VENDREDI
OCTOBRE 2014 |
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JEUDI
AOUT 2014 |
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Un drôle d'animal entre chat et ourson aux grands yeux vivant dans la forêt des Andes et un serpent sans yeux vivant dans le noir à plus de 900 mètres sous terre en Croatie figurent parmi les dix nouvelles espèces les plus étonnantes découvertes l'an dernier, ont annoncé jeudi des scientifiques.
Cette liste, constituée chaque année depuis 2008, vise à rappeler que les chercheurs continuent à découvrir de nouvelles espèces. Près de 18.000 ont été identifiées en 2013, s'ajoutant aux deux millions déjà connues de la science.
La liste des dix principales découvertes est établie par un comité international de taxonomistes et d'autres experts, réunis par le College of Environmental Science and Forestry de la State University de New York.
La liste doit être publiée à temps pour l'anniversaire de naissance, le 23 mai, de Carl von Linné (1707-1778), le botaniste suédois considéré comme le fondateur de la taxonomie moderne.
Les scientifiques estiment à dix millions le nombre d'espèces non encore répertoriées, aussi bien des organismes unicellulaires que des mammifères. Leur plus grande crainte est que des milliers d'entre elles ne s'éteignent avant d'avoir pu être identifiées, souligne l'entomologiste Quentin Wheeler, de la State University of New York, dans un communiqué.
par Sharon Begley(REUTERS)
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MERCREDI
JUILLET 2014 |
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Béla Guttmann est un footballeur international hongrois (plus tard naturalisé autrichien) qui évoluait au poste de défenseur ou milieu, avant d'ensuite devenir entraîneur.
Guttmann est considéré comme l'un des inventeurs du 4-2-42, une tactique qu'il introduira lors de son passage au Brésil en 1957 et qui fera le succès de la Seleçao lors des coupes du monde de 1958 et 19623.
En 40 ans d'activité, il change d'équipe à vingt-et-une reprises, voyageant à travers le monde et travaillant dans des clubs prestigieux comme l'AC Milan, Peñarol, le FC Porto, le São Paulo FC, Benfica (il lança et fut le mentor du jeune joueur du club à l'époque Eusébio) ou encore Budapest Honvéd et l'Újpest TE entre autres. Il va possèder l'un des plus beaux palmarès au poste d'entraîneur: deux coupes d'Europe des clubs champions avec le SL Benfica (en 1960-61 et 1961-62), une Copa Libertadores, sept titres de championnats nationaux (Hongrie, Italie, Portugal, Uruguay et Brésil) et sept coupes nationales.
Pour autant, sa riche carrière n'est pas sans polémiques, Guttmann conservant son poste rarement plus de deux saisons. Sa haute opinion de lui-même, son ton ironique, cynique et cassant ainsi que ses exigences salariales élevées en ont fait un entraîneur charismatique, sujet de controverses dans la presse, précurseur d'un Helenio Herrera ou plus récemment d'un José Mourinho.
Après ses deux C1 remportés avec le Benfica, Guttmann, satisfait de son travail, demande au club une revalorisation salariale qu'il n'obtiendra finalement jamais. Déçu, il quitte alors le club et le maudira en lançant cette phrase célèbre:
« Je m'en vais en vous maudissant. À partir d’aujourd’hui et pendant 100 ans, Benfica ne remportera pas une Coupe d’Europe. »
La malédiction s'opère alors dès le départ de Guttmann, s'étendant même sur la C3. Depuis le départ du sorcier hongrois, Benfica n'a plus remporté de coupe d'Europe, et pire encore , a échoué 8 fois en finale (battu lors des finales de C1 de 1962-63, 1964-65, 1967-68, 1987-88 et 1989-90, ainsi que lors des finales de C3 de 1982-83, 2012-13 et 2013-14).
Pour parer la malédiction, le président du Benfica Luís Filipe Vieira, décide même pour fêter les 110 ans du club en 2014, d'ériger une statue de Guttmann de plus de deux mètres fabriquée en Hongrie avec ses deux C1 dans les mains (pour chasser la malédiction en faisant revenir l'esprit du hongrois).
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MARDI
JUILLET 2014 |
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Un mannequin d'origine espagnole, connu pour ses rôles sexy, a tout plaqué pour entrer dans les ordres, après avoir été "appelé par Dieu".
À 36 ans, Olalla Oliveros, mannequin espagnol mondialement connu, a annoncé publiquement qu'elle changeait de vie pour devenir nonne. Surtout célèbre pour ses rôles sexy dans des publicités et des séries télévisées, Olalla a rejoint l'ordre semi-cloîtré de Saint-Michel-Archange, dans le diocèse espagnol de Tui-Vigo, où elle résidera en tant que soeur Olalla del Sí de María.
Dans une interview au National Catholic Register, une revue américaine catholique, le top model originaire de Galice a expliqué qu'une visite au sanctuaire portugais de Notre-Dame-de-Fatima avait déclenché en elle un "tremblement de terre interne" et que, après cet événement, elle n'avait pas pu débarrasser son esprit de l'image d'elle habillée en bonne soeur. Elle raconte qu'elle a alors consulté un prêtre à Madrid et compris que Dieu l'appelait. Selon elle, "le Seigneur ne se trompe jamais", et s'il lui a demandé ainsi de le suivre, elle ne "pouvai(t) pas refuser".
