Cocktail93




MERCREDI

NOVEMBRE
2009
RES.TXT
 
Rien ne va plus entre Ségolène Royal et Vincent Peillon. Le député européen était ce matin l'invité d'Europe 1 pour répondre à l'ex-candidate socialiste à la présidentielle.
Invitée hier du Grand Journal de Canal+, elle a expliqué avoir écarté Vincent Peillon de l'animation de son courant "Espoir à Gauche". Cela fait suite aux déclarations de Vincent Peillon, furieux d'avoir vu Ségolène Royal s'inviter à une rencontre qu'il organisait le week-end dernier à Dijon.
Ce matin, sur Europe 1, Vincent Peillon a fustigé la stratégie médiatique de la présidente de la région Poitou-Charentes. « L'esbroufe médiatique ne fait pas la réalité » a-t-il lancé au micro de Marc-Olivier Fogiel.
« Pourquoi aller dans les grands médias ? débarquer avec TF1 à Dijon, pour faire exploser tout. Pourquoi aller à Canal pour régler ce genre de questions ? (...) C'est un spectacle désolant. Arrête-toi Ségolène, tu as fait beaucoup de mal samedi (...) Ce qui a encore été fait hier soir est ridicule » a expliqué Vincent Peillon. De son côté, le député a expliqué qu'il ne s'exprimerait plus sur le sujet après cet entretien accordé à Europe 1.
par CHARLES 

MERCREDI

NOVEMBRE
2009
RES.TXT
 
par CHARLES  1

LUNDI

NOVEMBRE
2009
RES.TXT
 
A quelques jours de l'élection de Miss France 2010, Geneviève de Fontenay semble plus remontée que jamais. Dans son interview au quotidien Nice Matin, la présidente du comité Miss France n'a épargné personne.
Nicolas et Carla
Et Geneviève de Fontenay y va de son petit commentaire sur chacun. Le président français n'y échappe pas. "Je n'aime pas son comportement, sa mentalité" lance-t-elle. "Il appartient à ces familles qui sont dans le monde de l'argent et qui ne savent pas ce qu'est la misère. Quand il va dans un village de 1500 habitants, il réquisitionne 2000 flics".
Source: 7sur7.be

Et un petit mot sur carla. "Je ne sais pas si elle représente bien la France, mais en tout cas, elle sert le président".
par CHARLES 

SAMEDI

NOVEMBRE
2009
RES.TXT
 
La société Maiorama, qui voulait distribuer de l'argent samedi près de la Tour Eiffel à Paris, a renoncé à son projet pour raison de sécurité, a-t-elle annoncé à l'AFP, alors que 5.000 personnes étaient présentes sur les lieux, selon la police.
par CHARLES 

