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MERCREDI

MAI
2009
RES.TXT
 

par CHARLES  2

LIEN

LUNDI

MAI
2009
RES.TXT
 
Les Français préfèrent Merkel à Sarkozy
A la question de savoir qui ils choisiraient comme premier président officiel de l'Union européenne, les Français plébiscitent la chancelière allemande Angela Merkel plutôt que leur propre président Nicolas Sarkozy, selon un sondage d'opinion du journal en ligne Bakchich.
Un répondant sur quatre estime que la chancelière allemande est "la plus compétente" pour devenir le premier président d'Europe. Le président français recueille lui 17% des suffrages, ce qui ne le place toutefois qu'en troisième position derrière l'ancien président français Valery Giscard d'Estaing.
Le président de la commission européenne, le Portugais José Manuel Barroso, obtient 14% des votes, le Premier ministre espagnol José Luis Zapatero 12% et le Premier ministre britannique Gordon Brown 4%. Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi ferme la marche avec juste un pour cent des votes.
source: 7sur7.be/belga

par CHARLES  2

LUNDI

MAI
2009
RES.TXT
 
Nicolas Sarkozy participe à l'Elysée au 90e anniversaire de la fondation de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge.
photo: Philippe Wojazer
article: france24.fr
par CHARLES  4

LUNDI

MAI
2009
RES.TXT
 
L'épouse de Silvio Berlusconi veut le divorce
Veronica Lario, l'épouse du chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi, a décidé de demander le divorce, excédée après 30 ans de mariage du comportement de son mari envers sa propre famille mais aussi envers les belles jeunes femmes, écrit dimanche la presse.
Adieu à Silvio
"La décision de Veronica: adieu à Silvio", écrit à la Une La Stampa, le quotidien du groupe Fiat. "Veronica, adieu à Silvio: j'ai décidé, je demande le divorce", titre en première page la Repubblica, un quotidien de gauche, les deux journaux citant des "amies et des proches".
Les deux quotidiens affirment aussi que Veronica Lario a déjà contacté une avocate de confiance et donné des instructions pour que la procédure de divorce débute le plus rapidement possible.
Il y a trois jours seulement Veronica Lario avait déjà durement attaqué Silvio Berlusconi pour son intention d'inclure des starlettes sur les listes électorales de son parti pour les européennes de juin, obligeant le chef du gouvernement à faire marche arrière.
La coupe est pleine
Il semble cependant que la goutte qui a fait débordé le vase est la participation, il y a une semaine, de Silvio Berlusconi à la fête donnée pour le 18e anniversaire d'une belle jeune fille blonde à Naples, alors qu'il n'a jamais assisté à ceux de ses enfants, selon Veronica Lario.
"Mon mariage est terminé. Je ne peux pas rester avec un homme qui fréquente des mineures", a dit Veronica Lario à une de ses amies, selon la Repubblica.
"Lire dans les journaux qu'il fréquente une mineure, car il la connaissait avant qu'elle n'ait 18 ans, lire qu'elle l'appelle papy et qu'elle parle de leurs rencontres à Rome et Milan, cela était franchement inacceptable. Comment peut-on rester avec un homme pareil", écrit pour sa part La Stampa citant aussi des amies de Veronica Lario.
Silvio Berlusconi et Veronica Lario se sont rencontrés en 1980 et se sont mariés civilement 10 ans plus tard, le chef du gouvernement étant divorcé. Ils ont trois enfants: Barbara, 24 ans, Eleonora, 22 ans et Luigi 20 ans.
Veronica Lario, qui n'est quasiment jamais présente aux côtés de son mari, l'avait déjà attaqué il y a deux ans pour ses compliments en public à une jolie femme, en adressant une lettre ouverte à la presse.
Souce: belga/7sur7.be
par CHARLES  2

