne voulons pas nous occuper (lave-vaisselle, machine à laver, aspirateur). Et l'on peut deviner que viendra, inévitablement, le moment où ce sera un désir sexuel que l'homme voudra assouvir avec un robot. Non, pas avec les machines actuelles, mais avec des robots à apparence humaine, aux mensurations de tous goûts, capables de répondre au plus conventionnel des désirs sexuels comme aux plus extrêmes. Le tout, évidemment, sans l'obstacle du consentement mutuel de rigueur dans les couples humains. De quoi rendre, au même titre que le visionnage de vidéos pornographiques accessibles en un clic, ce genre de pratiques courantes et extrêmement addictives. Pourquoi se compliquer la vie à faire l'amour avec une personne qu'il faudra d'abord séduire, sans avoir la garantie de pouvoir prendre son pied ?


C'est en tout cas un scénario que redoute Joel Snell, expert en robotique à l'Université de Kirkwood (Iowa, États-Unis) interrogé par le journal britannique Daily Star : "Le sexe robotique pourrait devenir bien meilleur que le sexe humain", affirme-t-il. Si les robots sexuels sont actuellement plus proches de la poupée gonflable classique que du véritable humain, ils devraient néanmoins connaître une forte demande en 2016. Alors qu'en sera-t-il lorsque ces machines possèderont des parties anatomiques capables de reproduire à l'identique, sinon mieux, le plaisir de l'acte sexuel ? "Les robots sexuels seraient toujours disponibles et ne pourraient jamais dire 'non', ce qui laisserait ainsi quiconque satisfaire son addiction. Ces utilisateurs deviendraient obsédés par leur toujours fidèle et affable robot sexuel", poursuit Snell. Risque-t-on de délaisser nos congénères humains au profit des robots ?
A suivre...
Source: atlantico.fr

Photo: Robot woman 2 by kisrini

par MANTEAU  8

VENDREDI

NOVEMBRE
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
La capsule spatiale Shenzhou 11 s'est posée ce vendredi 18 novembre en Mongolie intérieure avec deux taïkonautes à son bord après avoir effectué le plus long vol spatial habité réalisé par la Chine à ce jour, rapportent les médias officiels.
La télévision d'État a diffusé des images du « Vaisseau divin », la signification du nom de la capsule, entourée de drapeaux chinois et des équipes scientifiques qui ont participé au projet visant à faire de la Chine une puissance spatiale à part entière.
Selon l'agence Chine nouvelle, Shenzhou 11 a atterri avec succès peu après 14 h, heure locale.
Jing Haipeng et Chen Dong ont passé 30 jours à bord du laboratoire spatial Tiangong 2, où ils ont mené des expériences en vue de la mise en orbite, vers 2022, d'une station spatiale occupée permanente.
Les deux hommes ne sont pas immédiatement sortis de la capsule, mais le chef de la mission, Zhang Youxia, a déclaré qu'ils étaient en bonne santé et qu'ils passaient des examens médicaux de routine.
En 2013, trois Chinois avaient passé 15 jours dans l'espace à bord du laboratoire spatial Tiangong 1.
Son successeur, Tiangong 2, va rester en orbite jusqu'à l'an prochain, date à laquelle il devrait s'arrimer au premier vaisseau spatial chinois, Tianzhou 1, dont le lancement est programmé autour du mois d'avril, selon les médias officiels.
Le président Xi Jinping a fait du développement du programme spatial chinois une priorité pour faire entrer son pays dans le club restreint des puissances spatiales. Pékin assure que son programme est uniquement pacifique.
Source: Reuteurs+ici.radio-canada.ca/

