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MERCREDI

AVRIL
2017
LA PAGE CINéMA
 
  • Gary Oldman(Dracula, True Romance, The Fifth Element, Interstate 60, Harry Potter)
  • Helena Bonham Carter(Fight Club, Planet of the Apes, Harry Potter, Alice in Wonderland, The King’s Speech)
  • Ian McKellen(Richard III, Rasputin, David Copperfield, The Lord of the Rings, X-Men)
  • Johnny Depp(Pirates of the Caribbean, Public Enemies, Alice in Wonderland, Dark Shadows, Black Mass)
  • Meryl Streep(The Devil Wears Prada, Julie & Julia, The Iron Lady, Into the Woods, Ricki and the Flash)
  • Michael Fassbender(300, A Dangerous Method, Prometheus, Macbeth, Steve Jobs)
  • Cate Blanchett(The Lord of the Rings, The Aviator, Elizabeth: The Golden Age, I’m Not There, Cinderella)

  • par 5AVRIL  6

    JEUDI

    MARS
    2017
    LA PAGE CINéMA
     
    Pour les besoins du prochain film Disney "La Belle et la Bête", Emma Watson a dévoilé ses talents de chanteuse en interprétant le titre culte "Je ne savais pas".


    Si l'on connaissait déjà ses talents d'actrice, on ignorait encore qu'Emma Watson avait également des talents de chanteuse.
    Sur les comptes Instagram et Twitter dédiés au prochain film Disney "La Belle et la Bête", il est en effet possible d'écouter la jeune actrice chanter la version anglaise de "Je ne savais pas", intitulée "Something There". Et le résultat est plus qu'impressionnant; la star d'Harry Potter maîtrise visiblement à la perfection les notes de cette chanson culte pour les fans du dessin animé.
    Le film, dont la sortie est prévue pour mars 2017, est déjà vivement attendu; les premières images du film avaient en effet déjà suscité l'enthousiasme des internautes, de la même façon que ce premier extrait musical.
    Source: 7sur7.be


    par 5AVRIL  6

    SAMEDI

    FEVRIER
    2017
    LA PAGE CINéMA
     
    Source: cinecomedies.com


    par 5AVRIL  14

    MARDI

    FEVRIER
    2017
    LA PAGE CINéMA
     
    Source: cinecomedies.com


    par 5AVRIL  29

    DIMANCHE

    FEVRIER
    2017
    LA PAGE CINéMA
     
    Source: cinecomedies.com


    par 5AVRIL  13

    DIMANCHE

    JANVIER
    2017
    LA PAGE CINéMA
     
    Fils d'un vicaire anglican Arnold Herbert Hurt et de Phyllis Massey, ingénieur et comédienne amateur, John Hurt est né le 22 janvier 1940 à Chesterfield (Derbyshire, Angleterre)
    Cantonné au début de sa carrière aux seconds rôles (Max dans Midnight Express ou G.W. Kane dans Alien, le huitième passager), il accède à la célébrité en incarnant John Merrick dans le film Elephant Man, qui lui vaut une nomination à l'Oscar du meilleur acteur en 1981 et le BAFTA Award du meilleur acteur dans un rôle principal, et à la télévision celui de Caligula dans la série Moi Claude empereur.
    Il a été également le conteur d'histoire dans la série Monstres et Merveilles qui est adaptée de légendes celtiques, russes ou encore allemande, en 1987.
    Il incarne notamment Billy Irvine dans La Porte du paradis (Heaven's Gate), Winston Smith dans 1984, le dictateur Adam Sutler dans V pour Vendetta et Monsieur Ollivander dans Harry Potter à l'École des Sorciers, rôle qu'il reprendra en 2010 dans Harry Potter et les Reliques de la Mort.
    En 2013, pour les 50 ans de la célèbre série télévisée britannique de science-fiction, Doctor Who, John Hurt joue une incarnation du Docteur surnommé The War Doctor (le "Docteur de la Guerre").
    John Hurt a été anobli par la Reine en fin d'année 2014.
    Il annonce, le 16 juin 2015, qu'il est atteint d'un cancer du pancréas. Il meurt le 27 janvier 2017 à l'âge de 77 ans à Londres

    par 5AVRIL  12

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     13 films de 2017 27 , le 01/01/2018
     13 films de 2022 26 , le 06/01/2023
     Robert Hossein, sa biographie #4 26 , le 14/01/2021
    JEUDI