LUNDI

MAI
2009
RES.TXT
 
Berlusconi, indigné, réclame des excuses de sa femme
"Je fréquenterais, comme l'a dit Madame, des filles de 17 ans. C'est une affirmation que je ne peux pas supporter. Je suis ami avec son père: un point c'est tout. Je le jure"
"Je fréquenterais, comme l'a dit Madame, des filles de 17 ans. C'est une affirmation que je ne peux pas supporter. Je suis ami avec son père: un point c'est tout. Je le jure"
Silvio Berlusconi et sa femme Veronica semblent ne plus se supporter.
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi doute fortement d'une réconciliation avec son épouse Veronica et lui demande de s'excuser publiquement, dans une interview lundi, alors que les déboires conjugaux du couple font la une de la presse italienne.
"C'est la troisième fois qu'elle me fait le coup"
Interrogé par le Corriere della Sera sur la possibilité d'une réconciliation, Silvio Berlusconi répond: "Je ne crois pas. Je ne sais pas si je la veux cette fois. Veronica devra me demander des excuses publiques. Et je ne sais pas si cela suffira". "C'est la troisième fois qu'elle me fait le coup en pleine campagne électorale. C'est trop", ajoute le Cavaliere qui se dit "indigné".
Dans des déclarations à La Stampa, le chef du gouvernement se dit "préoccupé et déçu". "J'ai maintenu une situation difficile (le mariage, ndlr) par amour des enfants, mais maintenant c'est fini, les conditions ne sont plus réunies pour aller de l'avant", a-t-il affirmé à La Stampa. "C'est une histoire qui devait demeurer privée, je n'arrive pas à me faire une raison sur le fait qu'elle a fini sur les journaux", confie-t-il.
"C'est une affaire personnelle douloureuse, qui appartient à la sphère de la vie privée et dont il me semble bon de ne pas parler", s'était contenté de commenter dimanche le chef du gouvernement dimanche. Lundi, il est passé à l'offensive avec des déclarations aux deux quotidiens, affirmant notamment que son épouse est "tombée dans un piège" en croyant aux informations rapportées par la presse.
"Je fréquenterais, comme l'a dit Madame, des filles de 17 ans"
Outre l'intention prêtée au chef du gouvernement d'inclure plusieurs starlettes sur la liste électorale de son parti aux élections européennes de juin, Mme Berlusconi s'est surtout indignée de la participation de son mari à la fête d'anniversaire d'une jeune fille de 18 ans qui appelle M. Berlusconi "papi". "Je ne peux pas rester avec un homme qui fréquente des mineures", a-t-elle expliqué, dans des propos qui lui sont attribués dimanche par deux quotidiens.
Dans la Stampa, M. Berlusconi se défend avec force de ces accusations. "Je fréquenterais, comme l'a dit Madame, des filles de 17 ans. C'est une affirmation que je ne peux pas supporter. Je suis ami avec son père: un point c'est tout. Je le jure". Veronica Lario (52 ans) et Silvio Berlusconi (72 ans), se sont mariés en décembre 1990. Ils ont trois enfants, Barbara, 24 ans, Eleonora, 22 ans et Luigi 20 ans. Le chef du gouvernement a déjà deux enfants d'un précédent mariage.
Source: 7sur7/belga/th