MARDI

NOVEMBRE
2009
RES.TXT
 
Sur sa page Facebook, Nicolas Sarkozy raconte ainsi son 9 novembre 1989, et accompagne son témoignage d'une photo: on peut le voir s'attaquer au Mur armé d'une pioche. Vingt ans plus quelques heures plus tard, son récit fait débat. Le président était-il oui ou non présent à Berlin ce fameux 9 novembre?
La contestation
Si la question se pose aujourd'hui, c'est parce qu'Alain Auffray, journaliste de Libération et ancien correspondant du quotidien à Berlin, conteste la version du chef de l'Etat. Selon lui, le récit du Président ne tient pas debout et comporte plusieurs imprécisions historiques. Nicolas Sarkozy explique qu'il aurait senti l'événement se profiler depuis Paris le matin du 9 novembre et qu'il aurait alors décidé de se rendre à Berlin, avec Alain Juppé notamment. Selon Alain Auffray, personne à l'époque, à Paris comme à Berlin, n'avait pu prévoir que le soir même le mur allait tomber. De même il est impossible d'avoir joint une «foule enthousiaste» du côté Ouest comme l'affirme le récit du secrétaire général adjoint du RPR de l'époque car, toujours selon le journaliste, aucun rassemblement n'a eu lieu ce soir là.
Selon le journaliste de Libération, Nicolas Sarkozy, ce 9 novembre 89 devait se trouver, comme tous les 9 novembre, à Colombey-les-deux-églises pour commémorer le 19e anniversaire de la disparition du général de Gaulle.
Les confusions d'Alain Juppé
Fait troublant, c'est Alain Juppé qui s'emmêle dans les dates: alors qu'il déclarait la semaine dernière avoir fait le Mur avec Sarkozy, il déclarait ce lundi matin «ne plus savoir exactement», s'il était là le 10 ou le 11.
Aujourd'hui, Olivia Elkaim, chef des informations à VSD, affirme sur Lepost.fr que la version de l'Elysée est tout à fait correcte et que la photo a bien été prise dans la nuit du 9 au 10 novembre. Le journal l'annonçait d'ailleurs en Une de son édition du 28 octobre dernier.
"Au matin du 9 novembre 1989, un coup de fil d'un informateur allemand prévient le cabinet d'Alain Juppé, à l'époque secrétaire général du RPR, que les Allemands de l'Est vont ouvrir le mur. 'On y va et on emmène Nicolas!' s'exclame Juppé"
Un décalage de date?
Pour le Figaro, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé se tromperaient d'une semaine. Le journal avait relaté la cérémonie de Colombey-les-deux-églises, en précisant qu'Alain Juppé était présent. Les deux hommes se seraient rendu à Berlin le 16 novembre seulement.
La théorie des deux séjours à Berlin
Alors 9 novembre ou 16 novembre? 20minutes.fr a joint un conseille de Nicolas Sarkozy pour démêler l'agenda du chef de l'Etat. Nicolas Sarkozy se serait en fait rendu deux fois à Berlin. Une première fois en toute discrétion le 9 novembre et une seconde fois plus officiellement le 16 novembre. Une version corroborée par Philippe Martel, chargé à l'époque de l'international au RPR:
«Le matin du 9 novembre - j'ai vérifié dans mon agenda 1989, j'ai l'âme d'un archiviste, j'ai tous mes agendas - j'ai été appelé par un copain de promotion de l'ENA, François Laquièze, qui travaillait au Sénat de Berlin, nom qu'on donnait au conseil municipal (...) Il me dit: "ça bouge énormément à Berlin, j'ai l'impression que le Mur va tomber, on ne sait pas s'ils vont tirer". Mais mon copain était optimiste».
François Fillon, qui se trouvait à Berlin à partir du 7 novembre 1989 pour un colloque sur les relations Est-Ouest, affirme ce soir avoir croisé Nicolas Sarkozy et Alain Juppé près de la porte de Brandebourg.
Le démenti de Jean-Jacques de Peretti
Jean-Jacques de Peretti, l'homme qui est présent sur la photo aux côtés du Président, dit n'avoir été qu'une seule fois à Berlin. Et une dépêche AFP de 1989, exumée par le Monde, fait état d'un voyage à Berlin de Nicolas Sarkozy, Alain Juppé et Jean-Jacques de Peretti le 16 novembre. D'où la résignation de ce dernier:
M. de Peretti, embêté, confirme qu'"il n'a pas été à Berlin deux fois", et que "si l'AFP dit que c'était le 16, c'est que ça doit être vrai". "Je vais revérifier tout ça", assure-t-il
par CHARLES  2

JEUDI

NOVEMBRE
2009
RES.TXT
 

par CHARLES 

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SAMEDI

OCTOBRE
2009
RES.TXT
 
C'est inédit dans l'histoire de la Ve République : Jacques Chirac a été renvoyé hier devant le tribunal correctionnel de Paris pour une affaire d'emplois fictifs lorsqu'il était maire de Paris. Une première s'agissant d'un ancien président de la République ! Dès l'annonce de cette décision par la juge Xavière Simeoni, l'ancien chef de l'État, âgé de 76 ans, en vacances au Maroc, a pris « acte de cette décision en justiciable comme les autres ». Dans un communiqué, il s'est dit « serein et décidé à établir devant le tribunal qu'aucun des 21 emplois pour lesquels il est appelé à comparaître devant la justice « ne constitue un emploi fictif ».
Chirac devra répondre de « détournements de fonds publics » et « d'abus de confiance » pour ces emplois de complaisance présumés payés par le cabinet du maire de Paris, fauteuil qu'il a occupé de 1977 à 1995. La juge affirme dans son ordonnance que Jacques Chirac « est à l'origine des recrutements » de chargés de mission à la Ville de Paris et que ceux-ci « devaient être profitables à son action politique ». En revanche, elle a prononcé un non-lieu du chef de « faux en écriture publique ». Le parquet, qui avait requis un non-lieu général fin septembre dans cette affaire, dispose de cinq jours pour faire appel de la décision du juge d'instruction. Selon son avocat, Jean Veil, en cas de procès, « le président Chirac peut choisir soit d'aller s'expliquer devant le tribunal », soit demander à son défenseur « de porter sa parole le moment venu ».
Protégé pendant 12 ans par sa fonction à la tête de l'État (1995-2007) avant de redevenir un justiciable ordinaire, Jacques Chirac avait été mis en examen le 21 novembre 2007. Il avait alors dit « assumer la totale responsabilité de ces recrutements », arguant de leur utilité, et nié tout détournement. Si l'ancien président a été entendu dans plusieurs affaires judiciaires touchant au financement de son ancien parti, le RPR, (voir ci-dessous) le dossier des chargés de mission est le seul dans lequel il est poursuivi.
Neuf autres personnes sont également renvoyées devant le tribunal. Parmi eux figurent deux de ses anciens directeurs de cabinets, Michel Roussin et Rémy Chardon, ainsi que Jean de Gaulle, ancien député et petit-fils du Général, François Debré, frère de Jean-Louis Debré, et l'ancien secrétaire général de Force ouvrière (FO) Marc Blondel… pour avoir bénéficié d'un chauffeur rémunéré par la mairie de Paris.
Ce retour de bâton judiciaire intervient au moment où Jacques Chirac n'a jamais été aussi populaire puisqu'à la mi-octobre, selon le palmarès politique Ifoppour Paris-Match, il totalisait 76 % d'opinions favorables.
Source:LaDépêche.fr

