
SAMEDI
  MARS 2019 |
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1. Rodriguez a réalisé une fin alternative au film dans laquelle le personnage joué par Rodriguez Jr. ne meurt pas. Le papa attentionné a expliqué que son fils était trop jeune pour comprendre qu'il mourrait dans le film.
2 - Pendant le tournage de la scène où Fergie court sur la route, Tarantino courrait derrière elle hors-champ en imitant un zombie afin de l'aider à se mettre en situation. Petit problème, Tarantino se prenait véritablement pour un zombie et émettait des bruits et des grognements, obligeant l'équipe à retourner la scène plusieurs fois (Tarantino a toujours rejeté la faute sur l'équipe technique).
3 - De plus, lorsque les zombies attrapent Fergie, Tarantino, ce psychopathe, l'a réellement mordue, et plutôt violemment.
4 - Dans ce film, Rodriguez a fait jouer plusieurs de ses proches, outre son fiston. Ainsi, le patron de la boîte de strip-tease est son agent immobilier, le médecin passionné de maladies infectieuses est son médecin de famille et les baby-sitters sont ses nièces. Les rôles de toutes ces personnes reflètent d'ailleurs leurs vraies personnalités.
Anecdotes signées L.Vega
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 SAMEDI
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Il y a des gens qui font tellement partie de notre patrimoine culturel et de notre inconscient collectif qu'on les pense, à tort, immortels. Larry Cohen vient encore une fois de nous prouver le contraire.
Pour les plus jeunes, le nom de Larry Cohen ne dira absolument rien mais, pour les plus anciens de nos lecteurs, ceux qui, enfants, dévoraient Mad Movies et Impact, la petite larme ne tardera pas à couler au coin de leur visage. Oui, le grand Larry Cohen est décédé dans la matinée de dimanche dernier, à l'âge de 77 ans et entouré de ses proches.
Avec lui, c'est une certaine idée du cinéma d'exploitation qui disparait également, dans la droite lignée d'un Roger Corman par exemple, mais en moins clinquant et plus terre à terre. Réalisateur, producteur et scénariste, il avait commencé sa carrière à la télévision dans les années 60 avant de se lancer dans le cinéma en 1972 avec son premier long-métrage Bone.
A partir de là, il ne cessera de creuser un sillon à la croisée des genres, tour à tour en versant dans le film de monstres, son mythique Le Monstre est vivant, dans le film catastrophe inspiré du Blob mais avec un yaourt tueur, le très halluciné The Stuff, tout en ne perdant jamais de vue le contexte résolument urbain qui habitait son oeuvre.
On lui doit également l'excellent Meurtres sous contrôle que l'on vous conseille de voir incessamment sous peu si vous ne l'avez jamais vu ainsi que le très efficace L'Ambulance avec Eric Roberts. Producteur, il a notamment monté la série des Maniac cop de William Lustig mais c'est comme scénariste qu'il s'est le plus souvent illustré puisqu'on lui doit également les scripts de Phone Game et Cellular, entre autres.
Larry Cohen était donc l'un de ces solides artisans, construisant son oeuvre à la force du poignet discrètement dans son coin, qui n'hésitait pas à remettre les conventions et son époque en question à travers ses oeuvres. Intègre jusqu'au bout, il laissera le souvenir de quelqu'un qui n'a jamais cédé face à l'adversité, quitte à ne pas se réaliser autant qu'il le voulait. Et rien que pour ça, merci monsieur Cohen.
