DIMANCHE
JUIN 2018 |
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LUNDI
JUIN 2018 |
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Petite, Charlotte Gainsbourg a dû se construire "un bouclier" face aux critiques.
Dans un entretien avec le magazine Vogue, Charlotte Gainsbourg, 46 ans, raconte le processus d'écriture de son nouvel album, "Rest", fortement inspiré par un drame personnel. "Quand j'ai perdu ma soeur, j'avais déjà commencé à travailler sur l'album et il y a eu une espèce d'évidence: je ne pouvais écrire sur rien d'autre. Tout tournait autour d'elle désormais. Ça a cristallisé l'écriture, ça l'a rendue possible. J'espère que je ne me suis pas servie d'elle, que je ne me suis pas servie de ma peine, mais c'est ça qui m'a permis d'écrire", confie la chanteuse et comédienne.
Elle évoque aussi son enfance, différente de celle de Kate Barry. "J'avais mes deux parents qui s'aimaient, ce qui fait une grande différence et t'assoit dans quelque chose de très réconfortant", confie Charlotte. "J'étais suffisamment petite pour ne pas être heurtée par leur côté sulfureux, alors que Kate était plus grande et qu'elle l'a subi. À 7 ans, les couvertures de magazines, je m'en foutais complètement tandis que Kate, qui avait 11 ans, était déjà une jeune fille. Je me suis construit un bouclier. J'entendais constamment: Ton père est un drogué, ta mère est une pute, mais ça ne m'atteignait pas car il y avait un tel décalage avec la réalité... Bien sûr, mon père buvait, mais ça restait très loin de ce que les gens imaginaient."
Née dans une famille de très belles femmes, Charlotte a longtemps été complexée par son physique. "Certaines personnes cherchent à me consoler: comme s'il fallait me consoler! Je ne dis pas que je suis affreuse. Si j'ai un problème avec la beauté physique, c'est que dans ma famille ça comptait énormément. Pour mon père c'était un critère essentiel. Le fait d'être moins belle que ma mère, moins belle que Bambou, d'être un peu une fille ingrate a été difficile. Ma grand-mère était sublime et je viens d'une famille où il y a des canons de beauté que je ne suivais pas. On m'a toujours dit, quand j'étais petite, que j'étais marrante mais on ne m'a jamais dit que j'étais jolie. C'est des trucs que j'ai acceptés mais il m'a fallu du temps. C'est compliqué."
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| par STARMAG | | | 17 | |
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DIMANCHE
JUIN 2018 |
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VENDREDI
JUIN 2018 |
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Connu pour ses collaborations avec des grands noms de la mode, l'équipementier allemand Adidas a confié une collection à une jeune designer de 23 ans, qui avait attiré son attention en réinterprétant, sans autorisation, des vêtements emblématiques de la marque.
Depuis le début de son partenariat avec Yohji Yamamoto, en 2003, Adidas multiplie les incursions dans le monde de la mode et a déjà travaillé, entre autres, avec Stella McCartney, Jeremy Scott ou Raf Simons.
Jusqu'ici, la marque qui fêtera l'an prochain ses 70 ans avait joué la sûreté, s'assurant la participation de grands noms du prêt-à-porter, voire de la haute couture, s'appuyant sur leur notoriété.
Mais cette fois, Adidas a confié une collection à une jeune inconnue de 23 ans, la Néerlandaise Daniëlle Cathari, qui était encore élève de l'Amsterdam Fashion Institute.
Quelques mois plus tôt, sélectionnée pour défiler, début 2017, avec la plateforme VFiles, qui présente de jeunes talents lors de la Fashion Week de New York, elle avait tapé dans l'oeil de la vénérable marque aux trois bandes avec une collection intégralement jogging.
Sans avoir de contact avec Adidas, elle s'était attaqué au mythe du «tracksuit», le fameux ensemble siglé du logo en forme de trèfle, qui revient en force depuis quelques années.
«J'ai toujours aimé le jogging», explique à l'AFP Daniëlle Cathari. «J'adore l'esthétique Adidas et je voulais l'utiliser. Je voulais réinterpréter le jogging.»
Elle réunit des pièces d'essayage, les découpe et «déconstruit pour en faire de nouvelles silhouettes, plus féminines», dit-elle.
«Ca a attiré notre curiosité», raconte Raffaella Barbey, directrice du design Originals femmes chez Adidas, qui a contacté la couturière après ce défilé new-yorkais qui avait fait grand bruit.
Pour cette collaboration, Daniëlle Cathari a décliné sa livraison de l'an dernier, avec la contrainte de la matière, des trois bandes et des boutons pression.
Le résultat donne des pantalons très amples et des vestes près du corps, construites comme des patchworks, mais avec une unité de couleur. «La taille est plus haute, les coupes sont plus contemporaines», observe Raffaella Barbey. «C'est une nouvelle manière de concevoir le jogging.»
Durant la présentation de jeudi, à New York, la reine des podiums Kendall Jenner, ambassadrice de la marque Adidas, s'est présentée avec l'un des joggings de la collection, noir et blanc
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DIMANCHE
MAI 2018 |
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MAI 2018 |
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SAMEDI
MAI 2018 |
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SAMEDI
MAI 2018 |
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