par CHARLES 

VENDREDI

OCTOBRE
2009
RES.TXT
 
"Moi je ne suis pas venu tenir un discours que vous avez déjà entendu..." Le président français annonçait la couleur, mardi dernier.
Evoquant l'agriculture, Nicolas Sarkozy tient un discours fort, inédit, sans langue de bois... Du moins c'est ce qu'il annonce car Le Petit Journal de Yann Barthes (sur Canal +) a une nouvelle fois fait preuve de vigilance: une partie de ce discours est la même, mot pour mot, que les propos tenus le 19 février 2009 lorsqu'il évoquait déjà les problèmes liés à l'agriculture.
par CHARLES  14

JEUDI

OCTOBRE
2009
RES.TXT
 
Condamné dans l'affaire de l'Angolagate, le sénateur Charles Pasqua a contre-attaqué en mettant en cause Jacques Chirac et en réclamant la levée totale du secret défense dans ce dossier mais aussi dans d'autres affaires politiques sensibles.
L'ancien ministre de l'Intérieur, 82 ans, a été pour la première fois condamné mardi à une peine de prison ferme pour son rôle dans le dossier de l'Angolagate, une affaire de trafic d'armes remontant aux années 1990. Il a annoncé qu'il allait faire appel de cette condamnation.
230.000 euros
Cette condamnation vise notamment le versement par la société de ventes d'armes Brenco de quelque 230.000 euros en juillet 1996 à l'association France-Afrique-Orient, dont M. Pasqua fut un temps le vice-président. Le sénateur des Hauts-de-Seine a immédiatement réagi en expliquant que "le président de la République (Jacques Chirac, à l'époque) était au courant" de cette affaire de ventes d'armes.
"Le Premier ministre était au courant, la plupart des ministres aussi", a ajouté M. Pasqua, en estimant que "le moment (était) venu de mettre les choses au clair". Dans son jugement, le tribunal accrédite les propos de M. Pasqua en dénonçant "l'incurie" des autorités, sans pour autant exonérer les prévenus de leurs responsabilités.
Relevant des "coïncidences" entre son ambition présidentielle déclarée en 2000 et le début de ses "ennuis" judiciaires, Charles Pasqua a demandé "la levée du secret défense sur toutes les ventes d'armes afin que l'on sache s'il y a eu des retours de commissions en France et qui en a bénéficié".
"Les Français ont besoin de savoir"
Mercredi sur Public-Sénat, M. Pasqua a enfoncé le clou en expliquant que "ces documents permettraient de savoir exactement ce que savait Jacques Chirac, président de la République, le Premier ministre et tous les ministres concernés". Il a souhaité que la levée du secret défense concerne d'autres dossiers sensibles comme Clearstream, les frégates de Taïwan:
"Il faut tout lever ! Les Français ont besoin de le savoir". Les juges d'instruction en charge de ces dossiers ont vu leurs investigations bloquées ou entravées par le secret défense. Le juge Renaud van Ruymbeke a rendu un non-lieu dans l'affaire des frégates de Taïwan, où l'on soupçonne le versement de rétrocommissions à des politiques, après avoir essuyé des refus de déclassification de documents.
Clearstream
L'affaire Clearstream, qui a vu l'affrontement entre Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, avait pour origine des documents falsifiés prétendant révéler le nom de bénéficiaires de rétrocommissions. L'hypothèse d'une implication des services secrets a été évoquée.
Dans l'affaire de l'attentat de karachi, des juges travaillent sur la piste d'un contentieux franco-pakistanais qui pourrait être lié au non-versement de commissions liées à la vente de sous-marins. Les noms d'Edouard Balladur et de Nicolas Sarkozy ont été cités par les enquêteurs à propos d'éventuelles rétrocommissions.
Pétition
Dans la foulée de Pasqua, les parlementaires socialistes ont lancé mercredi une pétition pour une levée "immédiate" du secret défense. Le président du MoDem, François Bayrou s'est également dit favorable à cette demande, un bon moyen, selon lui, d'"assainir" la vie politique.
"Plus on fera apparaître la vérité dans ce genre d'affaires, mieux ce sera. Cela ne vise pas uniquement les ventes d'armes", a déclaré pour sa part Edouard Balladur en estimant cependant qu'il fallait "savoir où mettre la ligne de partage entre ce que sont les intérets de l'Etat et ce que sont les intérêts des citoyens".
par CHARLES  2