25 mars 2019 - Christophe Foltzer/Ecranlarge.com
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SAMEDI
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César (édition 43) 2018
Nommée au César de la Meilleure actrice dans : Un Beau Soleil Intérieur
Lumières de la presse étrangère (édition 23), 2018
Nommée comme Meilleure actrice dans : Un Beau Soleil Intérieur
European Film Awards - Prix du cinéma européen (édition 30), 2017
Nommé comme Meilleure actrice dans : Un Beau Soleil Intérieur
César (édition 40), 2015
Nommée comme César de la Meilleure actrice dans : Sils Maria
Lumières de la presse étrangère (édition 20), 2015
Nommée comme Meilleure actrice dans : Sils Maria
Lumières de la presse étrangère (édition 19), 2014
Nommée comme Meilleur scénario dans : Camille Claudel, 1915
Brutus du cinéma (édition 10), 2011
Nommé au Brutus de la meilleure actrice dans : Copie conforme
Lumières de la presse étrangère (édition 16), 2011
Nommée comme Meilleure actrice dans : Copie conforme
Festival de Cannes (édition 63), 2010
Lauréate du Prix d'interprétation féminine dans : Copie conforme
César (édition 28), 2003
Nommée au César de la Meilleure actrice dans : Décalage horaire
BAFTA Awards / Orange British Academy Film Awards (édition 54), 2001
Nommé comme Meilleure actrice dans : Le Chocolat
César (édition 26), 2001
Nommée au César de la Meilleure actrice dans : La Veuve de Saint-Pierre
Golden Globes (édition 58), 2001
Nommé comme Meilleure actrice dans une comédie ou une comédie musicale dans : Le Chocolat
Oscars / Academy Awards (édition 73), 2001
Nommé à l'Oscar de la Meilleure actrice dans : Le Chocolat
BAFTA Awards / Orange British Academy Film Awards (édition 50), 1997
Lauréate comme Meilleure actrice dans un second rôle dans : Le Patient anglais
Berlinale (édition 47), 1997
Lauréate de l' Ours d'Argent de la Meilleure actrice dans : Le Patient anglais
Golden Globes (édition 54), 1997
Nommée comme Meilleure actrice dans un second rôle dans : Le Patient anglais
Oscars / Academy Awards (édition 69), 1997
Lauréate à l' Oscar de la Meilleure actrice dans un second rôle dans : Le Patient anglais
César (édition 21), 1996
Nommée au César de la Meilleure actrice dans : Le Hussard sur le toit
César (édition 19), 1994
Lauréate du César de la Meilleure actrice dans : Trois couleurs - Bleu
Golden Globes (édition 51), 1994
Nommée comme Meilleure actrice dans un drame dans : Blue
César (édition 18), 1993
Nommée au César de la Meilleure actrice dans : Fatale
Mostra de Venise (édition 50), 1993
Lauréate de la Coupe Volpi de la meilleure interprétation féminine dans : Trois couleurs - Bleu
César (édition 17), 1992
Nommée au César de la Meilleure actrice dans : Les Amants du Pont-Neuf
César (édition 12), 1987
Nommée au César de la Meilleure actrice dans : Mauvais sang
César (édition 11), 1986
Nommée au César de la Meilleure actrice dans : Rendez-vous
Prix Patrick Dewaere & Romy Schneider (édition 6), 1986
Lauréate du Prix Romy Schneider
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VENDREDI
  FEVRIER 2019 |
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1984 : Nemo, d'Arnaud Sélignac : Alice
1985 : Les Rois du gag, de Claude Zidi : Alexandra
1985 : Lifeforce, de Tobe Hooper : Une fille de l'espace
1987 : La Vie dissolue de Gérard Floque, de Georges Lautner : Pauline
1987 : Le Cri du hibou, de Claude Chabrol : Juliette
1988 : La Passerelle, de Jean-Claude Sussfeld : Cora Elbaz
1988 : Trois places pour le 26, de Jacques Demy : Marion
1991 : Naked Tango, de Leonard Schrader : Alba/Stéphanie
1991 : Cerro Torre, le cri de la roche (Cerro Torre: Schrei aus Stein), de Werner Herzog : Katharina
1991 : Becoming Colette, de Danny Huston : Sidonie Gabrielle Colette