Olalla Oliveros n'est pas la première à avoir mis fin à une carrière de mannequin pour se consacrer à sa foi. En 2005, Amada Rosa Pérez avait choisi de tout abandonner pour travailler auprès d'une communauté religieuse. Le top model colombien, qui porte aujourd'hui le nom de soeur Rosa Pérez Amada, avait justifié son choix ainsi : "Je veux être un modèle qui favorise la dignité de la femme, et pas son utilisation à des fins commerciales."
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MERCREDI
JUIN 2014 |
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BONNE ACTION - L'acteur, en plein tournage, faisait les poubelles. La touriste française ne l'a pas reconnu.
Une touriste française qui voyait un homme faire les poubelles à New York n'a écouté que son bon coeur et lui a offert sa pizza, sans réaliser qu'il s'agissait de l'acteur américain Richard Gere en plein tournage. Karine Valnais Gombeau, une Parisienne de 42 ans se trouvait près de la gare de Grand Central à Manhattan, quand elle a vu l'homme, un bonnet enfoncé sur les oreilles, faire les poubelles, a rapporté dimanche le quotidien New York Post. Elle sortait d'une pizzeria avec son mari et leur fils de 15 ans, et lui a donné ce qui restait de leur pizza pantagruélique.
Richard Gere, 64 ans, n'a pas cillé, lui demandant ce qu'il y avait dans le sac qu'elle lui tendait. "J'ai essayé de lui dire en anglais, mais c'est sorti à moitié en français. Je lui ai dit "je suis désolée, but the pizza is cold"" (mais la pizza est froide)", a-t-elle raconté au quotidien. "Il m'a répondu "Merci beaucoup, que Dieu vous bénisse"".
La jeune femme est repartie sans savoir à qui elle avait donné sa pizza, ignorant qu'il s'agissait du tournage d'un nouveau film avec Richard Gere "Time out of Mind". Elle ne l'a découvert que deux jours plus tard, quand le New York Post a publié sa photo. "C'était magique, incroyable que quelque chose comme ça puisse arriver", a-t-elle déclaré. "Je pense qu'il est très beau, même à son âge", a-t-elle ajouté.
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VENDREDI
JUIN 2014 |
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La plupart des New-Yorkais ignorent même son existence : à l'extrême Est du quartier du Bronx, une petite île quasi-inaccessible abrite un million d'âmes, enterrées dans des fosses communes.
Enfants mort-nés, décédés peu après la naissance, pauvres, indigents, SDF, inconnus, Hart Island est l'un des plus grands cimetières des Etats-Unis. Et le moins fréquenté.
Impossible de venir s'y recueillir. Pas de pierres tombales, encore moins de noms. Chaque fosse commune est signalée par une simple borne blanche, parfois en plastique.
Les morts y sont enterrés par des détenus de la prison de Rikers Island, quatre jours par semaine, loin de tout regard: environ 150 cercueils d'adulte par fosse commune de 21 m de long, et quelque 1.000 enfants, dans de minuscules cercueils de pin marqués d'un simple numéro, dans des fosses séparées.
Au total, près de 1.500 personnes y sont encore enterrées chaque année, explique à l'AFP Melinda Hunt, directrice du Hart Island project, qui depuis des années documente le lieu. Près d'un million l'ont été depuis 1869, selon les autorités.
Ni appareils photo, ni caméras ne sont autorisés sur l'île inhabitée. Et n'y vient pas qui veut.
Car vestige d'une époque révolue, Hart Island, qui a abrité au fil des ans un camp de prisonniers de guerre, un hospice, une prison, un asile pour femmes et même une base de missiles anti-aériens, est administrée par le Département des prisons de New York. Le seul embarcadère pour s'y rendre est interdit au public, grilles fermées, hérissées de barbelés. Des panneaux dissuadent quiconque de s'y aventurer.
Registres longtemps inaccessibles
Longtemps, les registres du cimetière ont été inaccessibles. Certains ont été perdus, d'autres ont brûlé. Les familles étaient parfois incapables de savoir que l'un des leurs y avait été enterré par la ville.
Et aucune carte n'existait jusqu'en 2009, selon Melinda Hunt, une artiste qui se bat depuis des années pour que le lieu soit ouvert aux proches.
"Il y a un droit inhérent à visiter une tombe et à savoir où se trouve quelqu'un. Le problème avec Hart Island est que les gens d'une certaine façon disparaissent". "Ce n'est pas acceptable, dans aucune culture", dit-elle.
Mais le Département des prisons explique qu'il n'est pas à même d'accueillir des visiteurs, faute d'infrastructures sur une île dont les bâtiments abandonnés tombent en ruines, dans un paysage constellé de bornes blanches.
Sous la pression, les autorités ont cependant autorisé les visites au compte-goutte ces dernières années, sous un petit chapiteau loin des tombes.
Source: Brigitte DUSSEAU | AFP
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