par CHARLES 

MARDI

AVRIL
2009
RES.TXT
 
Ségolène Royal a affirmé lundi soir qu'"aujourd'hui lorsqu'on lit la presse internationale, on a honte" d'être français, en promettant de "prendre la parole", "chaque fois qu'il y aura un manquement à cette éthique du respect" de la part de Nicolas Sarkozy.
Expliquant sur France 2 pourquoi elle avait présenté "ses excuses" au chef du gouvernement espagnol José Luis Zapatero après des propos prêtés au président de la République, Mme Royal a fait valoir que Nicolas Sarkozy était "récidiviste dans toutes les formes d'agressivité verbale, de dénigrement".
Réputation
Elle a rappelé notamment à cet égard le "Salon de l'agriculture" en 2008 où le président avait pris à parti un visiteur ou lorsqu'"il s'en prend à Barack Obama, à Angela Merkel, à d'autres dirigeants du monde". "Chaque fois qu'il y aura un manquement à cette éthique du respect, je prendrai la parole pour défendre les valeurs auxquelles je crois", a-t-elle promis. Pour elle, "ce qui est en cause, c'est la réputation de la France, sur la scène internationale".
Elle a cité à ce propos le général de Gaulle, François Mitterrand et Dominique de Villepin défendant devant l'ONU l'opposition de la France à la guerre en Irak. "On était fier d'être français, même si on ne partageait pas les mêmes opinions politiques", a-t-elle poursuivi. "Aujourd'hui, lorsqu'on lit la presse internationale, on a honte...", a-t-elle ajouté. Pour elle, "Nicolas Sarkozy, qui reçoit les journaux étrangers (...) aurait dû dire tout de suite que si ces propos avaient été mal interprétés, il s'en excusait".
Arrogance et impolitesse
Elle a souligné avoir écrit au chef du gouvernement espagnol pour s'excuser de propos attribués à Nicolas Sarkozy parce que c'était "naturel" pour elle, et que M. Zapatero est "un ami". Par ailleurs, dans une interview au Parisien à paraître mardi, l'ancienne candidate PS à la présidentielle dénonce "l'arrogance" et l"impolitesse" du chef de l'Etat. "Il faut que cela s'arrête. Le jour où Nicolas Sarkozy changera de mode d'expression, apprendra à respecter les autres, je n'aurai plus l'occasion de m'excuser, de demander pardon", précise-t-elle.
Dérapages verbaux
"Tant qu'il continuera, je continuerai à défendre la République du respect!", prévient la présidente de la région de Poitou-Charentes au Parisien. Elle explique avoir voulu "mettre un coup d'arrêt aux dérapages verbaux permanents" de Nicolas Sarkozy "à l'égard des personnalités mais aussi à l'égard des Français".
Faisant allusion au porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre qui lui avait conseillé une "aide psychologique", Mme Royal s'insurge dans Le Parisien: "Mais dans quels régimes dit-on d'une opposante qu'elle est folle, pour la faire taire quand elle dérange? Dans un régime démocratique ?" "Que se passerait-il si un jeune s'adressait à un policier dans les mêmes termes que M. Lefebvre? Il serait puni pour injure publique", lance-t-elle. "Est-ce qu'un responsable politique peut se comporter comme un voyou?", accuse Mme Royal.
Par ailleurs, sur sa participation à un meeting PS dans la campagne des Européennes elle affirme: "Si Martine Aubry souhaite me donner une responsabilité, je l'accepterais bien volontiers, car j'ai toujours été au service de ma famille politique".
Source: 7sur7.be/AFP

par CHARLES  2

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LUNDI

AVRIL
2009
RES.TXT
 
Sarkozy épinglé dans la presse mondiale pour des propos sur ses pairs, malgré les démentis
MADRID (AFP) — La presse internationale épinglait vendredi Nicolas Sarkozy pour des propos peu amènes, démentis par l'Elysée, qui lui ont été prêtés par le journal français Libération sur des dirigeants étrangers, dont le Premier ministre espagnol José Luis Rodriguez Zapatero.
En Espagne, où le président français se rendra en visite officielle les 27 et 28 avril, la presse reprend en choeur une pique supposée de M. Sarkozy mettant en doute l'intelligence de M. Zapatero, critiquant à l'instar d'ABC (droite) "le complexe de supériorité" du dirigeant français.
"Stupide, immature, hors de propos: le jugement de Sarkozy sur ses homologues", titrait en Une le quotidien britannique The Guardian, à propos de ses commentaires supposés sur M. Zapatero, la chancelière allemande Angela Merkel ou le président américain Barack Obama.
Pour le Times (conservateur), "M. Sarkozy est irrité par l'adulation dont jouit un dirigeant américain sans expérience, dont la popularité a éclipsé (sa) réputation de sauveur du monde".
La presse allemande abordait l'épisode factuellement, comme celle d'Italie qui s'amusait de la "gaffe de Sarkozy" (La Republicca).
Selon l'article de Libération paru jeudi, le chef de l'Etat français se serait livré à des commentaires critiques sur les dirigeants cités lors d'un déjeuner privé à l'Elysée avec des parlementaires de droite et de gauche.
Il aurait loué "l'esprit subtil" de M. Obama tout en soulignant son manque d'expérience et se serait félicité que Mme Merkel se soit rangée à ses vues sur la crise économique.
Sur M. Zapatero, il aurait répondu à une remarque: "il se peut qu'il ne soit pas très intelligent. Moi j'en connais qui étaient très intelligents et qui n'ont pas été au second tour de la présidentielle", en référence à l'échec du socialiste français Lionel Jospin en 2002.
Un porte-parole de l'Elysée a formellement démenti jeudi tous ces propos, qui ont été également contestés par plusieurs témoins, mais sans convaincre en Espagne.
"Fasciné par les commérages, Sarkozy donne la véritable mesure de son altière - et trompeuse - figure politique", commentait ABC.
En Catalogne, El Periodico (centre-gauche) glosait "sur le caractère fanfaron" du président français, La Vanguardia (centre-droit) doutant "que ce soit la meilleure manière de préparer" sa visite en Espagne.
El Mundo (libéral) compte sur la présence prochaine à Madrid de Carla Bruni-Sarkozy pour "alléger les tensions et contenir les légèretés auxquelles se livre son époux quand il se sent à l'aise et desinhibé".
Aux Etats-Unis, après avoir été évoquée dès jeudi par les chaînes d'informations en continu, l'affaire rebondissait vendredi dans le New York Times, qui titrait : "Un repas avec Sarkozy : brochettes de dirigeants au menu".
"Le président Nicolas Sarkozy est connu pour son amour de l'action", écrivait le quotidien. "Mais il aime également se vanter et se moquer de ses collègues dirigeants du monde", poursuivait-il, observant que le démenti de l'Elysée ne semblait pas concerner les propos qui auraient été tenus sur M. Obama.
par CHARLES  1