1992 : Toutes peines confondues, de Michel Deville : Jeanne Gardella
1992 : Isabelle Eberhardt, de Ian Pringle : Isabelle Eberhardt
1994 : Le Voleur et la menteuse, de Paul Boujenah : Suzanne Henson (la menteuse)
1994 : Grosse Fatigue, de Michel Blanc : Mathilda May
1994 : La Lune et le Téton (La Teta y la luna), de Bigas Luna : Estrellita
1995 : Pocahontas, une légende indienne, des studios Disney : Pocahontas (voix parlée de la version française)
1996 : Remake, Rome ville ouverte (Celluloide) de Carlo Lizzani
1997 : Le Chacal (The Jackal), de Michael Caton-Jones : Isabella Zanconia
1999 : Entrevue, de Marie-Pierre Huster (court-métrage) : Alix
2000 : Là-bas... mon pays, d'Alexandre Arcady : Nelly Azera
2004 : Love Express, d'Elena Hazanov : Anne-Charlotte
2007 : New Délire d'Éric Le Roch : Fanny (voix)
2007 : La Fille coupée en deux de Claude Chabrol : Capucine Jamet
2012 : Les Infidèles de Jean Dujardin et Gilles Lellouche : Ariane
2019 : Je ne rêve que de vous de Laurent Heynemann
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MERCREDI
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MARDI
  DECEMBRE 2018 |
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I'll be back (« je reviendrai ») est une phrase culte associée généralement à l'acteur américain Arnold Schwarzenegger
La réplique est utilisée pour la première fois par Arnold Schwarzenegger dans le 1er Terminator, après que son personnage, un assassin cybernétique (le T-800), se voit refuser l'accès au poste de police où s'est réfugiée sa cible, Sarah Connor. Le Terminator prend quelques secondes pour observer la structure du mur protégeant l'accueil du commissariat, puis dit à l'officier de police de permanence, qui lui refuse l'entrée, « I'll be back », avant de revenir quelque temps plus tard, au volant d'une voiture, défonçant l’entrée du commissariat en passant à travers la guérite, et par la suite massacrant la quinzaine de policiers présents dans l'édifice.
Arnold Schwarzenegger utilise cette même phrase (ou une variante) dans plusieurs de ses films ultérieurement. Il a également utilisé la réplique lors de discours publics tenus dans le cadre de ses fonctions de gouverneur de Californie.
Le 21 juillet 2005, cette phrase se situe en 37e position sur la liste AFI's 100 Years... 100 Movie Quotes de l'American Film Institute.
Schwarzenegger a utilisé la réplique dans plusieurs autres films dans lesquels il a joué :
Commando (1985) – I'll be back, Bennett!, dite par le personnage principal à son ennemi Bennett (Vernon Wells), juste avant d'être mis contre son gré dans un avion. Bennett répond « Je serai prêt Johntrad 3. »
Le Contrat (1986) – I'll be right back (à 1:14:02), dite par Mark Kaminski (Schwarzenegger) à Max Keller.
Running Man (1987) – Killian, I'll be back, dite à l'animateur Damon Killian (Richard Dawson), qui ne s'attend pas à ce que le personnage de Schwarzenegger survive au tournage. Killian réplique « seulement en rediffusiontrad 4. »
Jumeaux (1988) – If you're lying to me, I'll be back! (« Si tu me mens, je reviendrai ! ») (à 0:58:40-43), dite au docteur qui a dirigé l'expérience ayant mené à la création du personnage.
Un flic à la maternelle (1990) – I'm back!, dite lors de la scène finale à la classe de maternelle alors que le personnage est sorti de l’hôpital.
Last Action Hero (1993) – La phrase est utilisée à trois reprises : I'll be back.... Ha! You didn't know I was going to say that, did you?!? (« Je reviendrai...Ha ! Tu ne te doutais pas que j'allais dire ça hein ?!? », à 0:40:56-0:41:01), dite par Jack Slater (Schwarzenegger) à l'enfant Danny Madigan. Ce dernier réplique « Tu dis toujours ça. ... Tout le monde s'attend à ce que tu le dises. C'est comme ta carte de visite ».