VENDREDI

OCTOBRE
2009
RES.TXT
 
par CHARLES 

MARDI

OCTOBRE
2009
RES.TXT
 
Un ingénieur de 48 ans s'est donné la mort jeudi dans les Côtes-d'Armor. L'homme était en arrêt-maladie, sur les conseils de son médecin du travail. Les syndicats appellent à une journée d'action le 20 octobre.
L'inquiétante série de suicides à France Télécom se poursuit. Jeudi, c'est un ingénieur de 48 ans, en arrêt-maladie depuis un mois sur les conseil de son médecin du travail, qui s'est pendu à son domicile de Lannion (Côtes-d'Armor). Un salarié du centre de Recherche et Développement de Lannion s'était déjà suicidé fin août. Selon plusieurs sources, ce père de trois enfants avait récemment postulé pour une position à Rennes qui lui a été refusée. Il a laissé à ses proches une longue lettre dans laquelle il faisait «état d'une déception dont il aurait souffert» au sujet d'«un poste sur lequel il était candidat et où il n'a pas été retenu», selon la direction de France Télécom. Ce nouveau drame porte à 25 le nombre de suicides dans l'entreprise en près de deux ans selon les syndicats, un chiffre non contesté par la direction.
«Plus que jamais, il faut que nous accélérions l'ensemble des mesures que nous prenons pour sortir de cette spirale infernale, il faut absolument arrêter cette vague de suicides qui est en train de frapper l'entreprise», a réagi le PDG de France Télécom, Didier Lombard, qui s'est rendu sur place.
C'est au même centre de Lannion que Didier Lombard avait tenu un discours controversé, dont un extrait vidéo avait récemment circulé sur Internet. «Ceux qui pensent qu'ils vont pouvoir continuer à être sur leur sillon et pas s'en faire tranquille, se trompent», avait martelé le PDG. Et Didier Lombard de s'adresser ensuite directement aux salariés de Lannion, une ville située en bord de mer : «Les salariés qui ne sont pas à Paris, qui pensent que la pêche aux moules c'est merveilleux... Eh bien c'est fini.»
L'annonce de ce nouveau suicide intervient alors qu'un homme de 54 ans, qui était aussi en arrêt maladie, avait tenté de se pendre mardi à Marseille. Il avait été sauvé de justesse par les pompiers. Le dernier suicide remontait à fin septembre, lorsqu'un homme de 51 ans s'était jeté d'un viaduc autoroutier près d'Annecy.
Source: lefigaro.fr

par CHARLES  1

MARDI

OCTOBRE
2009
RES.TXT
 
"Il y a pire que le stress au travail, il y a le stress au chômage", a déclaré mardi devant l'Assemblée nationale le ministre du Travail, Xavier Darcos.
par CHARLES  2

MARDI

OCTOBRE
2009
RES.TXT
 
Dans une de ces conversations de bistrot dans "On n'est pas couché", Jacques Seguéla a encore été bien inspiré et nous a ressorti une énormité digne de la Rolex.
Tout se déroule lors de l'interview de Julien Dray. Le publicitaire prend la parole, aux alentours de 7'40''.
http://www.dailymotion.com/video/xaubsh_julien-dray-vs-zemmour-naulleau-3-i_news
Il est censé prendre la parole pour défendre Dray mais on se demande s'il ne fait pas pire que mieux. Après un "J'ai inventé la publicité" sidérant, on a droit à une tirade stupéfiante, vers 8'30'' : "Il est victime de ce cancer qui s'appelle l'intox. Qui est dû à quoi ? Qui est dû au net. Le net est la plus grande saloperie qu'aient jamais inventé les hommes."
Ah oui, cette vidéo se retrouve également sur la toile. Va-t-il venir accuser le net de la disponibilité de cette vidéo, qu'il ne savait pas qu'il était filmé ou encore que c'était une déclaration d'après digestif.
Consternant.
Source: Erenumerique.fr

par CHARLES  6

              
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