JEUDI

AVRIL
2009
RES.TXT
 

par CHARLES 

LIEN

JEUDI

AVRIL
2009
RES.TXT
 
"Tout ce qu'elle sait faire c'est s'étaler dans la presse"
Les "peopleries" de Rachida Dati continuent d'irriter les politiciens français. Le Président Sarkozy en a lui-même ras le bol, pour lui, la garde des Sceaux française se doit d'être plus discrète.
Après avoir lu, les trois pages que le Parisien vient de consacrer à la jeune maman, Sarkozy a perdu patience. "C'est l'article de trop" a lancé le Président. "Je lui ai demandé d'être discrète, de travailler sur les européennes, elle n'en fait rien" indique le Point.
Pour Sarkozy, Rachida Dati doit cesser de se prendre pour une people. "Tout ce qu'elle sait faire, c'est s'étaler dans la presse. Cette fille me déçoit énormément".
Il est certain que depuis sa grossesse et le mystère qui plâne autour du père de son bébé, Rachida Dati parle plus d'amour et de couche-culottes que de politique.
Source: CB/7sur7.be

par CHARLES  1

MERCREDI

AVRIL
2009
RES.TXT
 
par CHARLES  3

LIEN

JEUDI

AVRIL
2009
RES.TXT
 
Le Premier ministre britannique Gordon Brown a répondu avec humour aux menaces de Nicolas Sarkozy de quitter prématurément le G20: "Je suis persuadé que le président Sarkozy assistera au début du dîner et qu'il restera jusqu'à la fin".
Source: 7sur7.be

par CHARLES  2

MARDI

MARS
2009
RES.TXT
 
Le secrétaire général de l'UMP réagit aux révélations de LEXPRESS.fr sur la retraite de Daniel Bouton - dont la Société Générale affirme qu'elle se montera à 730 000 euros par an.
Xavier Bertrand a réagi ce mardi aux révélations de LEXPRESS.fr sur la retraite de Daniel Bouton. Le secrétaire général de l'UMP a estimé que "ça commence à faire beaucoup", après l'affaire Kerviel et celle des stock-options que devaient toucher les dirigeants de la banque.
De son côté, la Société Générale a publié un communiqué ce mardi matin, où elle affirme qu'il "n'existe aucun régime spécifique pour les mandataires sociaux" et que "les régimes existants correspondent aux régimes pour les cadres de direction et sont comparables aux pratiques de place".
La banque affirme que Daniel Bouton est "affilié à un régime mis en place au début des années 80 et fermé depuis, qui lui assurera une retraite totale, lorsqu'elle sera liquidée, de 58% de son dernier salaire de dirigeant exécutif, soit environ 730 000 Euros par an".
par CHARLES 

              
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