La deuxième fois, la réplique est dite par Madigan, qui coupe Slater en disant I'll be back. I know. I know. (« Je reviendrai, je sais, je sais. », à 0:46:10-11).
La troisième fois, Ripper dit la phrase à Slater (à 1:44:45-49). Slater répond The hell you will.
Junior (1994) – It's nice to be back…, dite par le personnage lorsqu'il rendre à la maison.
La Course au jouet (1996) – I'll be back with the doll later… (« Je reviendrai avec la poupée plus tard... »), dite par le personnage à sa femme.
À l'aube du sixième jour (2000) – Le personnage dit à un vendeur I might be back. Ce dernier réplique « Oh, you'll be back. »
Expendables 2 : Unité spéciale (2012) – Trench Mauser (Schwarzenegger) dit « I'm back » alors qu'il porte secours à l'équipe piégée dans une mine. Plus tard, lors de l'échange de coups de feu final, il dit I'll be back à Mr. Church (Bruce Willis), qui lui répond You've been back enough. I'll be back. (« Tu es suffisamment revenu. Je reviendrai. »). Mauser réplique par Yippee-ki-yay, la phrase culte du héro de la série Die Hard John McClane, interprété par Willis.
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MERCREDI
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Le mythique château Marmont vu dans "Somewhere" de Sofia Coppola, le non moins mythique Waldorf Astoria à New York; le Park Hyatt de Tokyo, cadre de "Lost in Translation", le Timberline Lodge de "Shining"... Voici 10 fameux hôtels vus dans les films.
LE TIMBERLINE LODGE DANS L'OREGON
Vous le reconnaissez ? Oui oui, c'est le fameux hôtel vu dans Shining de Kubrick ! Du moins dans sa version extérieure, puisque tous les intérieurs furent reconstitués en studio. Situé au pied du Mont Hood, dans l'Oregon, le Timberline Lodge fut construit en 1937 par près de 500 ouvriers. En 1972, il fut ajouté au registre national des lieux historiques. Si un petit séjour sur place vous motive, c'est par là !
LE BEVERLY WILSHIRE À LOS ANGELES
Hôtel légendaire inauguré en 1928, situé juste à côté de Rodeo Drive à Beverly Hills, le Beverly Wilshire, propriété du groupe hôtelier Four Seasons, a longtemps été surnommé "l'hôtel de Pretty Woman", puisque c'est là que fut tourné le film avec Julia Roberts et Richard Gere. Le film a tant fait pour la renommé de l'hôtel qu'ils ont même créé un package Pretty Woman For a Day, avec farniente dans une suite, Spa, massage, séance shopping, ect...
LE PLAZA DE NEW YORK
Le Plaza Hotel de New York est une véritable institution; un des plus célèbres hôtels du monde. Situé juste à côté de Central Park, il fut inauguré en 1907. S'il fut le cadre de tournage pour une grande partie de Maman, j'ai encore raté l'avion, en 1992, le Plaza a accueilli de très nombreux tournages : ceux de Presque célèbre, Crocodile Dundee, The Great Gatsby (version 2013), La Mort aux trousses d'Hitchcock, Arthur...
LE PLAZA HOTEL DE LAS VEGAS
Et non, il n'y a pas que le Caesar Palace et autres hôtels MGM à Las Vegas ! Construit en 1882, le Plaza Hotel de Las Vegas a été classé à l'inventaire du patrimoine historique aux Etats-Unis. Il a accueilli les tournages de nombreuses séries TV et films, depuis même l'époque du cinéma muet. On peut citer Easy Rider, mais surtout No Country For Old Men des frères Coen ! Rebaptisé The Eagle Pass Hotel dans l'oeuvre des frères cinéastes, c'est là qu'a lieu la confrontation entre le tueur Anton Chigurh (Javier Bardem) et Llewelyn Moss (Josh Brolin).
