VENDREDI
OCTOBRE 2011 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Mattel, récemment épinglé par Greenpeace pour se procurer son carton auprès d'un fournisseur asiatique qui ne fait que très peu de cas de la nature, essaye de redorer son blason.
En collaboration avec l'AIA, l'American Institute of Architects, le fabricant a lancé un concours : imaginer la maison de rêve de Barbie. Un concours qui coïncide avec la sortie de la poupée Barbie architecte. Les résultats sont tombés et la nouvelle maison de la blonde peroxydée est une maison écologique.
La preuve :
-Il n'y a pas de garage dans la bâtisse : pas de voiture, donc, et les modes de transports doux sont privilégiés. C'est Ken et sa Ferrari qui vont faire une drôle de tête.
Tous les équipements ménagers de Barbie (et Dieu sait qu'elle en a beaucoup…) portent la mention "Energy star" et sont donc peu gourmands en électricité.
-Tout le mobilier est fait à partir d'essences de bois locales et est fabriqué localement. Pas de bois précieux, peu de transport : empreinte carbone réduite.
Les toilettes sont économes en eau, mais pas sèches. En même temps, si Barbie allait aux toilettes, ça se saurait, non ?
Toutes les peintures à l'intérieur de la maison sont garanties sans COV (composés organiques volatiles, dangereux pour l'atmosphère).
Le bambou est utilisé en grande quantité pour les sols : abondant et nécessitant peu d'eau, il s'agit d'un des bois les plus "verts". Problème : Barbie architecte porte des bottines à talons. A croire que les architectes n'ont pas pensé au bruit des pas sur le sol.
-La terrasse supérieure de la maison est une toiture végétalisée : elle favorise l'isolation de la maison et facilite la création de couloirs de biodiversité, si le bâtiment est construit en milieu urbain.
-Et enfin, tout là-haut là-haut, des panneaux solaires ornent le toit de la maison de rêve de Barbie.
Alors oui, c'est un bien beau projet. Sauf que cette maison ne verra jamais le jour. Pas "en vrai", en tout cas. Parce que si elle est construite, ce sera non seulement en modèle réduit, mais en plus en plastique.
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MARDI
AOUT 2011 |
| DEMAIN C'EST AUJOURD'HUI
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Si le nucléaire japonais est en ruine, l'informatique nipponne est au firmament. Hier, le Japon a retrouvé la tête du classement mondial, dit "top 500" des supercalculateurs.
Le Japon avait perdu cette position en novembre 2004, lorsque le "Earth Simulator" avait été détrôné. Hier, le nouveau classement fait apparaître que les dix premiers sont désormais "pétaflopiques"... autrement dit, ils dépassent le million de milliards d'opérations par seconde. Et c'est le "K Computer" (photo) du centre de recherche RIKEN du Japon qui emporte le gros lot avec 8 pétaflops (millions de milliards d'opérations par seconde).
Le K computer a creusé l'écart d'un coup. Construit par Fujitsu, il utilise 68544 unités centrales SPARC64 VIIIfx, chacune constituées de 8 processeurs. La puissance du K Computer égale celle des cinq machines qui le suivent au classement.
La liste des dix premiers est intéressante. Outre le K Computer, elle comporte cinq systèmes américains, un autre japonais, deux chinois et un français. La Chine avait même occupé la première place en novembre 2010 (lire cette note) avec les 2,57 pétaflops de Tianhe 1A, aujourd'hui à la seconde place. Installé à Tianjin, au National Supercomputer Center, il utilise des processeurs Intel mais aussi des FeiTeng-1000, made in China, ainsi que plus de 7.000 processeurs graphiques... conçus pour accélérer les calculs dans les jeux vidéo et fabriqués par l'Américain Nvidia. Tianhe signifie Voie Lactée en chinois. Plus important encore : la Chine compte désormais 62 machines dans le Top 500, et seuls les Etats-Unis en comptent plus, elle a donc dépassé tous les autres pays, y compris le Japon.
La machine française est le Tera-100 (voici une note sur cette machine), le plus puissant en Europe. Cette machine Bull de 1,05 pétaflops réside au centre de Bruyères le Châtel du Commissariat à l'énergie atomique et se destine en priorité aux militaires (comme le trio de tête) même s'il servira aussi à des projets civils.
Source: liberation.fr (Sylvestre Huet) |
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MARDI
JUILLET 2011 |
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| par MANTEAU | | | 22 | |
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LUNDI
JUILLET 2011 |
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Voici comment les constructeurs et carrossiers percevaient l'automobile du futur il y a plusieurs décennies. Retour vers le passé.
1956 : Concept typique de l'automobile nord-américaine des années 1950, cette Buick Centurion dévoile tous les attributs de la voiture du futur de l'époque : fuselage, toit en verre et silhouette étirée à l'extrême. © GM Heritage Center
1952 : Conçue en collaboration avec le carrossier Touring-Superleggera sur une base Alfa Romeo 1 900 C, cette Disco Volante n'a été fabriquée qu'à 4 exemplaires. Sa silhouette biconvexe lui offre une ligne particulièrement aérodynamique et futuriste. © Fiat S.P.A.
1979 : Jantes lisses, rampe de feux découvrables et écran de télévision pour la vision arrière... Cette Aston Martin Bulldog associe ligne futuriste et innovations technologiques. © Aston Martin
1940 : Construits pendant la Seconde Guerre Mondiale, 12 bus du futur sont utilisés par General Motors pour la "parade du progrès" entre 1940 et 1941, puis entre 1953 et 1956. Long de 10 mètres pour 2,4 mètres de large et 3,5 mètres de haut, ces futurliners sont encore au nombre de 9 dans le monde. En 2006, l'exemplaire numéro 11 a été vendu à 4 millions de dollars. © GM Heritage Center
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MARDI
JUILLET 2011 |
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SAMEDI
JUILLET 2011 |
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