    JANVIER
    2017
    LA PAGE CINéMA
     
    Pas les "meilleurs" de 2016, pour ne pas vous contrarier mais on les a vraiment trouver bons
    1. Les Huit Salopards
    Film de 2015, mais sorti en 2016
    2. The Revenant
    3. Spectral
    4. Dernier Train pour Busan
    5. Kill command
    6. Jane got a gun
    7. Les saisons
    8. Sausage Party
    9. Risen
    10. Orgueil, Préjugés et Zombie
    11. Cigognes & Compagnie, Maximum Ride , La Chute de L ondres

    par 5AVRIL  12

    LUNDI

    JANVIER
    2017
    LA PAGE CINéMA
     
  • Resan (The Journey) 873 min (14 hr, 33 min) 1987
  • Out 1 (Noli me tangere) 773 min (12 hr, 53 min) 1971
  • How Yukong Moved the Mountains 763 min (12 hr, 43 min) 1977
  • Evolution of a Filipino Family 647 min (10 hr, 47 min) 2004
  • Shoah 613 min (10 hr, 13 min) 1985
  • Tie Xi Qu: West of the Tracks 551 min (9 hr, 11 min) 2003
  • Death in the Land of Encantos 540 min (9 hr) 2007
  • Heremias (Book One: The Legend of the Lizard Princess) 540 min (9 hr) 2006
  • Taiga 501 min (8 hr, 21 min) 1992
  • A Lullaby to the Sorrowful Mystery 485 min (8 hr, 5 min) 2016
    Le Voyage (The Journey, Rësan) est un film de Peter Watkins sorti en 1987.
    De 1983 à 1986, Peter Watkins tourne son film dans 12 pays différents. Ce film documentaire de 14 h 30, agencé en modules de 1 h 30, est un plaidoyer pacifiste contre le nucléaire : il est composé d'entretiens avec des familles des cinq continents, qui parlent des armements nucléaires, de la difficulté de s'informer sur la question dans les médias aussi bien qu'à travers le système éducatif, de la politique de leurs États respectifs en la matière, des conséquences et de l'usage de ces armes, et du rôle des médias de masse dans la course aux armements.
    Comme précédemment dans La Bombe, il met parfois en scène des épisodes de guerre atomique, insistant sur l'absence de protection des populations civiles de la part de leurs gouvernements. Il alterne dans ce film des moments de vrai (entretiens) et faux (reconstitution d'attaques nucléaires) documentaire, commentant simultanément le processus du film : une voix off et des cartons appellent régulièrement le spectateur à réfléchir à l'image qu'il vient de voir, sa durée, la manière dont elle a été montée dans une séquence, le film s'analysant en même temps qu'il se montre.
    Les télévisions auxquelles Watkins le présentera le refuseront toutes
    Source: wikipedia.org

  • par 5AVRIL  15

    VENDREDI

    DECEMBRE
    2016
    LA PAGE CINéMA
     
    L'année dernière nous vous présentions la liste des films les plus populaires sur le site de référence IMdB.com
    Cette année, on vous fait l'inverse. Les moins bien notés.
    1. Kod Adi K.O.Z. (2015) 1,5
    2. Saving Christmas (2014) 1,5
    3. P'tits génies 2 (2004) 1,6
    4. Daniel der Zauberer (2004) 1,6
    5. Manos: The Hands of Fate (1966) 1,7
    6. Pledge This: Panique à la fac! (2006) 1,7
    7. L'homme qui sauva le monde - Le retour (2006) 1,8
    8. Birdemic: Shock and Terror (2010) 1,8
    9. Titanic, le légende continue (2000) 1,8
    10. Álom.net (2009) 1,9
    Pour information, les mieux notés restente les memes , sauf pour la 5eme place ou 12 hommes en colère(1957) dépassent désormais Pulp Fiction (1994)
    1. Les évadés (1994) 9,2
    2. Le parrain (1972) 9,2
    3. Le parrain, 2ème partie (1974) 9,0
    4. The Dark Knight: Le chevalier noir (2008) 8,9
    5. 12 hommes en colère (1957) 8,9
    par 5AVRIL  9

    LUNDI

    DECEMBRE
    2016
    LA PAGE CINéMA
     
    Un grand artiste que Marcel Gotlib, mort ce dimanche à 82 ans. Il part au paradis de la BD rejoindre son ex collègues Cabu et bien d'autres.
    Espérons qu'au ciel il nous ferons une revue genre Pilote qui fera rire le bon dieu et les anges
    Ci dessous une interview faite le 12 mars 2014, par Frédéric Potet pour le journal le Monde intitulée "Marcel Gotlib, hymne à la sainte Déconnade"