LE PARK HYATT DE TOKYO
Situé en plein coeur de la ville, dans le quartier de Shinjuku, bénéficiant d'une vue spectaculaire sur les quartiers de la ville ainsi que face au Mont Fuji qui se découpe au loin, le Park Hyatt est l'hôtel 5 étoiles filmé amoureusement par Sofia Coppola dans son film Lost in Translation. Si jamais vous passez dans le coin, commandez donc un whisky Suntory comme Bill Murray au New York Bar de l'hôtel, avant de savourer la vue (et le verre) du haut du 52e étage.
LE MILLENIUM BILTMORE HOTEL, À LOS ANGELES
Situé dans le quartier financier (Downtown) de Los Angeles, le Millenium Biltmore Hotel est un établissement mythique. Inauguré le 2 octobre 1923, il est probablement celui qui a accueilli le plus de tournages; plus d'une centaine. Il a même hébergé durant plusieurs années, à leurs débuts, huit cérémonies des Oscars. La toute première cérémonie eut même lieu ici, en 1927. Parmis les films tournés en ces lieux, il y a eu Chinatown, Ocean's Eleven, SOS Fantômes, Braquage à l'italienne, Le Flic de Beverly Hills, Se7en, mais aussi les séries Mad Men, NCIS, Glee... En fait, il y a tout le temps ou presque un tournage dans les murs.
HOTEL DEL CORONADO, EN CALIFORNIE
Cadre de tournage du film culte Certains l'aiment chaud de Billy Wilder en 1958, l'hôtel Del Coronado, de style Victorien, fut inauguré en 1888, et inscrit au registre des monuments historiques en 1977. Aujourd'hui propriété du groupe Hilton, il fut un lieu de villégiature prisé de nombreuses personnalités, comme Charles Chaplin, ainsi que plusieurs présidents des Etats-Unis (Roosevelt, Jimmy Carter, Gerald Ford, William Taft...).
LE FONTAINEBLEAU DE MIAMI BEACH, EN FLORIDE
Passé à la postérité pour accueillir le tournage de Goldfinger, c'est dans son luxueux cadre que l'agent 007 rencontre pour la première fois aux abords de la piscine son ennemi Auric Goldfinger (Gert Fröbe). C'est aussi là que fut tournée la fameuse scène où 007 découvre le corps de Jill Masterson, morte étouffée par la peinture d'or qui recouvre son corps. A son inauguration en 1954, l'hôtel fut l'établissement le plus vaste et luxueux jamais construit en Floride. Il était tellement populaire et réputé auprès du gratin mondain (Judy Garland y croisait Elvis...) que le propriétaire de l'hôtel, Ben Novack, fut un temps obligé de poster des gardes armés pour barrer l'accès à l'hôtel aux non résidents.
LE JUVET LANDSCAPE HOTEL, EN NORVÈGE
Loin, très loin des Etats-Unis, c'est en Norvège que fut tourné le formidable film de SF Ex Machina d'Alex Garland. En l'occurence au sein de l'hôtel cosy Juvet Landscape. Situé en plein milieu de la nature, dans le cadre exceptionnel du parc national de Reinheimen, le Juvet Landscape Hotel est constitué de seulement neuf chambres totalement séparées.
LE CHÂTEAU MARMONT, À LOS ANGELES
Los Angeles abrite une grosse concentration de lieux mythiques. Le château Marmont en fait incontestablement partie. Construit en 1929 à l'origine comme un immeuble avec des appartements, il est transformé en hôtel au style baroque après la crise de 1929. Il fut inscrit sur la liste des monuments culturels et historiques de Los Angeles en 1976. Loin de se "contenter" d'être le cadre du Somewhere de Sofia Coppola, l'histoire du château Marmont regorge d'anecdotes hollywoodiennes, parfois plus ou moins sordides. Warren Beatty qui ne peut payer sa chambre et se fait sortir, tout comme Lindsay Lohan et sa facture impayée de 46000 $, l'overdose de de John Belushi des Blues Brothers au Bungalow n°3 en mars 1982; Robert Mitchum qui y a fait la plonge, ect...
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VENDREDI
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