par MANTEAU  13

DIMANCHE

NOVEMBRE
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
L'hypothèse du zoo est une explication théorique, avancée en 1973 par l'astronome John A. Ball, sur des prémisses posées par Constantin Tsiolkovski en 1934, en réponse au paradoxe de Fermi lequel concerne l'apparente absence de contacts et de preuves de l'existence d'une vie extraterrestre. Selon cette hypothèse, les extra-terrestres existeraient et seraient assez avancés technologiquement pour pouvoir communiquer avec les Terriens. Ils observeraient la Terre et l'humanité à distance, sans essayer d'interagir, à la façon de chercheurs qui observent des animaux primitifs à distance, évitant d'entrer en contact afin de ne pas les perturber.
Un développement de cette hypothèse est celle de la « quarantaine galactique » où les civilisations extraterrestres, pour des raisons éthiques, scientifiques ou culturelles, attendraient, avant de contacter l'humanité, qu'elle atteigne un certain niveau technologique ou évite l'autodestruction. D'autres hypothèses ont été développées à partir de celle-ci par des scientifiques, devenant parfois des sujets philosophiques. Les critiques et les scientifiques soulignent qu'il n'y a aucun moyen de les vérifier.
Les hypothèses du zoo et de la quarantaine galactique ont également été reprises en ufologie et dans des œuvres de science-fiction.
par MANTEAU  6

VENDREDI

AOUT
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
En seulement quelques mois, une petite étoile baptisée KIC 8462852 ou étoile de Tabby est devenue le centre d’intérêt des astronomes à cause du comportement étrange de sa luminosité. Dès lors, plusieurs hypothèses ont été présentées. Entre nuage de comètes ou superstructure alien, qu’est-ce que cache réellement cette étrange étoile ?
Une multitude d'hypothèses
Découverte par Tabetha S. Boyajian et son équipe, l’étoile Tabby (du nom de la chercheuse) ou KIC 8462852 est au cœur de toutes les interrogations. En effet, les astronomes ont pu observer une baisse conséquente de sa luminosité qui se produit comme lorsqu’une planète passe devant. Lors des premières observations, on parle d’une baisse de 20%. Et très peu de choses peuvent masquer 20% de la luminosité d’une étoile. L’hypothèse de Boyajian fut donc de parler d’un nuage de comètes passant devant l’astre.
Mais la folie autour de cette étrange étoile n’a cessé d’augmenter quand Jason Wright, un chercheur de l’Université de Pennsylvanie a proposé une toute autre explication : cette baisse de luminosité serait due à une méga structure alien connue comme les sphères de Dyson. Sauf que ce dernier avait expliqué qu’il allait étayer son hypothèse mais pour l’heure, toujours aucune explication !
Une troisième hypothèse est apparue par le biais de Bradley Schaefer, un astronome de l’Université de Louisiane qui a étudié l’étoile et tenté d’expliquer cette diminution de luminosité par les comètes. Tabetha Boyajian avait eu recours à des images numériques grâce à des plaques photographiques pour mettre en évidence le comportement de KIC 8462852. Sauf que Schaefer est parvenu à la conclusion suivante après avoir étudié les plaques photographiques : si la cause est due à des comètes alors il aurait fallu près de 648 000 comètes de 200 kilomètres de large ! Très vite, cette hypothèse a été contredite par la communauté scientifique estimant que ces fameuses plaques photographiques n’étaient pas assez précises.
Kepler au secours des astronomes
Dernièrement, deux chercheurs, Ben Montet et Joshua Simon ont proposé une autre hypothèse à partir des résultats photométriques de l’étoile de Tabby provenant de la base de données de Kepler. En observant ces images, les deux chercheurs ont découvert qu’il s’agit de toute la luminosité de l’étoile qui est en train de baisser. Sur une période de 4 ans, cette baisse est continue et selon eux, elle aurait perdu une luminosité de 0,34% par an pendant les 1000 jours où elle a été observée par Kepler. Les 200 jours suivants, l’étoile a perdu 2% de sa luminosité avant de remonter. D’un point de vue global, l’étoile de Tabby a enregistré une baisse de luminosité de 3% sur les quatre années d’observation par Kepler. Ce phénomène est inédit puisqu’aucune des 500 étoiles présentes dans le secteur ne présente ces signes.
De son côté, même si on n’avait pas pris au sérieux l’hypothèse avancée par Schaefer, le scientifique avait parlé d’une baisse de luminosité sur une période d’un siècle. Or, avec les données de Kepler, l’observation de Schaefer se confirme. Montet et Simon ont donc revu leurs conclusions et estiment que le phénomène pourrait bien être dû au passage d’un nuage de comètes, d’une étoile déformée ou des restes d’une planète.
Bien entendu, le mystère reste entier autour de l’étoile de Tabby. Mais espérons que la prochaine observation d’une durée de 12 mois organisée par Tabetha Boyajian, financée par une campagne de crowdfunding permettra de lever le voile sur le comportement étrange de KIC 8462852 !
Source: hitek.fr