    Franchement, il était difficile d’avoir invité plus prestigieux pour le lancement de ce blog consacré à la bande dessinée. Le grand Marcel Gotlib, l’immensément grand Marcel Gotlib, l’incommensurablement grand Marcel Gotlib, l’anticonstitutionnellement grand Marcel Gotlib (désolé de n’avoir pu résister à placer le mot le plus long du dictionnaire dans ce premier billet), bref THE Marcel Gotlib himself s’est confié aux Petits Miquets à l’occasion de l’exposition qui lui est consacrée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, à Paris jusqu’au 27 juillet.
    Roi de la déconnade, prince de la dérision et du second degré, le père de Gai-Luron et de Superdupont (mais aussi de Nanard et Jujube, Hamster Jovial, Professeur Burp, Isaac Newton et autres Pervers Pépère) se devait, à presque 80 ans, de tordre le cou aux ignobles rumeurs qui circulent sur son compte depuis longtemps. Un interrogatoire musclé mais franc du collier s’imposait, façon Bougret-Charolles, le duo d’enquêteurs intraitables né dans les pages de La Rubrique-à-brac.
    -Marcel Gotlib, il paraît que vous êtes juif…
    -Ah ben OK, d’accord ! Si vous croyez tout ce qu’on dit dans les journaux !
    (Amis lecteurs, ouvrons immédiatement une parenthèse pour vous informer qu’un long article sur la relation de Gotlib à sa judéité a été dans Le Monde : Gotlib, de la Shoah à Gai-Luron.)
    -Vous prétendez de manière éhontée n’avoir jamais su très bien dessiner. Ah ah…. C’est du foutage de gueule ou de la fausse modestie ?
    -Non, plutôt du foutage de modestie ou de la fausse gueule. En fait, j’ai vraiment l’impression que dans cette branche, la BD, je ne suis qu’une modeste brindille. Je reconnais toutefois savoir dessiner beaucoup mieux que Franquin ou que Jean Giraud (alias ). Ces deux-là, c’est de la gnognote à côté des œuvres qui ont fait ma gloire, soit dit en toute modestie. La vérité est que je n’ai jamais aimé dessiner les décors. C’est pour cela que j’ai créé la coccinelle des coins de page : elle occupe l’espace. Mon truc à moi, cela a toujours été les personnages, les expressions du visage, les attitudes corporelles… Aujourd’hui, ma main n’est plus assez sûre pour dessiner. L’envie de prendre un crayon a disparu car je sais d’avance que cela ne sera pas bon.
    -Il se dit que vous un êtes un grand dépressif. Est-ce pour vous soigner que vous avez décidé de faire de l’humour ?
    -Je suis dépressif, c’est vrai… Mais l’humour n’a jamais soigné mes crises de dépression. J’ai bien essayé en me plongeant dans le Vermot, l’œuvre complète de Kierkegaard et même jusqu’à l’intégrale de tous les grands auteurs qui ont écrit suffisamment de livres pour qu’on rassemble ces derniers en intégrale.
    -Selon des informations non vérifiées, vous auriez lu et relu Victor Hugo pendant votre enfance. Quelle drôle d’idée de choisir la carrière de dessinateur de petits miquets ! Vous aviez peur de faire de l’ombre au grand poète ou quoi ?
    -C’est une information non vérifiée, comme vous dites. Ça n’est pas pendant mon enfance que j’ai fait connaissance de Victor Hugo, c’est beaucoup plus tard. Pendant mon adolescence en fait, à l’âge de quinze ans. Tâchez de vérifier vos informations à l’avenir. Je me souviens d’avoir pleuré comme une madeleine en lisant Les Misérables quand Marius et Cosette s’embrassent. Quinze ans, c’est l’âge où on commence à être amoureux.
    -Une rumeur persistante affirme que vous avez failli devenir le cinquième Beatles, dans le Liverpool des années 1960. Carrément…
    -La rumeur est cette fois fondée, à un détail près : le cinquième Beatles était en réalité George Martin. J’ai failli effectivement devenir, non pas le cinquième mais le sixième Beatles. Cela rappelé, le fait de ne pas avoir fait de musique est le grand regret de ma vie. J’aurais aimé jouer du piano et que cela m’apporte autant de plaisir que la bande dessinée m’en a apporté. Bon, j’ai quand même un peu grattouillé la guitare, car je suis fan de Brassens aussi.
    -La dernière partie de votre œuvre (Rhââ Lovely, Pervers Pépère) montre très clairement que vous êtes un pervers polymorphe à tendance compulsive. Pas très joli pour quelqu’un qui a commencé sa carrière dans les illustrés destinés à la jeunesse…
    -Ça n’est pas impossible… Mais il y a encore plus pervers polymorphe que moi, ce sont les enfants eux-mêmes.
    -Jack Lang vous a remis la Légion d’honneur en 2000. Drôle d’idée : comme si la bande dessinée pouvait prétendre à une reconnaissance institutionnelle… Pourquoi ne pas l’avoir jetée aux orties, comme Jacques Tardi ?
    -D’abord, parce que j’aime bien Jack Lang. Ensuite, parce que je n’ai pas pu me résoudre à refuser la décoration en souvenir de mon père, qui s’est engagé volontaire dans l’armée française en 1940. En récompense de quoi, après l’armistice de Pétain, les flics sont venus l’embarquer vers des colonies de vacances d’où il n’est pas revenu (il devait trop s’y plaire).
    -Ne vous en déplaise, vous êtes considéré comme un génie du 9e art. Il paraît que cela vous fait une belle jambe…
    -C’est vrai… Vous voulez peut-être que je vous la montre ?

