
VENDREDI
  AOUT 2012 |
| HUMOUR
| |
|
|
Quel est le comble de l'avarice ?
Remplir son briquet avec du diesel.
Source: blogdeblagues.hautetfort.com
|
|
|
|
|
|



Les posts plus lus dans la rubrique Humour humide 7258 , le 07/03/2014 Vie de couple 6109 , le 10/03/2014 Humour d'antan 6053 , le 16/03/2014 Sexe fort, sexe faible 6007 , le 11/12/2014 Humour (lunettes) noir 5651 , le 18/02/2014 Sexe faible 5247 , le 22/02/2014 Humour d'antan 4595 , le 23/03/2014 Dieu que c'est drole! 4415 , le 13/03/2014 Love 4090 , le 25/02/2014 Vive le camping ! 3768 , le 21/12/2014 It's behind me, isn't it ? 3672 , le 21/03/2014 Randstad intérim, bonjour ! 3657 , le 13/02/2015 Miss Pochtron 2012 3597 , le 01/04/2012 Hou les cornes 3479 , le 14/06/2014 Pause café 3470 , le 02/07/2014
LUNDI
  JUILLET 2012 |
| HUMOUR
| |
|
|
VENDREDI
  JUILLET 2012 |
| HUMOUR
| |
|
|
MERCREDI
  JUILLET 2012 |
| HUMOUR
| |
Ce matin de juin, j’écris dans un transat au fond du jardin anglais que le soleil levant caresse voluptueusement pour en essuyer la rosée. A portée de main, sur un guéridon de paille tressée, le thé aux herbes tiédit à la brise. Le bouvreuil effronté, qui m’espionnait hier déjà, sautille et pirouette à trois pas en stridulant des joliesses absconses dont j’appréhende cependant qu’elles veuillent dire :
" Tire-toi de là bonhomme, que je finisse les miettes de ton croissant qui sont tombées dans l’herbe."
Eh bon, comme l’oiseau, j’ai la plume frivole et baladeuse et tendance à papillonner autour du sujet sans m’y soumettre, voire même à m’en écarter carrément. Ce qui est pénible, avec les livres, je veux dire quand on les écrit, c’est qu’on est plus ou moins poussé à s’en tenir au sujet qu’on prétend traiter. Il faut savoir que cette contrainte est parfois très pénible quand elle s’abat sur un auteur velléitaire par nature, incohérent par goût, et facilement déconnectable par l’imprévu, en l’occurrence ce petit pédé de bouvreuil qui fait rien que frétiller de la queue pour m’empêcher d’aller plus loin.
Dieu merci, quand on se contente de penser au lieu d’écrire, on a parfaitement le droit de sauter du coq à l’âne, sans s’attirer des remarques désobligeantes.
J’aurais du être dérouleur de pensées plutôt qu’écriveur de bouquins.
FONDS DE TIROIR, Éditions du Seuil
|
|
|
SAMEDI
  JUILLET 2012 |
| HUMOUR
| |
|
|
|