par MANTEAU  7

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MERCREDI

JUILLET
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Obstacles
Pour l'instant, l'expérience ne porte que sur les qualités nutritionnelles de la terre. En raison du froid intense et du manque d'oxygène sur Mars et sur la lune, les légumes et légumineuses ne pourraient y être cultivés que dans un environnement clos et contrôlé: il faudrait un équipement récréant les conditions atmosphériques de la Terre et qui protège contre les radiations cosmiques susceptibles d'endommager l'ADN des plantes. Quant à l'eau, "il en existe sur Mars et sur la lune sous forme de glace", relève Wieger Wamelink.
Questions en suspens
Certaines questions restent toutefois en suspens et ne pourront être totalement résolues qu'une fois là-haut: l'ajout de bactéries bienfaisantes aiderait-elle les plantes à croître ? quel impact aura la faible gravité sur la croissance des plantes ?
Conquête de Mars
La Nasa prévoit que l'homme pourra marcher sur Mars d'ici 10 ou 15 ans, un horizon qui est aussi celui des projets de colonie humaine Mars One et Mars Colonial Transporter du milliardaire Elon Musk, fondateur de la société aérospatiale californienne SpaceX. Celle-ci compte envoyer une capsule non habitée vers la planète rouge dès 2018 avec le soutien technique de la Nasa.
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  4

MARDI

JUILLET
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Expériences
Le chercheur a d'abord semé quatorze espèces de plantes, parmi lesquelles des tomates, des légumineuses et des plantes sauvages. "Sur le succédané martien, les plantes poussaient très vite et très bien et ont même commencé à fleurir, chose que nous n'avions pas anticipée", assure le chercheur. Dès la deuxième expérience, toutes les plantes ont poussé dans les deux sols, même si les épinards ont été plus capricieux.
Propres à la consommation
Reste toutefois la question à laquelle Wieger Wamelink cherche aujourd'hui à répondre: ces légumes sont-ils propres à la consommation? La terre martienne contient des métaux lourds qui peuvent être des poisons mortels pour l'être humain. Les analyses menées révèlent de l'arsenic, du mercure ou du plomb dans les légumes, mais le chercheur pense avoir déjà trouvé la solution: il faudrait purifier d'abord le sol, dit-il, en introduisant des espèces végétales comme la violette capables d'extraire les métaux lourds.
A suivre...
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  6

LUNDI

JUILLET
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
"Lorsque les gens iront sur Mars, ils devront manger. Et le plus facile pour eux sera de cultiver leurs propres aliments." Dans une serre perdue au milieu d'un champ aux Pays-Bas, s'étirent de banales plantes vertes dans des pots de terre aux caractéristiques extraterrestres.
Dans une terre rouge similaire au sol de l'aride et rocailleuse Mars, Wieger Wamelink, chercheur à l'université de Wageningen, dans l'est des Pays-Bas, a déjà réussi à cultiver du cresson, des radis et du seigle, et rêve maintenant de tomates fraîches mûries aux lampes LED sur cette planète lointaine.
Sol martien
Obtenir un peu de véritable sol martien est "impossible", explique le scientifique. C'est pourquoi il a passé commande sur internet auprès de la Nasa, qui fabrique des ersatz, explique le scientifique, qui s'en sert désormais pour ses expériences agricoles. La terre carmin imitant le sol de Mars est puisée près d'un volcan à Hawaï. Le succédané lunaire provient, lui, d'un désert d'Arizona.
A suivre...
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  17