    par 5AVRIL  10

    VENDREDI

    DECEMBRE
    2016
    LA PAGE CINéMA
     

    Alors qu'on pensait que le studio allait attendre le dernier moment pour révéler son grand singe, nous avons été plutôt surpris de le découvrir dans les teasers. Mais c'est parce qu'il y avait d'autres surprises en réserve.
    Si l'idée de refaire King Kong peut paraitre légitime (après tout pourquoi pas ?), le fait de l'inscrire dans un univers étendu fait déjà franchement plus flipper. Surtout lorsque le film en question, en plus d'être un pseudo remake, est également un prequel de cette nouvelle version et qu'il sert à préparer le terrain pour un affrontement entre le grand singe et Godzilla. Oui, les studios ont des idées étranges parfois et le pire dans tout ça, c'est qu'au fond de nous, le petit enfant émerveillé a très envie de voir ça.
    Alors on ne va pas se priver quand en plus la première vraie bande-annonce de Kong : Skull Island est enfin disponible. Après un bon gros teasing des familles, le film de Jordan Vogt-Roberts montre enfin ce qu'il a dans le ventre dans un trailer impressionnant qui risque de faire parler de lui. En effet, si Kong est immense et plutôt classe. Film d'aventure, film de guerre, remake de King Kong, survival à la Predator, le film semble être un peu tout ça.
    Pourtant, le trailer présente un élément qui pourrait être capital dans l'histoire et qui intrigue pas mal : les Skullcrawlers, ces espèces de créatures vivant dans les profondeurs de l'île et qui seraient apparemment responsables de l'extinction de l'espèce du grand singe. Un ajout inédit qui pourrait peut-être donner une ampleur inattendue et tragique à cette historie dont on a pour le moment encore bien du mal à discerner les vrais contours.
    Mais à la limite, il est encore un peu tôt pour se poser ce genre de questions. Après tout, le film ne sort que le 8 mars prochain, on aura encore largement l'occasion d'en apprendre plus d'ici là. Alors autant profiter de cette bande-annonce, somme toute très bien faite.
    Source: Christophe Foltzer/ecranlarge.com


    par 5AVRIL  15

    VENDREDI

    NOVEMBRE
    2016
    LA PAGE CINéMA
     
    La scène se déroule à la fin du film de Quentin Tarantino acclamé par la critique, Inglorious Basterds. Le personnage joué par Mélanie Laurent décide de mettre le feu à son cinéma dans lequel se déroule une avant-première où sont présents des hauts responsables nazis. Sauf que l'incendie a bien failli faire autant de dégâts dans la fiction que dans la réalité : "On a presque été incinérés, confiait Eli Roth, qui joue le sergent Donnie Donowitz, à Amoeba Music. Le feu s'est déclenché. (Les techniciens) pensaient que ça allait brûler à 400 degrés Celsius mais ça a brûlé à 1200 ! Dans le film, la croix gammée tombe. Ça n'était pas prévu. Elle était attachée avec des câbles en acier. L'acier a fondu..." D'autre part, huit mètres devaient séparer les acteurs des flammes de l'incendie. Mais cette distance n'a pas pu être respectée et la plateforme sur laquelle se trouvait l'équipe du film a failli s'effondrer...
    Source: linternaute.fr

    par 5AVRIL  9

                  
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