LUNDI

JUILLET
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 

par MANTEAU  4

SAMEDI

MAI
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Un zinnia cultivé dans la Station spatiale internationale (ISS) a fleuri, donnant naissance à la première fleur de l'espace, a indiqué sur Twitter l'astronaute américain Scott Kelly.
"La première fleur cultivée dans l'espace a fait ses débuts", écrit-il dans un tweet (@StationCDRKelly) suivi de #SpaceFlower #zinnia #YearInSpace, avec la photo d'un beau zinnia orange à l'appui. Le zinnia pousse très facilement sur la Terre et fleurit abondamment pendant l'été. Mais ces plantes, apportées dans l'avant-poste orbital pour effectuer des expériences, ont apparemment eu des difficultés à s'adapter à la microgravité.
Plusieurs de ces zinnias paraissaient mal en point en décembre après l'apparition de moisissures sur leurs feuilles à cause de la forte humidité, selon la Nasa. Mais elles semblent se ressaisir grâce aux soins de Scott Kelly. La culture de ces fleurs fait partie d'un projet plus étendu de la Nasa, appelé "Veggie", visant à faire pousser des plantes dans l'espace pour produire de la nourriture dans la perspective de longues missions habitées vers Mars, une autonomie qui sera un complément important pour la survie des astronautes, explique l'Agence spatiale.
Les membres d'équipage de la Station ont déjà récolté avec succès des laitues dont ils ont consommé les premières feuilles en 2015 et espèrent produire des tomates d'ici l'année prochaine. Le système de culture des salades et d'autres végétaux a été installé dans la Station spatiale mi-2014. Ces plantes sont cultivées par hydroponie c'est-à-dire sans terre dans une solution d'eau et de nutriments. Ce système requiert nettement moins d'eau et d'engrais et les plantes poussent trois fois plus vite que dans le sol, selon la Nasa.
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  5

LUNDI

MAI
2016
DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
 
Comment les détecter?
En 1916, Albert Einstein pensait qu'il ne serait jamais possible de prouver l'existence des ondes gravitionnelles, à cause de leur caractère tellement infime. Pour pouvoir les détecter, les scientifiques avaient donc besoin d'assister à un événement extrêmement violent dans l'Univers. Le 14 septembre dernier, l'équipe du laboratoire Ligo a réussi à observer ce phénomène grâce à la fusion de deux trous noirs. Une collision qui a eu lieu il y a 1,3 milliard d'années. "Pour vous donner une idée de l'énergie dégagée par la collision des trous noirs qui a été détectée en septembre, en dix ou vingt millisecondes, l'énergie dégagée par la collision correspond à 50 fois l'énergie dégagée par toutes les étoiles de l'Univers en entier", a déclaré Christophe Galfard sur France Inter.
Et après?
La prouesse technologique de Ligo "ouvre une nouvelle fenêtre sur l'Univers" selon Le Monde. Les ondes gravitationnelles permettent de "voir" des "phénomènes jusqu'ici totalement invisibles car n'émettant pas de rayonnement électromagnétique", pas de lumière.
Rêvons un peu. Grâce à ce nouvel outil extraordinaire, qui nous permet de voir autre chose que la lumière, on pourra peut-être un jour remonter jusqu'aux ondes gravitationnelles qui ont été créées lors du Big Bang il y a 14 milliards d'années et comprendre enfin l'origine de notre Univers
Source: 7sur7.be

par MANTEAU  3

              
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